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FEUX D’ARTIFICE ET LIBERTÉ

Grâce à l’ingéniosité de nos amis chinois, les Américains célèbrent leur indépendance ce mois-ci avec de généreux feux d’artifice hauts en couleur.

ORGUEIL ET PRÉJUGÉS

Dans les années 1930, le foyer dans lequel j’ai grandi était aimant et heureux, mais mes parents étaient souvent partis. Chaque fois, le noyau du foyer devenait la minuscule et joyeuse Annie, notre femme de ménage.

RESTER EN PLACE OU PARTIR ?

Les Israélites étaient pris au piège. Peu après avoir laissé l’esclavage et l’Égypte derrière eux, ils ont levé les yeux sur une vue déroutante. Un nuage de poussière renfermant une grande armée se dirigeait vers eux. La « maladie » de Pharaon était de retour : l’endurcissement du cœur (Ex 14.8). Résultat : il a lancé ses chariots après Moïse et son peuple.

ÉQUIPE DE NUIT

Le premier emploi de Pat consistait à travailler de nuit dans une épicerie. Après la fermeture, lui et les autres employés remplissaient les rayons. Le patron de Pat leur avait demandé de toujours mettre les boîtes de soupe avec l’étiquette devant afin qu’elle soit facile à lire. Il était même allé un peu plus loin en leur disant : « Veillez à ce que les boîtes aient l’étiquette devant sur trois rangs de profondeur. » Une nuit que Pat remplissait les rayons, ses collègues se sont mis à se moquer de lui : « Surtout, veille bien à ce que l’étiquette soit à la bonne place. Qui le saura ? »

ÊTES-VOUS À L’ÉCOUTE?

Enfant, je passais une ou deux semaines d’été chez mes grands-parents. Ils vivaient dans un cul-de-sac donnant sur des voies ferrées. La première nuit, il m’arrivait souvent de me réveiller plusieurs fois au passage des wagons ou lorsque l’on actionnait le sifflet du train. À la fin de mon séjour, je m’étais toutefois habituée au bruit à tel point que je dormais toute la nuit sans interruption, car le bruit du train était devenu un simple bruit de fond.

UN LONG SENTIER TORTUEUX

Le chemin de la vie me semble parfois trop abrupt et trop long. Je n’ai plus la force et la volonté de continuer à avancer. C’est alors que je me rappelle que Dieu connaissait ce chemin bien longtemps avant que je sois appelé à le parcourir. Il a toujours su à quelles difficultés je me heurterais et les souffrances que je ne pourrais jamais expliquer à quelqu’un d’autre. Il me connaît et m’offre sa présence.

CE QU’IL Y A DE VRAI

Les membres d’une Église de Naperville, dans l’Illinois, se réjouissent de l’installation de ses nouvelles cloches dans le clocher au-dessus de son sanctuaire. Lors de la construction de l’église, il y a plusieurs années, ils n’avaient pas les moyens de s’acheter des cloches. Lors de son 25e anniversaire, ils ont pu amasser les fonds nécessaires pour suspendre trois cloches dans l’espace vide. Même si elles sont magnifiques, il y a un problème : la congrégation ne les entendra jamais sonner, car bien qu’elles puissent passer pour vraies, elles sont fausses.

UNE PAROLE DU SEIGNEUR

Le grand prédicateur et théologien Helmut Thielicke (1908-1986) a subi énormément d’opposition de la part du régime nazi en Allemagne au cours des années 1930 et 1940. Il n’a cependant rien perdu de sa détermination à proclamer la présence et la puissance de Dieu en la personne de Jésus-Christ durant une période difficile qui laisse perplexe. L’érudit Robert Smith a dit qu’en abordant les questions et les problèmes des temps modernes dans ses prédications, Thielicke « cherchait à répondre à la question : Le Seigneur dit-il quelque chose à ce sujet ? »

CONSIDÉREZ VOS VOIES

Un Autrichien de 47 ans a donné toute sa fortune de 4,7 millions de dollars après en être venu à la conclusion que sa richesse et ses dépenses inconsidérées l’empêchaient de connaître la vraie vie et le bonheur. Karl Rabeder a dit au Daily Telegraph (Londres) : « J’avais le sentiment de travailler comme un esclave pour acquérir des choses que je ne voulais pas avoir et dont je n’avais pas besoin. J’ai vécu le plus grand choc de ma vie en réalisant combien le style de vie “cinq étoiles” est horrible, inhumain et dépourvu de sentiments. » Son argent sert maintenant à financer des oeuvres de bienfaisance qu’il crée afin d’aider des gens en Amérique latine.

LE FACTEUR PEUR

Si vous aimez Shakespeare, vous savez que ses héros ont toujours de graves travers. Ils se prêtent bien aux bonnes histoires et permettent d’en
seigner d’importantes leçons. Il en va de même d’Abraham, un de nos héros bibliques. Son travers ? La peur.