Le véritable salut
Que faut-il faire pour être sauvé ? Pour connaître la réponse, regardez dans le livre de Galates. Le problème qui se posait dans les Églises de Galatie est le même que celui avec lequel beaucoup de chrétiens luttent encore aujourd’hui. Sommes-nous réellement sauvés par notre foi en Jésus-Christ et par son sacrifice sur la croix pour nous, ou devons-nous en faire davantage ?
LES MERVEILLES DU CŒUR
Notre cœur bat à un rythme d’environ 100 000 battements par jour, injectant ainsi du sang dans chacune des cellules de notre corps. Cela totalise environ 35 millions de battements par année et 2,5 milliards de battements au cours d’une vie moyenne. La médecine nous indique que toute contraction est semblable à l’effort qu’il faudrait déployer pour tenir une balle de tennis dans la paume de sa main et la serrer bien fort.
Le rythme de l'histoire
George Jellinek, ancien animateur de l’émission de radio The Vocal Scene (La scène vocale) a dit : « L’histoire d’un peuple est racontée dans ses chansons. » Il y a plusieurs années, la musique était un moyen essentiel pour les esclaves américains de raconter leur histoire. Elle était le principal outil du mouvement des droits civils pour en exprimer la vision. Si on veut connaître une culture et son peuple, on doit connaître la musique utilisée pour transmettre son histoire. C’est ainsi que la nation d’Israël a utilisé les psaumes. Les histoires et les prières l’ont aidée à se rappeler Dieu, tout particulièrement durant les longues années pendant lesquelles ce dernier a gardé le silence.
POUVEZ-VOUS AIDER ?
Les administrateurs du lycée de Barrow, en Alaska, se sont lassés de voir les élèves s’attirer des ennuis et le taux de décrochage se maintenir à 50 p. cent. Pour favoriser l’intérêt des élèves, ils ont mis sur pied une équipe de foot, ce qui leur a offert la chance d’acquérir des aptitudes personnelles, d’apprendre à travailler en équipe et de tirer des leçons de la vie. L’ennui, c’est qu’étant donné que la ville de Barrow est située au nord de l’Islande, il est difficile d’y faire pousser de l’herbe. Si bien que les élèves y jouaient au foot sur un terrain de pierres concassées et de terre.
Saluer à trois doigts
Savez-vous comment saluer à « trois doigts » ? C’est très simple. Vous levez la main et vous joignez votre petit doigt à votre pouce. Les trois autres doigts représentent le Père, le Fils et le Saint-Esprit. On peut utiliser ce signe pour entrer en contact avec d’autres chrétiens « lorsque la communion fraternelle verbale n’est pas possible » a dit le créateur du signe, Mark Mitchum. Il espère que ce signal permettra [aux chrétiens] de tisser des liens entre eux l’instant de quelques secondes, et favorisera la fraternisation et les encouragements.
SE SOUCIE-T-IL DE NOUS ?
Minnie et George Lacy se posaient certaines questions : « Jésus suffitil ? Notre relation avec Christ suffitelle à nous soutenir ? Suffiratil à nous aider à désirer continuer de vivre ? Dieu se soucietil de nous ? »
Éprouvés par le feu
En novembre 2011, le jour du mariage de Mike et Nancy, le bâtiment dans lequel ils étaient censés se marier a été consumé par les flammes. L’incendie a ravagé le superbe édifice, sa cuisine, sa salle de conférence, sa piscine et ses chambres d’invités. Tout le cortège et les invités ont dû se rendre dans un autre bâtiment pour la cérémonie. Les cadeaux et les fleurs n’existaient plus, mais Nancy a dit : « Nous avons perdu toutes ces choses, mais ce n’est pas important pour nous. Il nous reste ce qui compte vraiment. »
UNE SALUTATION ÉTERNELLE
Après avoir passé une semaine de vacances avec sa fille et son petitfils de 4 ans, Oliver, Kathy a dû leur dire au revoir. Elle m’a écrit : « Les belles retrouvailles que nous avons connues me font désirer ardemment les cieux. Làhaut, nous n’aurons plus à essayer de conserver nos souvenirs en esprit. Làhaut, nous n’aurons plus à prier pour que le temps passe lentement et que les journées durent longtemps. Làhaut, nos accueils ne se changeront jamais en au revoir. Les cieux seront un "accueil éternel", et il me tarde d’y aller. » En tant que grandmère pour la première fois, elle désire être le plus possible en compagnie de son petitfils Oliver ! Elle est reconnaissante pour le temps qu’elle passe avec lui et pour l’espérance de la vie au ciel, où les instants merveilleux ne se termineront jamais.
L'envol
Dans l’histoire d’un héros peu crédible, J. R. R. Tolkien dépeint une image frappante d’une délivrance prescrite et inattendue. Cerné par des loups et des gobelins, Bilbo croyait que tout était fini. Avec ses amis, il était emprisonné entre les arbres qui ont vite été embrasés par le feu des gobelins. Gandalf grimpa sur la plus haute branche et disparut. Offrant une merveilleuse vision de la délivrance opportune de Dieu ; des aigles immenses surgirent pour sauver le groupe de voyageurs et les mener en lieu sûr. Pris de vertige, Bilbo détesta le voyage.
DANS LA TEMPÊTE
Une tempête se préparait – non seulement à l’horizon, mais aussi sous le toit d’une amie. « Lorsque j’étais à Hong Kong, m’a-t-elle dit, les services météorologiques locaux annonçaient l’approche d’une terrible tempête. Par contre, celle qui menaçait à l’intérieur était pire encore que celle du dehors. Tandis que mon père était hospitalisé, les membres de ma famille s’efforçaient d’équilibrer responsabilités familiales et responsabilités professionnelles, en plus des visites à l’hôpital. Ils étaient si fatigués que leur patience s’amenuisait, et la situation à la maison était tendue. »