L’ESPOIR EN CADEAU
Lorsqu’un puissant typhon a balayé la ville de Tacloban, aux Philippines, en 2013, environ 10 000 personnes sont mortes et beaucoup de survivants se sont retrouvés dans la rue et au chômage. Les produits de base se sont faits rares. Trois mois plus tard, alors que la ville avait encore peine à se sortir de ses ruines, un bébé est né au bord d’une rue à proximité de Tacloban sous des pluies torrentielles et de forts vents. Même si les conditions météorologiques faisaient ressurgir de douloureux souvenirs, les résidents ont uni leurs efforts pour trouver une sage-femme et transporter la mère avec le nouveau-né dans une clinique. Ce poupon a survécu, s’est bien développé et est devenu un symbole d’espoir au cours d’une période de désespoir.
L’INTERMÉDIAIRE
Imaginez-vous au pied d’une montagne, coude à coude avec tous les autres de votre collectivité. Le tonnerre et les éclairs se manifestent ; vous entendez une trompette retentir à vous percer les tympans. Parmi les flammes, Dieu descend sur la montagne. Le sommet s’enveloppe de fumée ; toute la montagne se met à trembler, ainsi que vous (Ex 19.16-20).
LE MONDE INVISIBLE
Saviez-vous que le nombre de microbes qui se trouvent sur une seule de vos mains dépasse celui de la population mondiale ? Ou encore qu’un espace de la taille du chat d’une aiguille pourrait contenir des millions de microbes ? Ces organismes vivants monocellulaires sont trop petits pour que nous les voyions sans microscope ; ils vivent pourtant dans l’air, le sol, l’eau et même dans notre corps. Nous interagissons constamment avec eux, bien que leur monde transcende complètement nos sens.
BON POUR LA SANTÉ
Selon un éminent chercheur du centre médical de l’Université Duke, « si la gratitude était un médicament, ce serait le produit [bénéfique pour la santé] le plus vendu au monde pour guérir tous les organes vitaux. »
UNE FORMIDABLE EXPLOSION
Dans le livre Kisses from Katie (Baisers de Katie), Katie Davis raconte la joie qu’elle a éprouvée en déménageant en Ouganda et en adoptant plusieurs petites Ougandaises. Un jour, une de ses filles lui a demandé : « Maman, si je laisse Jésus venir dans mon cœur, est-ce que je vais exploser ? » Katie lui a d’abord répondu que non. Lorsque Jésus entre dans notre cœur, il s’agit d’un événement spirituel.
SE TENIR AU BORD
Appréhensive, ma fillette se tenait debout au bord de la piscine. Comme elle ne savait pas nager, elle apprenait simplement à apprivoiser l’eau. Son instructeur l’attendait dans la piscine avec les bras grand ouverts. Tandis que ma fille hésitait, j’ai vu les questions qu’elle avait dans le regard : « Allez-vous m’attraper ? Que se passeratil si ma tête va sous l’eau ? »
UN SERPENT DANS UNE BOÎTE
Dans un centre d’interprétation de la nature, j’ai regardé la fillette aux joues roses de mon amie taper le côté d’une grande cage de verre. À l’intérieur se trouvait une couleuvre à nez mince du nom de Billy qui rampait lentement en fixant la fillette du regard. Billy, qui avait le corps aussi épais que mon avantbras, portait des marques marron et jaunes. Même si je savais que Billy ne pouvait s’échapper de sa cage, de voir une créature aussi menaçante à proximité d’un petit enfant me donnait la chair de poule.
MIEUX QU’AVANT
Très jeunes, mes enfants avaient la peau presque parfaite. Elle était douce. Par ailleurs, ils n’avaient aucune sécheresse aux coudes ni corne aux pieds. Leur peau neuve contrastait avec la mienne, sur laquelle le passage des ans avait laissé diverses cicatrices et callosités.
AMANI
Amani, qui signifie « paix » en swahili, est le nom d’un chiot, un retriever du Labrador, qui s’est fait des amis particuliers. Amani vit en compagnie de deux jeunes guépards au jardin zoologique de Dallas. Les zoologistes ont mis ces animaux ensemble afin que le comportement détendu d’Amani déteigne sur les guépards. Étant donné que les chiens sont généralement à l’aise en public, les spécialistes prédisent qu’Amani exercera une « influence apaisante » sur la vie des guépards à mesure qu’ils grandiront tous ensemble.
DES ORANGES OU DU LAIT ?
Lorsque j’ai dit à ma fillette que l’on allait recevoir la visite chez nous d’un poupon de trois mois, elle en a été ravie. Avec le sens de l’hospitalité d’une enfant, elle a proposé que nous partagions de notre nourriture avec le bébé ; elle s’est dit qu’il aimerait peutêtre manger une des oranges juteuses qu’il y avait dans le bol sur le comptoir de la cuisine. Je lui ai alors expliqué que le poupon ne pouvait boire que du lait, mais que les oranges lui plairaient peut-être lorsqu’il serait plus vieux.