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LES RÈGLES DU DÉSENGAGEMENT

Dans son livre intitulé Throw Out Fifty Things (Jetez cinquante choses), Gail Blanke insiste sur quatre « Règles de désengagement » pour aider les gens à y voir plus clair dans leur vie. En voici la première : « Si elle […] vous pèse, vous encombre ou vous fait tout simplement vous sentir mal avec vous-même, jetez-la, donnez-la, vendez-la, renoncez-y, passez à autre chose. »

REBONDIR

Le 18 janvier 2012, la plus longue suite de victoires de toute l’histoire du sport de niveaux collégial et universitaire, 252 victoires consécutives, a pris fin lorsque l’équipe de squash du Trinity College a perdu contre Yale. Le matin suivant cette première défaite en quatorze ans, l’entraîneur de Trinity, Paul Assaiante, a reçu le courriel d’un ami, un grand entraîneur de football professionnel, qui lui écrivait : « Maintenant, tu as l’occasion de rebondir. » Dix jours plus tard, l’équipe de ce même entraîneur de football a essuyé une défaite lors de l’un des événements athlétiques les plus prisés : le super Bowl de la NFL. Nous sommes tous appelés à composer avec la défaite.

DES VOITURES TAMPONNEUSES

La vie ressemble beaucoup aux « voitures tamponneuses ». On monte à bord de l’une de ces voitures, sachant que l’on se fera emboutir… mais sans connaître la force de l’impact. Lorsque l’on se fait frapper, on appuie sur l’accélérateur, on pourchasse la personne responsable dans l’espoir d’emboutir sa voiture plus fort qu’elle ne l’a fait.

LÀ OÙ VONT LES PÉCHEURS

Un de mes amis s’entretenait un jour avec un homme qui n’avait pas grand-chose de bon à dire de la foi chrétienne. Cet ami savait que, s’il passait pour trop « religieux », il mettrait en péril ses chances de lui témoigner. Au milieu de leur conversation, il lui a donc lancé : « Hé ! Bob, sais-tu où vont les pécheurs ? »

PRIVÉS DE LA GLOIRE DE DIEU

Le saut à motocyclette comptait parmi les sports à la mode en Amérique dans les années 1970. Cette mode a atteint le sommet (et le creux) de la vague le 8 septembre 1974. Des milliers de spectateurs s’étaient rassemblés le long du Snake River Canyon dans l’Idaho pour voir si Evel Knievel parviendrait à franchir le gouffre au volant d’une « sky cycle » (moto aérienne) spécialement conçue pour l’occasion. L’expérience s’est néanmoins soldée par un échec. Knievel n’a franchi qu’une partie de la distance avant que son parachute se déploie et qu’il aille atterrir au fond du canyon. Certains spectateurs ont demandé : « Quelle distance au-dessus du canyon a-t-il franchie ? » Cependant, là n’était pas la question. Il ne s’est pas rendu jusque de l’autre côté du canyon, ratant ainsi le but.

NULLE PART OÙ ME CACHER

Sentant une odeur de brûlé, je me suis ruée vers la cuisine. Il n’y avait rien sur la cuisinière ou dans le four. Mon odorat m’a conduite partout dans la maison. Je suis allée de pièce en pièce et j’ai fini par descendre au sous-sol. Mon odorat m’a dirigée vers mon bureau, puis vers ma table de travail. J’ai regardé dessous et j’y ai découvert Maggie, notre chienne très « odorante » aux grands yeux suppliants. Ce qui m’avait semblé être une odeur de brûlé en haut avait maintenant l’odeur distincte de la mouffette. Maggie s’était rendue jusque dans le coin le plus loin de la maison pour échapper à cette odeur putride, mais elle ne pouvait échapper à sa propre odeur.

QUELQUE CHOSE À CACHER

Si vous avez quelque chose à cacher, il se pourrait que Mike Slattery ait la solution. Il y a plusieurs années, un fabricant de téléphones cellulaires a voulu ériger une antenne sur sa propriété et la déguiser en pin. Mike a eu une meilleure idée en se bâtissant une fausse grange en panneaux de vinyle permettant aux ondes radiophoniques de les traverser. Il a créé à partir de ce concept une entreprise qui construit des structures destinées à cacher des antennes pour des raisons d’esthétique et de sécurité. Slattery est convaincu qu’un grand nombre de ses voisins n’ont pas encore la moindre idée de ce qui se trouve dans sa grange ( The Gazette , Colorado Springs).

MÊME ELLE ?

Imaginez un peu trouver dans votre arbre généalogique cette description de votre ancêtre : « Une prostituée ayant pris sous son toit des ennemis du gouvernement. Lorsque les autorités l’ont affrontée à ce sujet, elle l’a nié. »

ENTIÈREMENT REMIS

Un de mes amis m’informait de ce qui s’était passé au cours de la dernière année de sa vie, une année durant laquelle il avait continuellement reçu des traitements médicaux contre le cancer. Son sourire était un témoignage puissant en faveur de la bonne nouvelle qu’il venait de recevoir. Il a dit que, lors de son bilan annuel, le médecin lui avait annoncé que tous les résultats d’examen indiquaient la même chose : « Vous êtes entièrement remis ! » Quelle différence deux mots peuvent faire ! Pour mon ami, entièrement remis voulait dire que toute trace de la maladie qui l’avait menacé de mort à peine quelques mois plus tôt avait été éliminée de son corps. Nous nous sommes réjouis d’entendre dire qu’il était entièrement remis !

COINCÉ

Un dimanche matin, D. L. Moody est entré dans une maison de Chicago pour escorter quelques enfants à l’école du dimanche. Durant son passage, trois hommes l’ont acculé dans un coin et l’ont menacé. Moody leur a dit : « Écoutez, les gars, donnez-moi au moins la chance de faire mes prières, hein ? » Les hommes lui ont alors permis de crier à Dieu, et Moody a prié pour eux avec une telle ferveur qu’ils ont quitté la pièce.