Une histoire personnelle
Une jeune mère désespérée a déposé un jour son bébé d’à peine quelques heures dans la crèche de la Nativité devant une église de New York. Elle l’avait enveloppé chaudement avant de le placer là où on le découvrirait. Si nous sommes tentés de la juger, nous devrions plutôt être reconnaissants de ce que ce bébé aura maintenant une chance de vivre.
Mère Robin
Des milliers d’Indonésiennes appellent Robin Lim, « mère Robin », car elle les a aidées durant leur grossesse et leur accouchement. Sans ses soins et les cliniques qu’elle a mises en place, ces femmes n’auraient jamais pu obtenir l’aide dont elles avaient besoin. Lim a dit : « Le premier souffle d’un enfant sur terre est un souffle de paix et d’amour. Toute mère devrait être forte et en bonne santé. Chaque naissance devrait être sans danger et pleine de tendresse, mais notre monde n’y est pas encore parvenu. »
LES SAISONS DE LA VIE
Lorsque j’étais pasteur, j’ai œuvré auprès de nombreuses mères. Je leur téléphonais à l’hôpital et je me réjouissais avec elles de l’entrée dans le monde de leur précieux poupon. J’ai conseillé des mères angoissées en tentant de les rassurer quant au fait que Dieu veillait sur leurs adolescents rebelles. Je me suis tenu au chevet des enfants blessés ou malades, à ressentir la douleur de leur mère. Et j’ai pleuré avec elles lorsque leur fille ou leur fils est mort.
HONORER SES PARENTS
Mon père, dont les capacités physiques diminuent, vient d’avoir 90 ans. Il parvient encore à se déplacer à l’aide de son déambulateur, mais il a besoin de quelqu’un pour lui préparer ses repas et l’aider dans d’autres tâches.