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Dieu a tant aimé…

Le 28 juillet 2014 a marqué le 100e anniversaire du début de la Première Guerre mondiale. Dans les médias britanniques, de nombreux débats et documentaires ont retracé le début de ce conflit de quatre ans. Même le programme télévisé M. Selfridge, basé dans un vrai magasin à Londres, inclut un épisode de 1914 montrant de jeunes employés faisant la queue pour s’engager comme volontaires dans l’armée. En observant ces expressions de sacrifice de soi, j’ai senti ma gorge se nouer. Ces soldats étaient si jeunes, si enthousiastes, et si incertains de revenir de l’horreur des tranchées.

Vivant

La respiration laborieuse et la peau blême, elle n’était plus que l’ombre de la femme pleine de vivacité dont les rires résonnaient dans toutes les pièces où se tenaient des réunions familiales. Ceux qui l’aiment entrent et sortent en tentant de lui rendre une dernière visite et en l’étreignant pour une dernière fois. Ils attendent et regardent.

Un homme innocent

Le 15 avril 1865, membres de la famille, médecins et dignitaires sont rassemblés autour du lit du président américain Abraham Lincoln. Ce dernier est inconscient et sur le point de mourir d’une blessure par balle qu’un assassin a tirée sur lui.

Au bout du compte

Le grand missionnaire Adoniram Judson a perdu la foi alors qu’il était à l’université et qu’il a adhéré à la vision de Jacob Eames, un déiste qui croyait que Dieu n’intervient jamais dans notre vie. Lors d’un voyage, Judson séjourne dans une auberge de village, dans la chambre à côté d’un homme mourant. Les gémissements de l’homme gardent Judson éveillé et il se met à penser à la mort. Est-il prêt à rencontrer Dieu ? Le lendemain matin, Judson apprend que l’homme est mort. Il demande à l’aubergiste s’il connaît l’identité du défunt. « Oh ! oui. Un jeune homme de l’université de Providence. Son nom était Eames… Jacob Eames. »

Un rêve brisé

Dans son livre Me, Myself, & Bob (Moi, moi‑même et Bob), Phil Vischer nous raconte comment il a inventé les personnages populaires des VeggieTales Bob la Tomate et Larry le Concombre. Les vidéos chrétiennes de Phil se sont vendues à des millions d’exemplaires et, du jour au lendemain, il a fait sensation. Mais ce génie créatif n’avait pas le sens des affaires et sa compagnie, ayant contracté trop de dettes, a dû déclarer faillite. Les droits pour Bob, Larry et les autres Veggies ont été vendus à quelqu’un d’autre.

La seule chose

Mon ami âgé m’a appelé pour me demander si je voulais bien aller chez lui et prier avec sa femme qui, selon lui, pourrait ne pas passer la nuit. C’était un saint privilège pour moi que de m’agenouiller près de son lit.

Chemin étroit, vie éternelle

L’un des mythes modernes les plus répandus est l’idée qu’une vie sans limites, c’est la liberté. Un mode de vie permissif nous rend libres pour un temps, mais il finit par nous piéger. Nous nous exclamons de façon ridicule : « Je suis libre ! Je suis libre ! » alors que nous retournons dans notre cage et verrouillons la porte.

Né pour mourir

Nous sommes bel et bien au moment merveilleux de l’année où toute notre attention se tourne vers les célébrations de la naissance de Jésus (Lu 2.1‑20). Notre monde n’est plus le même depuis cette nuit sacrée à Bethléhem il y a de cela fort longtemps.

JE CRIERAIS : ALLÉLUIA !

Il y a quelques jours, j’ai épié mon vieil ami Bob en train de pédaler avec vigueur sur un vélo stationnaire du gym de notre quartier en fixant du regard le moniteur de tension artérielle qu’il portait au doigt.

PÂQUES TOUS LES JOURS

Une de mes amies, qui est professeur à la maternelle, a entendu une conversation animée entre ses élèves. La petite Maria a lancé la question : « Qui aime Dieu ? » Tous ont répondu : « Moi ! Moi ! Moi ! » Billy a dit : « J’aime Jésus. » Kelly a protesté en disant : « Mais il est mort. » Billy a affirmé : « Oui, mais chaque jour de Pâques il revient à la vie ! »