Devant l'impossible
En 2008, la valeur des maisons a chuté au Royaume-Uni. Deux semaines après que mon mari et moi avons mis en vente notre maison, vieille de quarante ans, un acheteur nous a offert un bon prix pour elle et nous l’avons accepté. Les ouvriers de construction n’ont pas tardé à travailler à la maison dont j’avais hérité et qui allait devenir notre nouveau foyer. Quelques jours plus tard, avant que la vente de notre ancienne maison ne soit finalisée, notre acheteur s’est toutefois désisté. Nous en avons été anéantis. Nous nous retrouvions avec deux propriétés. Une qui perdait rapidement de sa valeur et une autre, ni vendable ni habitable, qui tombait presque en ruine. Tant que nous ne trouverions pas de nouvel acheteur, nous n’aurions pas de quoi payer les ouvriers. C’était une situation impossible.
Un père qui court
Chaque jour, un père s’étirait le cou pour voir la route qui s’étendait au loin, dans l’attente du retour de son fils. Et chaque soir, il allait se coucher déçu. Un jour, par contre, une silhouette solitaire s’est dessinée à l’horizon, contre le ciel cramoisi. Se pourrait‑il que ce soit mon fils ? s’est demandé le père. C’est alors qu’il a reconnu sa démarche nonchalante. Oui, c’est sûrement mon fils !
Plus vite que le guépard
Le majestueux guépard africain, connu pour sa capacité à atteindre les 112 kilomètres par heure lorsqu’il sprinte, ne réussit pas aussi bien sur une longue distance. Or, la chaîne BBC a rapporté dans son journal télévisé que quatre membres d’un village du Nord‑Est du Kenya étaient parvenus à parcourir 6,5 km plus rapidement au pas de course que deux guépards.
Au travail
Nous avions un souper de groupe suivi de témoignages sur un Dieu qui aime assez son peuple pour lui transmettre ses rêves. Nous avons entendu parler d’un complexe d’appartements pour mères célibataires, d’une grange aménagée pour les mariages et de terrains de camping chrétiens, de la fondation d’une nouvelle église locale. Le point commun entre ces réalisations était le désir de voir le nom de Dieu devenir grand grâce à chaque pas de foi.
Sous la lumière de Dieu
Le Pasteur G. Campbell Morgan a déjà dit : « Nous adopterons différents comportements en temps de crise selon que nous voyons les difficultés sous la lumière de Dieu ou que nous voyons Dieu dans l’ombre des difficultés. » Quand les gens font face à une crise, ils ont tendance à voir les choses par le biais de la peur et de l’anxiété.
Trop pour moi
Dieu ne nous donne jamais plus que ce que nous pouvons gérer », voilà ce qu’une personne a dit à un père dont le fils de 5 ans venait de perdre son combat contre le cancer. Cette parole, qui devait servir à l’encourager, a plutôt eu pour effet de le déprimer et de l’amener à se demander pourquoi il ne « gérait » pas du tout la mort de son enfant. Il souffrait à tel point qu’il en avait peine à respirer. Il savait que sa douleur était trop grande pour lui et qu’il avait désespérément besoin que Dieu le serre fort dans ses bras.
Ne t'inquiète pas !
George Burns, l’acteur et humoriste américain, a dit : « Si vous me demandiez quelle est la clé la plus importante de la longévité, je devrais vous répondre qu’il s’agit d’éviter les inquiétudes, le stress et les tensions. Et si vous ne me posiez pas la question, il me faudrait malgré tout vous le dire. » Burns, qui est devenu centenaire, se plaisait à faire rire les gens et, semble‑t‑il, suivait ses propres conseils.
Levez le camp et partez
Dans son livre Seize the Day (Profite du moment présent), Danny Cox, un ancien pilote de jet maintenant chef d’entreprise, a expliqué pourquoi les pilotes avaient eu besoin d’un nouveau système d’éjection. Avec l’ancien système, lorsque les pilotes déclenchaient l’éjection, tout ce qu’ils avaient à faire était de sortir de l’avion et de rouler vers l’avant pour sortir du siège. Durant les tests, cependant, les pilotes ne pouvaient lâcher le siège pendant le processus. Les ingénieurs ont trouvé une solution. Deux secondes après l’éjection, un réenrouleur électronique prendrait immédiatement le relais en poussant le pilote hors de son siège, et libérerait le parachute.
POURQUOI MOI ?
On a demandé au pasteur britannique Joseph Parker : « Pourquoi Jésus a-t-il choisi Judas au nombre de ses disciples ? » Il a profondément réfléchi à la question pendant un instant, mais sans parvenir à y répondre, car il ne cessait de tomber sur une question encore plus déconcertante : « Pourquoi m’a-t-il choisi, moi ? »
SIMPLEMENT FAIRE CONFIANCE
Lorsque nos enfants étaient jeunes, les amener chez le médecin était une expérience intéressante. La salle d’attente était remplie de jouets avec lesquels ils pouvaient s’amuser et de revues pour enfants que je pouvais leur lire. Jusquelà, il n’y avait pas de problème. Par contre, dès que je les prenais dans mes bras pour les faire entrer dans le cabinet, tout changeait. Soudain, leur plaisir se transformait en peur lorsque l’infirmière s’approchait d’eux avec en main la seringue nécessaire à leur vaccination. Plus elle approchait, plus ils resserraient leur étreinte autour de mon cou pour que je les réconforte, espérant probablement recevoir du secours, sans savoir que l’on agissait au mieux de leurs intérêts.