Plaire à Dieu dans l’ordinaire
Le titre du livre d’Eugene Peterson, Méditations sur les Psaumes des montées : La vraie connaissance de Dieu naît de l’obéissance, tire son origine d’une citation du philosophe Friedrich Nietzsche. Élevé au sein d’une famille chrétienne, Nietzsche est devenu athée, et étonnamment, a plus tard écrit : « la chose principale, au ciel et sur la terre, c’est d’obéir longtemps et dans une même direction. »
Le paradoxe de Job
Un homme sage a déjà dit : « Les conflits ne concernent jamais ce qui est apparent ; il y a toujours autre chose en cause. » Il y a fort à parier que Job aurait été d’accord avec cette affirmation.
La rédemption de Koré
Dans la série de livres pour enfants Comment dresser votre dragon, le protagoniste, Harold, a un cousin nommé Rustik qui est on ne peut plus méchant. Rustik est résolu à devenir chef de la tribu à la place d’Harold et se met à monter toutes sortes de machinations pour nuire à son cousin. Toutefois, Harold décide chaque fois de tendre la main à Rustik. Même après que Rustik soit rejeté par son propre père, Harold n’abdique pas. La foi d’Harold finit par être récompensée lorsque Rustik se montre un vrai ami.
La question de Jean
« J’avais des projets pour ma vie », m’a confié mon ami David. « Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu et je suis devenu amer et plein de ressentiment. » Qui peut s’identifier à David ? Je le peux certainement ! Souvent j’impose mes attentes à Dieu comme si elles étaient mon droit, puis je boude lorsqu’elles ne se concrétisent pas.
L'espoir qui renaît
Sur son blogue, Gayla a raconté qu’elle avait redonné vie à un cactus trouvé dans la poubelle d’un immeuble à logements de son quartier. Elle a trouvé une tige qui donnait signe de vie, et avec un peu d’élagage, a redonné vie à la plante vraisemblablement morte qui fleurit à nouveau et qui pousse maintenant bien. Elle a expliqué en détail la transformation du cactus afin d’aider ceux qui croient que leur plante est fichue.
Plus grand
Le vent rugissant, le grondement du tonnerre et les éclairs me rendent nerveux, même lorsque je suis en sécurité et au sec. La pluie douce et légère, ça je peux supporter. C’est le vacarme des tempêtes violentes qui me dérange. Jésus aurait très bien pu s’adresser à moi lorsqu’il a demandé à ses disciples : « Pourquoi avez-vous si peur ? Comment n’avez-vous point de foi ? » (MC 4.40.)
Poursuivi par la grâce
Un ami de mon groupe de discussion biblique a ri lorsque j’ai dit que je tentais de fuir Dieu. J’ai souri, mais je ne plaisantais pas. Dieu insistait pour que je cesse d’exiger la justice et que je fasse preuve de grâce ; cela m’a rempli de ressentiment. J’avais envie de brandir le poing (comme l’aurait peut-être fait le prophète Jonas) et de crier : « Tu veux que j’aille où, et que je fasse quoi ?! »
Belle captivité
Je connais un couple qui se confie ouvertement au sujet d’une période dévastatrice de leur mariage. Toutefois, le point central de leur histoire n’est ni leur douleur ni les blessures qu’ils ont infligées, mais Dieu, qui a utilisé cette épreuve pour révéler des problèmes profonds qui avaient besoin d’être soulevés et réglés. L’élagage douloureux a eu comme résultat de les rapprocher l’un de l’autre et aussi de Dieu. Chose étonnante, ils sont reconnaissants pour ce qui est arrivé et pour le bien qui en est ressorti.
Tout ce que j’ai fait
J’étais assise dans l’église, la tête baissée et les yeux fermés. Je n’ai pas comblé les attentes de Dieu, ai-je pensé. Il doit être très déçu de moi. Puis mon pasteur a dit : « Regardez Jésus dans les yeux. Remarquez comment il vous regarde, comment il vous voit. » Je l’ai fait, et à cet instant, je me suis trouvée à la place de la Samaritaine…