Objectif bien défini
Luciano Faggiano avait acheté un immeuble pour y ouvrir un restaurant. Malheureusement, l’une des toilettes avait un problème de refoulement. Lui et son fils ont commencé à creuser une tranchée afin de trouver le conduit d’égout brisé. Après une semaine, ils n’avaient pas encore trouvé le problème. Leur frustration s’est toutefois vite transformée en enthousiasme lorsqu’ils ont déterré un trésor archéologique. Les hommes ont découvert un monde souterrain de chambres avec des tombeaux, une chapelle franciscaine et plusieurs autres artéfacts, dont certains dataient d’avant Jésus. Sans oublier qu’ils ont fini par réparer le conduit endommagé !
À quoi tient notre réputation ?
On a érigé en Chine une pierre commémorative sur le terrain d’un ancien camp de prisonniers japonais où un homme est mort en 1945. On peut y lire : « Eric Liddell est né à Tianjin de parents écossais en 1902. Sa carrière a atteint son apogée lorsqu’il a remporté la médaille d’or au 400 mètres lors des Jeux olympiques d’été de 1924. Il est revenu en Chine pour travailler comme enseignant à Tianjin. […] Il a passé sa vie entière à encourager les jeunes à apporter leurs meilleures contributions à l’avancement de l’humanité. »
Un trésor à partager
En mars 1974, des fermiers chinois s’employaient à creuser un puits lorsqu’ils ont fait une découverte étonnante : ensevelie sous le sol aride de la Chine centrale se trouvait la fameuse armée de terre cuite – des sculptures d’argile grandeur nature datant du IIIe siècle av. J.‑C. Cette extraordinaire découverte archéologique comptait environ 8000 soldats, 150 chevaux de cavalerie et 130 chars tirés par 520 chevaux. Le lieu de la découverte de l’armée de terre cuite est devenu l’un des sites touristiques les plus prisés de Chine, attirant plus d’un million de visiteurs par année. Ce formidable trésor resté enseveli pendant des siècles est donc maintenant partagé avec le reste de la planète.
Je suis riche !
Avez‑vous vu la publicité télévisée où quelqu’un répond à la porte et une personne lui tend un chèque au montant astronomique. Puis l’heureux gagnant se met à crier, à danser, à sauter et à serrer son visiteur dans ses bras : « J’ai gagné ! Je suis riche ! Je n’en reviens pas ! Mes problèmes sont résolus ! » Faire fortune d’un coup suscite une réaction très émotionnelle.
De véritables richesses
Aux funérailles du père de mon amie, quelqu’un lui a dit : « Avant de rencontrer votre père, j’ignorais qu’il était possible de s’amuser autant en aidant les autres. » Son père a contribué à bâtir le royaume de Dieu en servant, en riant, en aimant et en se liant d’amitié avec des inconnus. À sa mort, il a laissé l’amour en héritage. Par contraste, la soeur aînée de son père considérait ses biens matériels comme son héritage, ce qui l’a amenée à passer les dernières années de sa vie à s’inquiéter de savoir qui allait protéger son héritage familial et ses livres rares.
Sondage du coeur
À bord du métro à Chicago, je respecte toujours « les codes de conduite non écrits », comme ne jamais converser avec ses voisins de siège si l’on ne les connaît pas. Or, ce n’est pas donné pour un gars comme moi, qui n’ai jamais établi de contact avec un inconnu. Ce qui ne m’empêche pas d’aimer m’entretenir avec de nouvelles personnes ! Même si j’observais le code du silence, j’ai découvert que l’on pouvait malgré tout apprendre des choses au sujet des gens selon la section du journal qu’ils lisaient. Alors je regardais pour voir à quelle page ils l’ouvraient en premier. La section Affaires ? Sports ? Politique ? Actualités ? Leurs choix me révélaient leurs intérêts.
Le meilleur reste à venir
Pour notre famille, le mois de mars signifie plus que la fin de l’hiver, mais aussi l’arrivée du grand spectacle du basketball universitaire, « La folie de mars ». En tant que fans inconditionnels, nous regardons les tournois en encourageant nos équipes préférées avec enthousiasme. Si nous allumons la télé un peu d’avance, nous avons la chance d’écouter les commentateurs parler du match à venir et de voir parfois les joueurs faire des tirs au panier et des exercices d’échauffement avec leurs coéquipiers.
Demeures et autres trésors
J’ai récemment décidé de rénover le salon de notre vieille maison en rangée. J’ai peinturé le plafond et remplacé les vieux luminaires démodés. J’ai enlevé les rideaux défraîchis et installé des stores à enrouleur. J’ai passé des heures à refaire les murs – à poncer la peinture écaillée, à remplir les trous et les égratignures, à poncer de nouveau, puis à appliquer plusieurs couches de peinture. J’ai retiré une dalle de ciment d’un coin et l’ai remplacée par de nouvelles tuiles. Le foyer a aussi dû être remplacé. Enfin, j’ai poncé les plinthes et les ai repeintes en peinture brillante. J’ai trimé dur, mais j’étais fier du changement que je voyais se produire chaque jour.
Matière à réflexion
Au début du mois de septembre 2011, un incendie incontrôlable a détruit 600 domiciles dans la ville et les environs de Bastrop, au centre du Texas. Quelques semaines plus tard, l’Austin American-Statesman mettait en manchette : « Les gens qui ont perdu le plus se concentrent sur ce qu’ils n’ont pas perdu. » L’article décrivait la générosité exceptionnelle de la collectivité et racontait que ceux qui avaient été soutenus par leurs voisins, leurs amis et la communauté avaient compris que ce qui leur restait comptait beaucoup plus que ce qu’ils avaient perdu.
Les trésors de l’obéissance
Les loteries d’État existent dans plus de cent pays. Au cours d’une année récente, la vente des billets de loterie a remporté plus de 85 milliards de dollars seulement aux États‑Unis et au Canada, ce qui ne représentait qu’une partie des ventes totales enregistrées à l’échelle internationale. Le leurre des énormes gros lots a engendré une mentalité amenant beaucoup de gens à croire que tous leurs problèmes seraient résolus si seulement ils gagnaient à la loterie.