Qui a péché ?
Dieu m’a révélé pourquoi ton cancer de la peau n’est pas encore guéri, a dit une femme à mon ami. « Vraiment ? » a-t-il pensé. Après avoir subi deux opérations douloureuses qui n’ont pas réussi à éliminer le cancer de son visage, mon ami en cherchait désespérément la raison. « Dieu m’a dit que c’est une de ces trois choses-là », a-t-elle continué. « Une des trois », s’est dit mon ami. « Même Dieu n’est pas certain ? » « Soit c’est une malédiction transmise par tes parents… » « C’est la faute de mes parents ? » « Soit tu gardes un péché secret… » « Lequel ? » (mon ami peut être effronté.) « Soit tu n’as pas assez de foi pour être guéri. »
Un privilège familial
Lorsque j’étais à l’école primaire au Ghana, je devais vivre dans une famille aimante et attentionnée loin de mes parents. Un jour, tous les enfants se sont rassemblés en vue d’une réunion familiale particulière, dont la première partie consistait à nous faire tous parler d’une expérience personnelle. Ensuite, cependant, lorsque seuls « les enfants biologiques » devaient être présents, on m’en a poliment exclu. C’est alors qu’une dure réalité m’a frappé : je n’étais pas un « enfant de la maison ». En dépit de son amour pour moi, cette famille exigeait mon exclusion du fait que je ne faisais que vivre avec elle ; je n’étais pas un membre de la famille au sens de la loi.
Au café
Un pasteur voulait supprimer les traditions formelles de son Église et veut l’amener à prendre une nouvelle direction. Il se disait que c’était les formalités en vigueur dans la congrégation qui empêchaient la communauté locale d’entrer dans l’église. Il voulait donc petit à petit les aider à changer.
Au café
Crystal regarde fixement par la fenêtre du café et se demande si la vie ne s’améliorera jamais. Déjà cinq hommes et deux enfants, et elle n’a que vingt-neuf ans. Elle se sent seule et se demande si l’homme numéro six rendra les choses meilleures.
Viens à moi
Lorsque Jésus vivait ici‑bas, il invitait les gens à venir à lui, ce qu’il fait encore de nos jours (Jn 6.35). Qu’ont‑ils toutefois, lui et son Père dans les cieux, dont nous avons besoin ?
Levez la main
La chorale St. Olaf de Northfield, au Minnesota, est réputée pour sa belle musique vocale. Elle doit son excellence en partie au processus de sélection de ses membres. On choisit chacun en fonction non seulement de la qualité de sa voix, mais aussi de sa capacité à bien harmoniser celle‑ci avec l’ensemble des chanteurs. Elle excelle également parce que tous ses membres s’entendent pour accorder la priorité à la chorale et se sont engagés à respecter un horaire strict de répétitions et de concerts.
Pourquoi ?
Notre vie a commencé à basculer lorsque notre fille s’est enlevé la vie, m’a confié une femme durant la pause d’une conférence à laquelle nous assistions toutes les deux. « Puis notre deuxième fille a sombré dans la dépression et a commencé à s’"automutiler" ». Après plusieurs mois, nous avons découvert pourquoi : Alors que mon mari et moi étions missionnaires en Indonésie, deux de nos trois enfants ont été victimes d’abus sexuels dans une école dirigée par la mission. Nous avions donné notre vie pour servir Dieu… Pourquoi ne nous a-t-il pas protégés ? » J’ai entendu d’autres histoires semblables à cette conférence – des gens qui se sont sentis trahis par Dieu.
L’échec n’est pas fatal
Le premier ministre Winston Churchill a su redonner le moral au peuple britannique au cours de la Seconde Guerre mondiale. Le 18 juin 1940, il a déclaré à une population effrayée : « Hitler sait qu’il devra nous anéantir […] s’il veut remporter la victoire. Nous devons par conséquent rassembler nos forces et […] nous comporter de telle manière que si l’Empire britannique et son Commonwealth existent toujours dans mille ans, les hommes pourront dire : “Ce fut leur heure de gloire.” »
Que t’importe !
Le contentement ne fait pas partie des nombreuses fins auxquelles les médias sociaux sont utilisés. Du moins, pas dans mon cas. Même lorsque mes objectifs sont bons, je risque de me décourager en en voyant sans cesse d’autres atteindre les leurs avant moi ou avec de meilleurs résultats. Me sachant encline à ce genre de découragement, je m’évertue à me rappeler que Dieu ne m’a pas bernée. Il m’a déjà donné tout le nécessaire pour accomplir la tâche qu’il m’a confiée.
Le temps et l’éternité
J’ai toujours voulu apprendre à jouer du violoncelle. Mais je n’ai jamais trouvé le temps de prendre des leçons. Puisque le temps est court, je préfère passer mon temps à faire des choses que je ne pourrai faire au ciel – des choses comme aider un croyant ou une croyante à grandir dans sa foi, ou entrer en contact avec quelqu’un qui ne croit pas en Jésus. Je me dis : Au ciel, j’aurai toute l’éternité pour parvenir à maîtriser cet instrument !