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FAIS-MOI CONFIANCE

Lorsque j’étais encore une petite fille, ma tante et mon oncle m’ont emmenée au lac Michigan. Même si quelques-uns de mes cousins s’aventuraient loin dans les vagues, je m’amusais près du rivage. Mon oncle Norm m’a alors demandé : « Sais-tu nager ? » « Non », ai-je admis. « Ne t’inquiète pas, m’a-t-il dit. Je vais t’amener plus loin dans l’eau. » « Mais c’est trop profond », ai-je protesté. « Cramponne-toi simplement à moi, m’a-t-il dit. Me fais-tu confiance ? » J’ai alors pris sa main et nous avons commencé à avancer dans le lac.

JE LE PRENDS

Il y a plusieurs années, alors que j’étudiais à l’Université de la Californie à Berkeley, je me suis lié d’amitié avec un étudiant qui avait subi une perte terrible. Son enfant était mort et sa femme l’avait quitté parce qu’elle ne parvenait pas à surmonter sa souffrance.

INSENSÉ !

Il me semble plutôt contradictoire que Jésus, qui se montrait si doux par moments (Mt 19.13-15), traite certaines personnes d’insensées. Cependant, comme les Évangiles le démontrent plusieurs fois, notre Seigneur a employé ce terme offensant pour décrire les gens de qui il parlait, surtout les pharisiens (voir Mt 23.17-19 ; Lu 11.39,40).

LE PALMARÈS

BibleGateway, une ressource biblique en ligne, a étudié les habitudes de visite de certains de ses huit millions de visiteurs par mois. On a ainsi découvert que Jean 3.16 est le verset ayant été le plus consulté en 2010.

MANIPULER AVEC SOIN

Nous vivons dans une société où abondent les étiquettes de mise en garde. Des avis de non-responsabilité sur les flacons de médicaments aux dates de péremption sur les boîtes de soupe et aux avis de danger sur les tronçonneuses, les étiquettes de mise en garde attirent notre attention sur des dangers imminents. Dernièrement, j’ai reçu un colis contenant un cadeau précieux. L’expéditeur y avait collé une grosse étiquette rouge qui disait : FRAGILE : MANIPULER AVEC SOIN. En réfléchissant à la vie et à sa fragilité, je me demande si nous ne devrions pas tous porter une grosse étiquette du même genre.

PLEINS DE SÈVE ET VERDOYANTS

Dans le Psaume 92, le poète commence par recommander la louange : « Il est bon de louer l’Éternel » ( Semeur ). Bon à quoi ? Bon pour vous et moi. Elle nous fait un bien énorme à l’âme en la détournant des pensées mêlées d’angoisse et en remplissant nos journées de louanges offertes en prière. Il convient de commencer chaque journée par des chants de gratitude, ce qui nous réjouira le cœur. Elle nous fait échapper à la morosité et remplace notre tristesse par des chants joyeux en l’honneur des « œuvres » de Dieu (v. 5). Et quelles sont ces œuvres ? Celles qu’il accomplit en nous !

LE REMÈDE À LA CRAINTE

Dans son premier discours inaugural en 1933, Franklin D. Roosevelt, le président nouvellement élu des États-Unis, s’est adressé à une nation souffrant encore de la Crise de 1929. Dans l’espoir de susciter une perspective plus optimiste par rapport à cette crise économique, il a déclaré : « La seule chose que nous devons craindre est la crainte même ! »

AVEZ-VOUS PERDU PIED?

Étant donné que j’ai écrit plusieurs articles et un livre au sujet des moyens de surmonter les deuils de la vie, j’ai le privilège de connaître beaucoup de gens vivant eux aussi des combats. L’une de mes nouvelles amies est une mère dont la fille de 21 ans est morte soudainement en 2009, ce qui l’a fortement ébranlée. Elle m’a dit : « Je me sens comme mise au ban du monde normal. Je me sens brisée et mon âme souffre terriblement. »

LES AILES DE LA COLOMBE

David a dit dans un soupir : « Oh, si j’avais les ailes de la colombe, je m’envolerais, et je trouverais le repos » (Ps 55.7). En ce qui me concerne, je me construirais un chalet en montagne ou j’accepterais un poste permanent de guetteur de tour d’observation. Lorsque la vie me pèse, je désire ardemment m’envoler moi aussi vers un lieu où me reposer.

JUSTE PARCE QU’IL EST BON

Joel et Lauren ont décidé de retourner vivre chez eux au Michigan en quittant l’État de Washington. Désirant se créer un dernier souvenir spécial, ils sont arrêtés dans leur café préféré pour s’y acheter du café, puis dans leur librairie préférée. Là, ils ont choisi deux autocollants de pare-chocs portant une devise qui leur plaisait beaucoup au sujet de la ville qu’ils quittaient : « C’est une journée à la mode d’Edmonds. »