FAUCONS ET LIONS
Un matin, j’ai regardé un lièvre manger de l’herbe sur mon terrain. Il était plutôt petit, et il avait une fourrure tachetée de brun et une queue en boule de coton. Soudain, un faucon est passé en fendant l’air avec la vitesse et la précision de l’éclair. Toutes serres sorties, il a fondu sur sa proie. Par contre, reconnaissant le danger imminent, le lièvre a couru se mettre à l’abri, échappant au faucon de quelques centimètres à peine.
DES GESTES DE GRATITUDE
Lorsque j’étais enfant, peu de gens me connaissaient mieux que Francis Allen, le pasteur qui m’a conduit à Jésus-Christ. Ce prédicateur apocalyptique en chaire était l’exemple presque parfait de la douceur de l’amour de Dieu une fois qu’il avait fini de prêcher.
FAIS SIMPLEMENT CE QUI EST BIEN
En voyage à l’étranger, j’ai rencontré un avocat de mon patelin du New Jersey. Nous nous sommes étonnés de constater combien nous avions de choses en commun. Au cours de la conversation, il m’a demandé : « Avez-vous dit vous appeler Stillwell ? » « Non, c’est Stowell », lui ai-je répondu. Il m’a alors dit qu’il avait un client du nom de Stillwell. « Est-ce Art Stillwell ? » lui ai-je demandé et, à ma grande surprise, il l’a confirmé. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’Art Stillwell fréquentait mon Église et était un homme d’affaires influent de la communauté.
UN COMPAGNON DE ROUTE
J’aime beaucoup parcourir les sentiers de l’Idaho en savourant leur splendeur et leur beauté pittoresque. Cela me rappelle souvent que ces sentiers symbolisent notre parcours spirituel, car la vie chrétienne consiste simplement à marcher, avec Jésus à nos côtés pour compagnon et guide. Il a parcouru Israël d’une extrémité à l’autre, en se faisant des disciples, à qui il disait : « Suivez-moi » (Mt 4.19).
LE SECRET EST DANS LE LIEU
Le marché immobilier aux États-Unis est difficile de nos jours. Le prix des maisons a beaucoup diminué, et la situation est pire encore dans l’immobilier commercial. Ainsi donc, au jeu de l’immobilier, il importe de garder un vieil adage à l’esprit : « En ce qui concerne l’achat et la vente de propriétés, le secret de la réussite est dans le lieu. »
CONSIDÉREZ VOS VOIES
Un Autrichien de 47 ans a donné toute sa fortune de 4,7 millions de dollars après en être venu à la conclusion que sa richesse et ses dépenses inconsidérées l’empêchaient de connaître la vraie vie et le bonheur. Karl Rabeder a dit au Daily Telegraph (Londres) : « J’avais le sentiment de travailler comme un esclave pour acquérir des choses que je ne voulais pas avoir et dont je n’avais pas besoin. J’ai vécu le plus grand choc de ma vie en réalisant combien le style de vie “cinq étoiles” est horrible, inhumain et dépourvu de sentiments. » Son argent sert maintenant à financer des oeuvres de bienfaisance qu’il crée afin d’aider des gens en Amérique latine.
UN INVENTAIRE NUISIBLE
La critique est un loisir prisé, et beaucoup d’entre nous y prennent malheureusement souvent plaisir. Nous concentrer sur les travers des autres est un excellent moyen de nous sentir mieux par rapport à nous-mêmes. Et c’est justement là l’ennui. Éviter de reconnaître les travers qui doivent disparaître dans notre propre vie a pour effet non seulement de ralentir notre croissance spirituelle, mais aussi de nuire à l’oeuvre de Dieu par nous. Notre mode de vie augmente ou réduit l’efficacité de Dieu par notre vie.
BEDLAM
L’Imperial War Museum se trouve dans un immeuble de Londres où était situé anciennement le Bethlem Royal Hospital, un centre de soins psychiatriques. Les gens le connaissaient sous le nom de « Bedlam » (Chahut), un terme qui en est venu à illustrer le chaos et la folie.
TOUCHEZ UNE VIE
Mon ami Dan, qui était sur le point de terminer le lycée, devait faire un important exposé oral. Il avait 15 minutes pour expliquer ce qui lui avait permis de se rendre jusqu’au bout et remercier qui l’y avait aidé.
QU’EST-CE QUE TU FAIS?
Tandis qu’elle séjournait sous notre toit pendant un moment, ma petite-fille Addie s’est mise à me demander sans cesse : « Qu’est-ce que tu fais, grand-papa ? » Si je travaillais à l’ordinateur, si je mettais mes chaussures pour aller dehors, si je m’assoyais pour lire ou si je donnais un coup de main dans la cuisine, elle venait me demander ce que je faisais.