S’attendre à Dieu
J'étais à bord d’une navette aéroportuaire à destination de mon vol de correspondance quand on a demandé au conducteur de « rester sur place ». Tout semblait indiquer que nous allions manquer notre vol, ce qui excédait un certain passager. Il s’en est donc pris au chauffeur, exigeant que celui‑ci fasse fi des ordres reçus « sous peine d’être traîné en justice ». C’est alors qu’un employé de la compagnie aérienne est arrivé à la course, un porte-documents en main. Devant l’homme outré, l’employé a brandi le porte-document d’un air triomphant. Après avoir repris son souffle, il a déclaré : « Vous avez oublié votre portedocuments. Je vous ai entendu dire combien votre réunion était importante, et je me suis dit que vous en auriez besoin. »
Publiez‑le !
Nous étions en 1975, et quelque chose d’important venait tout juste de m’arriver. Je devais trouver mon ami Francis, à qui je faisais bien des confidences, afin de lui en parler. Le trouvant à son appartement en train de se préparer à sortir à toute allure, je l’ai ralenti. Le regard qu’il m’a alors lancé m’a indiqué qu’il avait dû sentir que j’avais quelque chose d’important à lui dire : « Qu’y a‑t‑il ? » m’a‑t‑il demandé. Ce à quoi j’ai répondu : « Hier, j’ai donné ma vie à Jésus ! »
Un rêve
Corneille était en train de prier lorsqu’il a eu une vision d’un ange lui disant d’inviter l’apôtre Pierre chez lui (AC 10.2‑6). Le centenier romain a donc envoyé ses serviteurs trouver l’apôtre, en lui précisant que Corneille et sa famille étaient prêts à entendre le message de Pierre (V. 22). Ayant reçu sa propre direction divine (V. 9‑21), Pierre les a suivis et leur a annoncé l’Évangile, et toute la famille de Corneille a cru (V. 23‑48). Cet événement constitue un rendez-vous divinement organisé.
Notre mission
J’ai un ami apiculteur qui s’est récemment trouvé nez à nez avec ce qu’il croyait être des abeilles hostiles en train d’essaimer. Les abeilles se tenaient sur la paroi extérieure de leur ruche – une structure de bois dans laquelle elles vivaient. Mon ami croyait qu’un essaim allait bientôt se former, mais en y regardant de plus près, il a compris que les abeilles étaient sorties de la ruche parce qu’elle était devenue trop chaude en raison de la chaleur du jour. Les abeilles n’étaient pas hostiles. Elles se laissaient rafraîchir par la brise du jour.
Ouvrir des portes
Charlie Sifford es un grand nom du monde sportif des États-Unis. Il est devenu le premier golfeur afro-américain à participer à un championnat de la PGA, la forçant à abolir une certaine clause de ses règlements intérieurs ayant stipulé jusqu’en 1961 qu’elle était réservée aux « Blancs seulement ». Malgré les injustices et le harcèlement que des gens racistes lui faisaient subir, Sifford s’est hissé au sommet de son sport, en remportant deux tournois et en devenant, en 2004, le premier Afro-américain à être intronisé au Panthéon mondial de la renommée du golf. Ce faisant, il a ouvert les portes du golf professionnel aux joueurs de toutes origines ethniques.
Possiblement la bonne année
Mon père était pasteur, et le premier dimanche de chaque année, il prêchait sur le retour de Christ, en citant souvent 1 Thessaloniciens 4. Il revenait toujours sur un point en particulier : « Ce pourrait être l’année où Jésus reviendra. Êtes-vous prêt à le rencontrer ? » Je n’oublierai jamais avoir entendu ce sermon à l’âge de six ans et de m’être dit : Si c’est vrai, je suis pas sûr qu’il viendra me chercher, moi. J’avais la conviction que mes parents iraient au ciel, et je voulais y aller moi aussi. Alors, quand mon père est rentré de l’église ce jour-là, je lui ai demandé comment je pouvais en être sûr. Il a ouvert sa bible, il m’a lu quelques versets et il m’a parlé du besoin que j’avais d’un Sauveur. Il n’a pas fallu grand-chose pour me convaincre de mes péchés. C’est ainsi que mon père m’a conduit à Christ. Je lui serai d’ailleurs éternellement reconnaissant d’avoir semé ces vérités en moi.
Se rappeler
La semaine dernière, j’ai emmené mon fils adoptif Wasswa et son copain Joseph (un Éthiopien adopté par mes amis) sur une plage de la Floride où j’ai grandi. Je regardais les garçons patauger dans l’eau du Golfe, jouer dans le sable et donner des petits coups à une méduse morte échouée sur le rivage, et je m’émerveillais de l’oeuvre que Dieu avait faite dans leur vie.
Viser une mouche
Les aptitudes de Macarena Valdes à cartographier des mines souterraines ont contribué au sauvetage de 33 mineurs chiliens, pris au piège dans une mine lors d’une explosion, en octobre 2010. Selon Macarena, forer pour découvrir l’endroit exact où se trouvaient les mineurs se comparait à tirer du fusil sur une mouche située à plus de 700 mètres. Grâce à son expérience dans le domaine, Mme Valdes a réussi à guider la sonde jusqu’au lieu où étaient les mineurs et, ce faisant, a collaboré à leur sauvetage spectaculaire.
Un bon ouvrier
Croyez-vous être un bon ouvrier aux yeux de Dieu ? Il est difficile de répondre à cette question. Certains ont l’impression qu’ils ne seront jamais assez bons pour mériter un tel éloge. D’autres avouent que la recherche de son approbation ne fait pas partie de leurs priorités. De plus, il est facile d’être trop modeste ou faussement positif. Comment peut-on donc s’autoévaluer correctement ?
Préparez le chemin
En 2004, un gigantesque tsunami créé par un séisme de magnitude 9,3 a détruit des villes et des villages entiers en Indonésie. Des centaines de milliers de gens ont perdu la vie simplement parce qu’ils ne savaient pas que la vague arrivait. Plusieurs pays ont maintenant mis en place des systèmes d’alerte pour avertir les citoyens de se déplacer vers un endroit plus élevé.