MANIFESTER LA GLOIRE DE DIEU
Je raffole du baseball depuis l’enfance. J’aime particulièrement suivre les Tigres de Detroit. Par contre, au cours d’une saison récente, leur mauvais jeu et leurs nombreuses défaites du début de la saison m’ont grandement contrarié. J’ai donc décidé, pour mon propre bien, de faire une pause. J’ai passé quatre jours à éviter tout ce qui concernait mon équipe préférée.
NUL BESOIN D’UN SUBSTITUT
Tandis que j’étais en visite chez mon fils, à San Diego, nous avons décidé d’aller entendre David Jeremiah prêcher à l’église Shadow Mountain. Steve et moi nous sommes levés tôt le dimanche matin et avons fait le trajet d’une heure pour nous rendre à cette église. Cependant, notre anticipation s’est changée en déception lorsque nous avons découvert que Monsieur Jeremiah ne s’y trouvait pas ce jour-là. C’était « quelqu’un d’autre » – un substitut – qui y prêchait.
LE BON VIEUX TEMPS
Il arrive parfois que notre esprit revienne sur les années passées et nous fasse désirer retourner à une époque et à une situation plus agréables : le « bon vieux temps ».
COMME JÉSUS
Au cours d’un service religieux pour enfants, le professeur a parlé du premier des dix commandements : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Ex 20.3). Elle a suggéré aux enfants certains moyens de garder ce commandement, dont : « Rien ne devrait venir avant Dieu – ni les friandises, ni les devoirs, ni les jeux vidéos. » Elle leur a dit que faire passer Dieu en premier revient à faire passer la lecture de la Bible et la prière avant tout le reste.
PLUS QUE JUSTE ET ÉQUITABLE
En Angleterre, au xixe siècle, les conditions de travail étaient catastrophiques. Hommes, femmes et enfants travaillaient dans des usines dangereuses durant le jour et rentraient chez eux passer la nuit dans des taudis crasseux. Bon nombre des propriétaires d’usine se souciaient peu du bien-être de leurs employés.
À DISTANCE
Une chanson populaire d’il y a plusieurs années s’intitulant « From a Distance » (À distance) laisse envisager un monde empreint d’harmonie et de paix. Elle dit que Dieu nous observe à distance. Or, il est vrai que Dieu nous observe, mais pas à distance. Il est là, dans la pièce avec vous, juste devant vous, il vous regarde de ses yeux remplis d’un amour infini.
DU DEVOIR AUX DÉLICES
À cause de son horaire chargé, ma femme ne peut consacrer bien souvent qu’un temps limité chaque semaine à chacun de nos petits-enfants. Lorsque cela lui est possible, elle réorganise toutefois son horaire pour passer plus de temps avec eux – non par sens du devoir, mais parce qu’elle les aime. Quand je la vois avec eux, je comprends ce que signifie le mot « délices ».
FAIRE DES AMIS DE SES ENNEMIS
Durant la guerre de Sécession, la haine a profondément divisé le Nord et le Sud. À une occasion, le président Abraham Lincoln s’est fait critiquer pour avoir parlé de traiter avec bienveillance les rebelles sudistes. Le détracteur a rappelé à Lincoln que la guerre faisait rage, que les Confédérés étaient leurs ennemis et qu’il fallait les anéantir. Cependant, Lincoln lui a répondu avec sagesse : « Je détruis mes ennemis en m’en faisant des amis. »
UN CERCLE D’AMIS
Beaucoup de lycéens souffrant d’autisme ou de trisomie se sentent exclus et négligés. Ils mangent souvent seuls dans une cafétéria bondée parce que les autres élèves ignorent comment agir avec eux ou ne s’en soucient tout simplement pas. Pour répondre à ce besoin, l’orthophoniste Barbara Palilis a créé un « Cercle d’amis » – un programme jumelant des élèves ayant une déficience avec des élèves n’en ayant pas pour des rendez-vous du midi et des activités sociales. Par cet effort de rapprochement, les élèves ayant des besoins particuliers et les élèves sans déficience qui se lient d’amitié avec eux continuent d’être enrichis et transformés au moyen du don de l’acceptation, de l’amitié et de la compréhension.
LE PARTAGE DE L’ESPACE
Des millions de personnes exploitent leur entreprise à domicile, mais il y en a qui se sentent un peu trop seuls dans ce contexte. Afin de procurer une collectivité à ces travailleurs souffrant d’isolement, on a créé des locaux de « coopération professionnelle ». On loue de grandes installations où des travailleurs autonomes peuvent partager de l’espace de travail avec d’autres personnes. Ils disposent de leur propre aire de travail, mais peuvent échanger des idées avec d’autres travailleurs autonomes. Ce concept convient aux gens qui croient pouvoir mieux travailler ensemble que seuls.