Compagnons en Christ
Le projet The Harvard Study of Adult Development, qui s’est poursuivi sur des décennies, a permis de mieux comprendre l’importance de saines relations.
Jamais seul
Maggie Fergusson a écrit dans la revue The Economist’s 1843 : « Elle peut faire souffrir plus que l’itinérance, la faim et la maladie. » Son sujet ?
Des tables parlantes
La solitude, qui constitue l’une des plus grandes menaces à notre sentiment de bien-être, affecte notre santé par nos comportements sur les médias sociaux, ...
Des voisins proches
Comme beaucoup d’autres, notre quartier se sert d’un site Web pour aider nos voisins à vite faire la connaissance de ceux qui les entourent. Dans ma collectivité, les membres s’avertissent mutuellement de la présence d’un puma et des ordres d’évacuation en cas d’incendie de forêt, et ils gardent les enfants les uns des autres en cas de besoin. Ce site…
De vrais amis
En dernière année du primaire, j’avais « une amie des beaux jours ».
Les marques d’amitié
Enfant, au Ghana, j’aimais marcher main dans la main avec mon père dans les endroits bondés.
Quel ami !
Les soldats qui ont combattu ensemble vous diront que le lien relationnel qui les unit à leurs confrères soldats est incroyablement fort. En fait, certains vétérans affirment que l’amitié qu’ils vouent à leurs camarades vétérans, bien que différente en soi, est aussi importante pour eux que la relation qu’ils entretiennent avec leur conjointe ou conjoint. Cela ne minimise pas l’importance du mariage, mais rend témoignage de la profondeur des amitiés développées dans le creuset du sacrifice.
Des tables simples
J’ai un ami qui a passé la majeure partie de sa vie avec des gens qui vivent en marge de la société : des pauvres, des sans-abri, des toxicomanes et toute autre personne qui ne vit pas selon les normes ou qui est rejetée par la société. « C’est avec eux que je semble avoir ma place, dit mon ami, en marge de la société. » Il aide les croyants en Jésus à apprendre comment nouer de véritables amitiés avec ceux qui sont différents. « Ce genre d’amitié n’est pas aussi compliqué qu’on le croirait », a-t-il insisté. « Parfois c’est aussi simple que de connaître le nom de la personne et de savoir comment elle aime son café. »
Être un véritable ami
Le poète Samuel Foss a écrit : « Laissez‑moi vivre le long du chemin et être l’ami de l’homme » (The House by the Side of the Road). Voilà ce que je veux être moi aussi : un ami pour les gens. Je veux me tenir le long du chemin, afin d’être là quand passeront les voyageurs fatigués. Là pour guetter l’arrivée de ceux qui se sont fait malmener et léser, qui portent le fardeau d’un coeur blessé et désillusionné. Là pour leur apporter un mot d’encouragement afin de les restaurer avant de les renvoyer sur la route. Il se peut que je ne puisse pas résoudre leurs problèmes, mais je peux à tout le moins leur apporter une bénédiction.
Notre meilleur ami
Lorsque j’avais douze ans, ma famille a déménagé dans une ville du désert. À ma nouvelle école, après mes cours d’éducation physique donnés sous un soleil de plomb, nous courrions nous désaltérer à la fontaine. Étant maigre et plus jeune que mes compagnons de classe, je me faisais parfois pousser à l’écart de la file d’attente. Un jour, mon ami Jose, qui était gros et grand pour son âge, en a été témoin. Il s’en est mêlé et m’a frayé un passage jusqu’à la fontaine à la force de son bras, en déclarant : « Hé ! Vous allez laisser Banks boire le premier ! » Or, je n’ai plus jamais eu de difficulté à boire à la fontaine par la suite.