NUL BESOIN D’UN SUBSTITUT
Tandis que j’étais en visite chez mon fils, à San Diego, nous avons décidé d’aller entendre David Jeremiah prêcher à l’église Shadow Mountain. Steve et moi nous sommes levés tôt le dimanche matin et avons fait le trajet d’une heure pour nous rendre à cette église. Cependant, notre anticipation s’est changée en déception lorsque nous avons découvert que Monsieur Jeremiah ne s’y trouvait pas ce jour-là. C’était « quelqu’un d’autre » – un substitut – qui y prêchait.
À QUI SONT MES LÈVRES ?
La différence entre un compliment et la flatterie tient souvent à ce qui les motive. Le compliment offre une reconnaissance sincère de la qualité ou de l’action remarquée chez une personne. La flatterie est généralement intéressée, car elle a pour but d’obtenir une faveur. Les compliments visent à encourager, alors que la flatterie vise à manipuler.
DES OS BRISÉS
Il y a longtemps, j’étais gardien de but dans une équipe de foot universitaire. C’était plus amusant que je ne saurais le décrire ici, mais à quel prix ! Un prix que je paie encore aujourd’hui. Être gardien de but appelle à constamment barrer physiquement la route à l’équipe adverse pour l’empêcher de marquer des buts, ce qui implique souvent des blessures. Au cours d’une seule saison, je me suis cassé une jambe, je me suis fêlé plusieurs côtes, je me suis disloqué une épaule et j’ai subi une contusion ! Aujourd’hui, surtout par temps froid, ces os anciennement cassés viennent se rappeler à mon souvenir de manière douloureuse.
GRAND-PAPA A FILÉ
Ken, mon cousin, a combattu le cancer avec courage pendant quatre ans. Durant ses derniers jours, sa femme, ses trois enfants et plusieurs de ses petits-enfants sont allés lui rendre visite à l’hôpital, afin de passer du temps en sa compagnie et de lui faire leurs au revoir. Pendant un moment où personne ne se trouvait dans sa chambre, il a glissé dans l’éternité. Après que sa famille a réalisé qu’il était parti, une de ses jeunes petites-filles a fait gentiment remarquer : « Grand-papa a filé. » À un moment, le Seigneur se trouvait ici-bas avec Ken ; le suivant, l’esprit de Ken se trouvait au ciel avec le Seigneur.
COURONNÉ DE GLOIRE
La sonde spatiale Voyager 1 lancée en 1977 se trouve à l’autre bout de notre système solaire, soit à plus de 16 milliards de kilomètres de la Terre. En février 1990, lorsque Voyager 1 se trouvait à presque 6,5 milliards de kilomètres de nous, des scientifiques en ont tourné la caméra vers la Terre pour prendre quelques photos qui montraient notre planète comme n’étant qu’un point bleu presque imperceptible dans un vaste vide spatial.
CRIER À DIEU
Après toutes ces années, je ne comprends toujours pas pleinement ce qu’est la prière. Elle reste pour moi en partie mystérieuse, mais il y a une chose que je sais : lorsque nous sommes au désespoir, la prière nous vient naturellement aux lèvres du plus profond de notre cœur.
NOS JOURS SONT COMPTÉS
Après le passage d’une tornade dévastatrice, un homme se tenait à l’extérieur de ce qui restait de sa maison. Les bijoux de sa femme et ses propres objets de collection étaient éparpillés quelque part dans les débris, mais il n’avait aucune intention d’entrer dans sa maison instable pour les y chercher. Il a déclaré : « Ça ne vaut pas la peine de risquer ma vie. »
UNE VÉRITÉ MYSTÉRIEUSE
Parfois, lorsque le Dieu infini transmet ses pensées à l’homme fini, il en résulte un mystère. Par exemple, il existe dans le livre des Psaumes un verset au sens profond qui semble soulever plus de questions qu’apporter de réponses : « Elle a du prix aux yeux de l’Éternel, la mort de ceux qui l’aiment » (116.15).
LE BON VIEUX TEMPS
Il arrive parfois que notre esprit revienne sur les années passées et nous fasse désirer retourner à une époque et à une situation plus agréables : le « bon vieux temps ».
PRÊT POUR LA GLOIRE
Le 1er mars 1981, D. Martyn Lloyd-Jones, prédicateur et commentateur biblique, reposait sur son lit de mort. De 1939 à 1968, il avait servi Dieu comme pasteur à la Chapelle de Westminster, à Londres. À la fin de sa vie, Lloyd-Jones avait perdu l’élocution. Pour indiquer qu’il ne voulait plus que l’on prie pour sa guérison, il a écrit sur un bout de papier : « Ne me privez pas de la gloire. »