Rendre la pareille ?
En 2012, au cours d’un discours de collation des grades d’une grande université chrétienne, l’homme d’affaires et célébrité du petit écran Donald Trump a déclaré à 10 000 étudiants que la meilleure façon de réussir en affaires c’est de « rendre la pareille », ce qui a suscité des critiques selon lesquelles la philosophie de Trump ne correspond pas aux valeurs chrétiennes.
Prompt… et lent
Si vous êtes actif sur un média social quelconque (Facebook, Twitter, blogue, etc.), il vous est sûrement arrivé de lire quelque chose qui vous a fait bouillir de colère. Je ne crois pas qu’il existe un moyen d’avoir des conversations sérieuses sur des sujets controversés sur la toile. Est-ce même possible ?
Se faire violence
Il y a quelques années, j’ai travaillé comme enseignante suppléante à Birmingham en Angleterre. Au début, j’appréciais beaucoup la collaboration de l’aide enseignante. Mais lorsqu’elle s’est mise à prendre le contrôle de la classe, j’ai été tentée de céder au ressentiment et à l’insécurité. Mais j’ai décidé d’agir à l’inverse de mes sentiments et je lui ai communiqué toute mon appréciation, j’ai prié pour elle et je lui ai demandé des explications avec amour. Lorsque le temps est venu pour moi de quitter mon poste, elle m’a donné un cadeau et une lettre de remerciement. Faire le contraire de ce que mes émotions me dictaient a dissipé les sentiments hostiles d’une aide-enseignante qui aurait pu se sentir menacée et incomprise.
Rappels
En tant qu’animatrice de radio chrétienne, j’ai parfois l’occasion de questionner les auteurs-compositeurs et les musiciens sur le processus d’écriture qui mène à la création de leur musique. Ces adorateurs font souvent référence à un événement particulier qui a inspiré l’écriture d’une certaine chanson. Ainsi, lorsque j’entends le morceau, je me rappelle l’histoire derrière les paroles. Ces chansons évoquent les souvenirs du parcours d’une personne, tout comme le font les poèmes, blogues, peintures et mises à jour des médias sociaux. Ils ont tous une façon de nous rappeler et de rappeler aux autres la providence, la délivrance et la présence de Dieu.
Gardez courage
Préparer trois repas par jour, semaine après semaine, peut s’avérer fastidieux. Je me lasse de peler, de couper, de trancher, de mélanger et puis d’attendre que le tout cuise, grille ou bouille. Par contre, le manger n’est jamais une corvée ! Nous en tirons réellement beaucoup de plaisir, même si nous le faisons jour après jour.
De lourdes charges
Un homme âgé m’a vue transporter avec peine une lourde boîte de ma voiture jusqu’au bureau de poste. Plutôt que de laisser son âge, son épuisement marqué ou la grosse chaleur le faire reculer, il s’est empressé de m’aider.
Partager un hamburger
Lee Geysbeek, de Compassion Internationale, a raconté l’histoire d’une femme qui avait la possibilité de se rendre dans un pays lointain pour rendre visite à un enfant qu’elle parrainait. Elle a décidé d’emmener au restaurant cet enfant, qui vivait dans une pauvreté abjecte.
LA VIE BIEN ARROSÉE
J’ai un ami qui vit dans un ranch des grands espaces du Montana. La route qui mène chez lui serpente à travers des contrées sauvages et arides. En approchant de son ranch, on ne peut s’empêcher de remarquer les bandes contrastantes d’arbres verdoyants et d’une végétation pleine de vie ornant sa propriété. Une des meilleures rivières à truites d’Amérique du Nord la traverse, et tout ce qui pousse près de ses berges profite d’une source inépuisable d’eau vitale.
La face resplendissante de Dieu
L’Empire inca avait l’habitude de se livrer à des pratiques répugnantes, dont le sacrifice d’enfants. Chaque année, certaines familles cédaient leur enfant. On le célébrait et on lui donnait de l’alcool de maïs pour calmer sa peur. Puis, on le transportait au sommet d’une montagne et on l’assommait pour qu’il soit inconscient et qu’il ne ressente pas la douleur. On abandonnait là l’enfant qui finissait par mourir de froid. Il serait faux de croire que ces familles n’accordaient aucune valeur aux enfants. Bien au contraire, c’était une grave décision à prendre pour les parents. Ils croyaient simplement que c’était une exigence de leurs dieux.
MIEUX QU’AVANT
Très jeunes, mes enfants avaient la peau presque parfaite. Elle était douce. Par ailleurs, ils n’avaient aucune sécheresse aux coudes ni corne aux pieds. Leur peau neuve contrastait avec la mienne, sur laquelle le passage des ans avait laissé diverses cicatrices et callosités.