Ce à quoi Dieu ressemble
En mars 2012, les Américains ont écouté avec regret et dégoût le rapport d’un soldat américain en Afghanistan, auteur d’une tuerie dans un village rural afghan. Ce vaurien de soldat avait massacré 16 civils afghans. C’était une horreur totale. Les répercussions de ce crime abject n’ont fait qu’aggraver notre peine, puisque ces actions cruelles (et quelques autres semblables) ont contribué à définir les idéaux américains pour nos voisins afghans. À cause des actions violentes d’un seul homme, plusieurs croiront que les Américains sont remplis de haine et qu’ils sont à craindre. Qui peut les blâmer ? Quand quelqu’un agit en notre nom ou de notre part, il nous représente par ses actions.
LE VOYAGE COMMENCE
Il y a quatre-vingt-trois ans aujourd’hui, un garçon de 9 ans a prié pour que Jésus devienne le Sauveur de sa vie. Sa mère a écrit ceci dans un carnet de souvenirs : « Clair a marqué un début aujourd’hui. »
LE DÉFI DU CONFINEMENT
À 86 ans, Ken Deal a conclu un ministère de bénévolat en milieu carcéral de plus de trois décennies par un dernier sermon dominical. Le message qu’il a alors adressé aux détenus portait sur la nécessité de servir le Seigneur durant leur incarcération. Plusieurs des exemples dont il s’est servi venaient des prisonniers, dont certains purgeaient des peines à perpétuité. Dans un lieu que tout le monde souhaite quitter, il les a encouragés à grandir et à annoncer la bonne nouvelle de Jésus-Christ.
UN CHRISTINGLE
En République tchèque et ailleurs, les célébrations de Noël incluent des « christingles ». Le christingle est une orange, qui représente la terre, dans laquelle on insère une bougie pour symboliser Christ, la Lumière du monde. On encercle l’orange d’un ruban rouge, qui symbolise le sang de Jésus. Quatre cure-dents portant des fruits secs percent le ruban sur les côtés de l’orange, symbolisant les fruits de la terre.
SAINTE NUIT
Simon avait émigré des Pays-Bas aux États-Unis. Sa femme, Kay, et leurs trois enfants étaient nés en sol américain. Puis Jenny a épousé Roberto du Panama. Bill a épousé Vania du Portugal. Et Lucas a épousé Bora de la Corée du Sud.
DIEU AVEC NOUS
Sa présence dans la pièce était évidente. Tous les autres portaient des vêtements plutôt formels. Lui portait un jeans, un t-shirt et une casquette de baseball usée. Je n’ai pu m’empêcher de le remarquer en m’adressant aux étudiants ce jour-là dans la chapelle d’un séminaire à Bucarest, en Roumanie. J’ignore pourquoi il ne se conformait pas au code vestimentaire du séminaire, mais je me rappelle son nom.
OMBRE ET LUMIÈRE
L’historien des arts Seymour Slive a décrit le grand artiste hollandais Rembrandt (1606-1669) comme le maître de l’ombre et de la lumière, un remarquable narrateur sur la toile. Celle que le maître a intitulée L’Adoration des bergers illustre l’étable sombre de Bethléhem où deux bergers se sont agenouillés près de la mangeoire tandis que d’autres personnes se tiennent plus loin. Un homme tient une lanterne. La lumière la plus éclatante ne se dégage toutefois pas de sa lanterne, mais de l’enfant Jésus, illuminant ceux qui se sont réunis près de lui.
LE FILS NOUS EST DONNÉ
Le mouvement joyeux « Car un enfant nous est né », tiré de la première partie de l’oratorio « Le Messie », de Händel, compte parmi mes préférés. J’aime tout particulièrement la façon dont le chœur monte une fois rendu au vers « Un fils nous est donné ». Bien entendu, cette parole est tirée d’Ésaïe 9.6 : « Car un enfant nous et né, un fils nous est donné. » La musique majestueuse de Händel s’envole sur les ailes de l’adoration vers le Fils qui est venu à nous en s’incarnant lors du premier Noël.
NOËL ANNULÉ
Nous avions l’impression que notre Noël avait été annulé l’année dernière. En fait, notre vol pour aller voir la parenté au Missouri a été annulé en raison de la neige. Comme nous avons pour tradition de célébrer Noël avec eux depuis quelques années, cela nous a beaucoup déçus de devoir revenir au Michigan après nous être rendus seulement au Minnesota.
UNE NOUVELLE FORCE
Lorsque Matteo Ricci s’est rendu en Chine, au XVIe siècle, il y a emporté des exemples d’art religieux afin d’illustrer l’histoire de Noël pour les gens qui n’en avaient jamais entendu parler. Ils ont facilement accepté des portraits de Marie tenant l’enfant Jésus dans ses bras, mais lorsqu’il leur a montré des toiles de la crucifixion et qu’il a tenté de leur expliquer que le divin enfant était venu se faire exécuter, son auditoire en a été dégoûté et horrifié. Les gens ne pouvaient adorer un Dieu crucifié.