LE NOM
Qu’y a-t-il dans un nom qui le rend si particulier ? Je me suis mis à y réfléchir après avoir parlé avec une adolescente en dehors de son église à Black River, en Jamaïque, un dimanche matin. Elle m’a demandé : « Mentionneriez-vous mon nom dans le Notre Pain Quotidien ? » Je lui ai demandé si elle avait une histoire à me raconter, ce à quoi elle m’a répondu : « Non, mentionnez simplement mon nom. »
UNE CHOSE À DÉCLARER
Ce n’était qu’une simple inspection des bagages, mais il n’y avait rien d’ordinaire dans le contenu de la valise. L’agent des douanes suisses qui l’inspectait y a découvert 14 dessins originaux de Pablo Picasso. Même si la valeur de ces œuvres, que renfermait un carnet de croquis, était estimée à plus de 1,5 million de dollars, le passager avait indiqué « rien à déclarer » aux autorités douanières.
LE PLUS GRAND
Qu’y a-t-il de plus grand dans le sport ? Les championnats ? Les records ? Les honneurs ? Au Palestra, le centre de basket-ball de l’Université de la Pennsylvanie, une plaque offre une perspective différente sur le sujet. On peut y lire, en version anglaise : « Remporter le match, c’est formidable. Disputer le match est encore plus formidable. Mais aimer le jeu est le plus formidable de tous. » Voilà un rappel rafraîchissant que le sport n’est, après tout, qu’un jeu auquel on joue avec bonheur durant l’enfance.
IL EST BON
Il n’est pas rare que l’on dise d’un homme qu’« il est bon », en voulant dire que c’est un brave homme. Toutefois, en y pensant bien, qui peut-on dire est vraiment bon dans toutes les acceptions du terme, et surtout au sens biblique ? Il est également tentant de se croire soi-même bon, mais on aurait tort de s’en convaincre.
GRANDE SERA TA RÉCOMPENSE
Nombre d’entreprises ont des « programmes à points » pour récompenser leurs clients fidèles. On peut accumuler ces points en se servant des services de leur entreprise, comme fréquenter des restaurants de la région, descendre à certains hôtels ou voler sur les ailes de certaines compagnies aériennes. Il va tout à fait de soi de dépenser son argent de cette façon.
UNE FRÉNÉSIE ALIMENTAIRE
Les gens qui étudient les requins nous disent que ces derniers sont plus susceptibles de passer à l’attaque lorsqu’ils détectent du sang dans l’eau. Le sang déclenche leur mécanisme d’alimentation, si bien qu’ils attaquent, souvent en groupe, engendrant ainsi une frénésie alimentaire fatale. Le sang dans l’eau trahit la vulnérabilité de la cible.
GOUTTIÈRES ET FENÊTRES
Tandis que la famille était sortie faire une balade en voiture, un panneau blanc immaculé a capté mon attention. On pouvait y lire en lettres rouges impeccables : « Gouttières et fenêtres – travail de qualité garanti ». Le panneau était en parfait état, mais je craignais que la maison et la grange d’à côté ne s’effondrent à tout instant. La peinture s’écaillait, les fenêtres étaient fendues et les gouttières étaient inexistantes !
OFFRIR LA GRÂCE
Vers le milieu des années 1970, la partie Archives publiques de notre journal local rapportait les demandes de divorce et les jugements définitifs. Bill Flanagan, un pasteur de notre Église qui lisait ces noms semaine après semaine, s’est mis à les voir comme des personnes et non des statistiques. Si bien qu’il a créé un atelier portant sur la convalescence après un divorce afin d’offrir de l’aide et la guérison en Christ à des gens qui souffraient et qui traversaient des temps difficiles. Quand des gens de l’Église, inquiets, ont reproché à Bill de tolérer le divorce, il leur a doucement répondu qu’il ne faisait qu’offrir la grâce de Dieu aux gens dans le besoin.
UN TRAIT DE FAMILLE
Il existe une vieille chanson de l’école du dimanche qui me revient à l’esprit de temps à autre. Elle atteste la bénédiction de la paix que Jésus accorde si généreusement : « J’ai dans le cœur la paix qui surpasse toute intelligence, et elle y restera ! »
UN COMPAGNON DE ROUTE
J’aime beaucoup parcourir les sentiers de l’Idaho en savourant leur splendeur et leur beauté pittoresque. Cela me rappelle souvent que ces sentiers symbolisent notre parcours spirituel, car la vie chrétienne consiste simplement à marcher, avec Jésus à nos côtés pour compagnon et guide. Il a parcouru Israël d’une extrémité à l’autre, en se faisant des disciples, à qui il disait : « Suivez-moi » (Mt 4.19).