Une invitation au repos
Au chevet d’un ami admis au service des urgences, j’ai été ému devant l’expression de la souffrance des autres patients. Tandis que je priais pour mon ami et pour les patients mal portants, j’ai compris de nouveau que la vie est courte. Je me suis alors souvenu du message d’une vieille chanson où l’on disait que nous ne faisons que passer ici-bas.
Repos de Noël
Garçon, je livrais le journal pour me faire de l’argent de poche. Puisqu’il s’agissait d’un journal du matin, je devais me lever à 3 heures chaque jour de la semaine, pour être en mesure de livrer chacun de mes 140 journaux avant 6 heures.
L’Éternel impose le rythme
L’année 2013 venait à peine de commencer que je ressentais déjà un besoin de vacances. Des rénovations de maison, un lancement de livre, un voyage en Éthiopie et deux voyages de conférences en Australie m’ont laissé peu de temps libre durant la dernière année. Un soir, au milieu de toute cette agitation, j’ai pris un livre et je suis tombé sur cette charmante paraphrase du Psaume 23 par le poète japonais Toki Miyashina.
Travail et loisirs
C’est dimanche. Hourra ! Allons à l’église le matin et ensuite rattrapons-nous dans ce que nous n’avons pas eu le temps de faire durant la semaine. Est-ce ainsi que vous percevez le Jour du Seigneur ? Confession personnelle : c’est souvent ainsi que je me sens à la fin d’une semaine de travail chargée. Mais est-ce mal ?
REPOS PAISIBLE
Il y a quelques années, mon fils Brian et moi avons convenu de transporter de l’équipement jusque dans un ranch isolé de l’arrièrepays de l’Idaho pour un ami. Il n’existe aucune route menant à cette région, du moins aucune que ma camionnette pouvait parcourir. Ralph, le jeune gérant du ranch en question, s’est donc organisé pour nous rencontrer au bout de la route avec un petit chariot attelé à une paire de mules.
SE REPOSER EN DIEU
C’était notre dernier congé passé en famille avant que notre fils aîné parte pour l’université. Tandis que nous remplissions le dernier banc de la petite église du bord de mer, la vue de mes cinq enfants à l’apparence raisonnablement soignée m’a gonflé le cœur de fierté. « Je te demande de les protéger spirituellement et de les garder près de toi, Seigneur », aije prié en silence, en me remémorant les pressions et les défis que chacun d’eux avait à surmonter.
UN SANCTUAIRE
En entrant dans une église de Klang, en Malaisie, j’ai remarqué un panneau de bienvenue qui a piqué ma curiosité. Il indiquait que l’endroit était un sanctuaire pour ceux qui étaient fatigués et chargés.
MÉNAGEZ VOTRE MONTURE
Il y a peu de temps, j’ai commencé à souffrir d’un problème physique. J’avais mal à l’épaule et au bras gauches, une démangeaison douloureuse m’a envahi l’avant-bras et le pouce, et je me suis mis à me sentir fatigué jour après jour. Lorsque j’ai fini par consulter le médecin, j’ai appris que je souffrais du zona. Le docteur m’a prescrit des médicaments antiviraux et m’a dit qu’il faudrait plusieurs semaines avant que le zona disparaisse.
ARBRE DE REPOS
L’arbre solitaire dans le champ en face de mon bureau restait un mystère pour moi. On avait abattu des hectares de forêt pour permettre à un agriculteur d’y faire pousser du maïs. Un seul arbre avait été épargné, avec les branches tendues vers le ciel. Ce mystère a été percé lorsque j’ai appris qu’on l’avait épargné pour une raison précise. Il y a longtemps, les fermiers avaient pour habitude de garder un arbre vivant dans leur champ pour qu’eux-mêmes et leurs animaux puissent s’y reposer au frais, à l’abri des rayons d’un soleil d’été cuisant.
TROP TARD
Cela se produit presque chaque semestre. Je dis souvent aux étudiants de première année d’université qui suivent mon cours d’écriture qu’ils doivent faire leurs nombreux travaux d’écriture sans tarder s’ils veulent réussir mon cours. Presque chaque semestre, il y en a néanmoins qui ne me croient pas. Ce sont eux qui m’envoient des courriels en catastrophe après le dernier jour de classe afin de m’expliquer pourquoi ils n’ont pas pu faire ce qu’ils avaient à faire. Même si j’ai du mal à m’y résoudre, je dois leur dire : « Je suis désolé, mais c’est trop tard. Vous avez échoué au cours. »