Pour nos amis
Dans son roman intitulé Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë fait une description mémorable d’un homme acariâtre...
Fiction ? Non
Il y a peu de temps, un magasin qui fait partie d'une grande chaîne de détail a classé ses bibles comme œuvres de « fiction ».
Défi de quinze minutes
Charles W. Eliot, qui a été longtemps président de l’université Harvard, était d’avis que quiconque consacrait au moins quelques minutes par jour à la lecture de grandes oeuvres littéraires pouvait acquérir une bonne éducation. En 1910, il a sélectionné des livres d’histoire, de science, de philosophie et d’art qu’il a compilés en un ouvrage de cinquante tomes intitulé The Harvard Classics. Chaque tome thématique incluait le guide de lecture de M. Eliot intitulé Fifteen Minutes A Day (Quinze minutes par jour), qui recommandait pour chaque jour de l’année la lecture de huit à dix pages en particulier.
Un parcours de foi
Depuis sa première parution en 1880, le livre de Lew Wallace intitulé Ben‑Hur, une histoire sur le Christ n’a jamais été en rupture de stock. On dit de ce livre qu’il a été le plus influent du XIXe siècle et qu’il continue de captiver ses lecteurs de nos jours en tissant sous leurs yeux la véritable histoire de Jésus à même la vie fictive d’un jeune noble Juif nommé Juda Ben‑Hur.
Un bon héritage
Grand‑papa et grand‑maman Harris n’avaient pas beaucoup d’argent ; pourtant, ils ont trouvé le moyen de rendre chaque Noël mémorable pour mes cousins et moi. Il y avait toujours de la nourriture, du plaisir et de l’amour en abondance. Et dès un très jeune âge, nous avons appris que nous devions cette célébration à Christ.
Je suis riche !
Avez‑vous vu la publicité télévisée où quelqu’un répond à la porte et une personne lui tend un chèque au montant astronomique. Puis l’heureux gagnant se met à crier, à danser, à sauter et à serrer son visiteur dans ses bras : « J’ai gagné ! Je suis riche ! Je n’en reviens pas ! Mes problèmes sont résolus ! » Faire fortune d’un coup suscite une réaction très émotionnelle.
Des paroles importantes
On estime que six milliards d’exemplaires de la Bible ont été vendus un peu partout, ce qui en fait le livre le plus vendu au monde. L’Américain moyen en possède trois ou quatre exemplaires. Selon un sondage fait en 2012, cependant, 18 pour cent de ceux qui vont à l’église ont révélé ne la lire que rarement ou même jamais, et 22 pour cent ont affirmé ne la lire qu’une fois par mois. Seulement 19 pour cent ont dit la lire chaque jour. Lamar Vest, président de l’American Bible Society, en a conclu : « Il doit y avoir environ cinq Bibles sur les étagères de chaque foyer américain. Les Américains achètent des Bibles… mais ne les lisent pas. »
Le livre qui se boit
Étant donné qu’il est si difficile de trouver de l’eau potable dans certaines régions du monde, une organisation nommée Water Is Life (L’eau, c’est la vie) a créé une merveilleuse ressource appelée « The Drinkable Book » (Le livre qui se boit). Le papier des pages de ce livre est revêtu de nanoparticules d’argent permettant de filtrer l’eau de manière à en éliminer près de 99,9 % des bactéries nocives ! Chaque page détachable peut être utilisée et réutilisée pour filtrer jusqu’à 100 litres d’eau au coût infime de quatre cents la page.
Dieu nous parle
Dernièrement, mon gendre expliquait à Maggie, ma petite‑fille, qu’il était possible de parler avec Dieu et qu’il communiquait avec nous. Quand Ewing a dit à Maggie que Dieu nous parlait parfois au moyen de la Bible, elle lui a répondu du tac au tac : « Eh bien, il ne m’a jamais rien dit, à moi. Je n’ai jamais entendu Dieu me parler. »
Sagesse inspirée
A‑poe‑la‑pi est un Akha âgé, membre d’une tribu qui vit dans une chaîne de montagnes de la Chine. Lors d’un voyage missionnaire, mes amis et moi avons visité A‑poe‑la‑pi. Il nous a dit : « À cause des fortes pluies de la nuit dernière, je n’ai pas pu me rendre à la rencontre. Pourriez-vous me parler de la Parole de Dieu ? » Voyezvous, A‑poe‑la‑pi est analphabète, ce qui fait de la réunion hebdomadaire sa seule occasion d’assimiler l’Écriture. Il nous a écouté parler attentivement. Son attitude sérieuse m’a rappelé que, lorsque nous écoutons ou étudions la Bible dans le but d’acquérir la sagesse de Dieu, nous l’honorons.