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BIEN SERVIR AVEC JOIE

Il y a onze ans aujourd’hui, un de mes bons amis est sorti faire son jogging à midi et n’en est jamais revenu. Kurt De Haan, qui était l’éditeur en chef du Notre Pain Quotidien , est mort d’un infarctus par ce jeudi ensoleillé. Nous sommes quelques-uns à avoir travaillé avec Kurt et à conserver encore des notes de service de lui dans notre bureau.

SE RAPPELER LA RAISON

Joe Morris donne à ses glaces des saveurs variées allant du chocolat, aux fraises, au thé vert et aux jalapeños rôtis. Il est un des trois fabricants de glaces chez qui s’approvisionne une société texane connue pour sa qualité, sa créativité et son innovation. Joe n’en a pas oublié la raison.

LE PLATEAU À OFFRANDES

Ed Dobson, mon ancien pasteur, disait souvent qu’il lui était désagréable de prêcher sur la nécessité de donner financièrement à l’Église. Il disait que son emploi antérieur exigeait des campagnes de financement, si bien qu’il lui déplaisait d’exercer des pressions inutiles sur les gens. Cependant, en enseignant toute l’épître de 2 Corinthiens, rendu aux chapitres 8 et 9, il n’a pu éviter le sujet. Ce dont je me souviens le mieux de son sermon, c’est l’illustration qu’il a employée. Il a placé un plateau à offrandes par terre, est monté dessus et y est resté en parlant de l’importance de nous donner en entier au Seigneur, et non uniquement notre portefeuille.

LE VIEUX MOULIN À VENT

Un homme ayant grandi dans un ranch de l’ouest du Texas nous raconte l’histoire d’un vieux moulin à vent branlant qui se trouvait juste à côté de la grange de la famille et qui alimentait la maison en eau. C’était la seule source d’eau à plusieurs kilomètres à la ronde.

QUI ÊTES-VOUS CENSÉ ÊTRE ?

Soyez la personne que Dieu veut que vous soyez et vous enflammerez le monde. C’est en citant ainsi sainte Catherine de Sienne que l’évêque de Londres a commencé le message qu’il a adressé au prince William et à Kate Middleton lors de leur mariage à l’abbaye de Westminster. Beaucoup de téléspectateurs ont été émus d’entendre l’évêque confirmer leur choix « de se marier sous le regard d’un Dieu généreux qui a tant aimé le monde qu’il s’est donné lui-même pour nous en la personne de Jésus-Christ ». Il a ensuite exhorté les jeunes mariés à rechercher un amour trouvant son centre au-delà d’eux-mêmes.

TROP SERVIABLE ?

Est-il possible d’être trop serviable ? Se peut-il que notre serviabilité rende la vie plus difficile aux autres ? Oui, si nous nous montrons gênants, importuns, provocateurs, manipulateurs ou dominateurs. Si l’aide que nous apportons ne résulte que de notre angoisse, il se peut que nous cherchions simplement à nous venir en aide à nous-mêmes.

UN MOMENT EXTRAORDINAIRE

Une photo de la navette, et le tour était joué… on avait immortalisé un moment extraordinaire. Le soleil de fin d’été qui se reflétait dans la vague déferlante donnait à l’eau l’aspect d’un or liquide éclaboussant la rive. Si mon amie n’avait pas été là avec son appareil photo, la vague serait passée inaperçue, comme tant d’autres que seul Dieu a remarquées.

GRANDE SERA TA RÉCOMPENSE

Nombre d’entreprises ont des « programmes à points » pour récompenser leurs clients fidèles. On peut accumuler ces points en se servant des services de leur entreprise, comme fréquenter des restaurants de la région, descendre à certains hôtels ou voler sur les ailes de certaines compagnies aériennes. Il va tout à fait de soi de dépenser son argent de cette façon.

OFFRIR LA GRÂCE

Vers le milieu des années 1970, la partie Archives publiques de notre journal local rapportait les demandes de divorce et les jugements définitifs. Bill Flanagan, un pasteur de notre Église qui lisait ces noms semaine après semaine, s’est mis à les voir comme des personnes et non des statistiques. Si bien qu’il a créé un atelier portant sur la convalescence après un divorce afin d’offrir de l’aide et la guérison en Christ à des gens qui souffraient et qui traversaient des temps difficiles. Quand des gens de l’Église, inquiets, ont reproché à Bill de tolérer le divorce, il leur a doucement répondu qu’il ne faisait qu’offrir la grâce de Dieu aux gens dans le besoin.

EMBOURBÉ

On a déjà appelé Jérémie « le prophète pleureur ». Il se peut qu’il ait été enclin à la sensibilité et à la mélancolie, en plus du fait que le jugement de Dieu qu’Israël s’attirait par sa désobéissance lui brisait le cœur. Sa capacité de s’attrister est étonnante : «  Oh ! si ma tête était remplie d’eau, si mes yeux étaient une source de larmes, je pleurerais jour et nuit » (Jé 9.1).