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LES GENS LES MOINS PUISSANTS

Dans la publication électronique intitulée 24/7 Wall St. , on a fait paraître une liste hors de l’ordinaire intitulée The 100 Least Powerful People (Les 100 personnes les moins puissantes). Parmi les gens listés se trouvaient des chefs d’entreprise, des personnalités du monde des sports, des politiciens et des célébrités qui avaient une chose en commun : ils avaient déjà été puissants. Certains d’entre eux avaient été victimes des circonstances, d’autres avaient pris de mauvaises décisions d’affaires et d’autres encore avaient perdu leur influence à cause d’un échec moral.

COMBATTRE LA JALOUSIE

On raconte l’histoire de deux marchands qui se livraient une rivalité féroce. Ils passaient leurs journées à s’informer des activités commerciales l’un de l’autre. Si l’un d’eux gagnait un client, il servait à son rival un sourire triomphant.

VOLER EN SOLO

Les 20 et 21 mai 1927 ont marqué un tournant dans l’histoire de l’aviation lorsque Charles Lindbergh a effectué en solo le premier vol transatlantique sans escale. D’autres vols transatlantiques avaient été réussis par le passé, mais jamais en ayant à ses commandes un pilote volant seul. C’était une réalisation historique. Lorsque Lindbergh a atterri à l’aéroport du Bourget, à Paris, il s’est fait accueillir par des milliers d’admirateurs applaudissant sa réussite. À son retour en Amérique, on l’a honoré encore par des défilés et des prix célébrant son courage et son esprit uniques.

PAS UN MYTHE

Comme l’Histoire me fascine, j’ai regardé avec grand intérêt une émission spéciale de télévision portant sur le grand roi Arthur d’Angleterre. Tandis que chaque historien soulignait le fait qu’il n’existait aucun récit de témoins oculaires ni de preuves historiques pour étayer l’histoire du roi Arthur, de ses chevaliers et de leur table ronde, un thème a émergé. On en est venu à répéter qu’il s’agissait d’une « légende » ou d’un « mythe ». Il semblerait que son histoire ne soit qu’une légende que l’on aurait tissée au fil des siècles à partir de fragments d’autres histoires.

MON COPAIN WILLIAM

En descendant du car devant un foyer pour enfants ayant une déficience mentale ou physique à Copse, en Jamaïque, je ne m’attendais pas à y trouver un footballeur. Alors que les adolescents de la chorale et les chaperons adultes allaient à la recherche d’enfants à serrer dans leurs bras, à aimer et avec qui jouer, j’ai rencontré un jeune homme du nom de William.

LE SENS DE L’HISTOIRE

En visitant le British Museum, ma femme et moi avons été frappés de découvrir toute l’histoire et tout le patrimoine que renfermaient ses murs. Nous avons regardé des artefacts des centaines d’années plus vieux que tout ce qui a été découvert aux États-Unis, ce qui m’a rappelé combien il est précieux d’avoir le sens de l’Histoire. L’Histoire nous présente une perspective, un contexte et des conséquences pouvant nous aider à faire de sages choix tandis que nous tirons des leçons des réussites et des échecs de ceux qui nous ont précédés.

FAIRE QUE SA VIE COMPTE

Mes petits-enfants se plaisent énormément à jouer aux Legos. Ces petits morceaux de jeu de construction multicolores capturent leur imagination quand il s’agit de bâtir des forts, des avions, des maisons ou n’importe quelle autre chose que les instructions permettent de construire.

PORTES OUVERTES

Le philosophe danois Søren Kierkegaard (1813-1855) a écrit : « Si je devais émettre un vœu, je ne voudrais ni richesse ni puissance, mais […] l’œil qui, toujours jeune, toujours brûlant, découvre partout le possible. »

TROP SERVIABLE ?

Est-il possible d’être trop serviable ? Se peut-il que notre serviabilité rende la vie plus difficile aux autres ? Oui, si nous nous montrons gênants, importuns, provocateurs, manipulateurs ou dominateurs. Si l’aide que nous apportons ne résulte que de notre angoisse, il se peut que nous cherchions simplement à nous venir en aide à nous-mêmes.

LE PARTAGE DE L’ESPACE

Des millions de personnes exploitent leur entreprise à domicile, mais il y en a qui se sentent un peu trop seuls dans ce contexte. Afin de procurer une collectivité à ces travailleurs souffrant d’isolement, on a créé des locaux de « coopération professionnelle ». On loue de grandes installations où des travailleurs autonomes peuvent partager de l’espace de travail avec d’autres personnes. Ils disposent de leur propre aire de travail, mais peuvent échanger des idées avec d’autres travailleurs autonomes. Ce concept convient aux gens qui croient pouvoir mieux travailler ensemble que seuls.