FACILITER LES CHOSES
Lorsque ma fille Debbie était petite, elle a suivi des cours de ballet. Un exercice de danse exigeait qu’elle saute par-dessus un tapis de gymnastique roulé. La première tentative de Debbie a eu pour résultat de la faire rebondir sur cet obstacle. Saisie, elle est restée assise au sol pendant un instant, puis elle s’est mise à pleurer. Je me suis précipité pour l’aider à se remettre debout et lui dire quelques mots destinés à la réconforter. Puis, en la tenant par la main, j’ai couru avec elle jusqu’à ce qu’elle parvienne à sauter par-dessus le tapis roulé. Debbie avait besoin de mes encouragements pour lui faciliter les choses.
JOUR INCONNU
Pour beaucoup de Londoniens, l’année 1666 semblait être celle où Jésus reviendrait. Des adeptes de la prophétie avaient ajouté le nombre 666, celui de l’Antéchrist, aux 1000 ans écoulés depuis la naissance de Christ.
JE VIENS DE VOIR JÉSUS
Il y a plusieurs années, j’ai perdu mon emploi dans ma profession à cause d’une situation échappant à ma volonté. J’ai donc pris deux emplois moins rémunérateurs afin d’essayer de joindre les deux bouts. J’avais malgré tout encore beaucoup de mal à gagner de quoi payer mes dépenses mensuelles.
DONNER DES DIRECTIVES
Il n’y a pas longtemps, la voiture de ma femme a dû être remorquée. Lorsque j’ai expliqué à l’homme de l’entreprise de remorquage comment trouver notre maison, je lui ai conseillé de demander au conducteur de ne pas suivre les directives de son GPS. Étant donné qu’un champ sépare notre rue d’une autre portant le même nom, il lui fallait recevoir des instructions particulières. Il m’a assuré qu’il transmettrait mes directives.
DIALOGUER
Vous êtes-vous déjà retrouvé pris dans une conversation avec une personne qui ne parle que d’elle-même ? Par politesse, vous amorcez un dialogue avec elle en lui posant des questions. Elle se met alors à parler indéfiniment d’elle-même, sans jamais vous poser la moindre question. Tout tourne autour d’elle, et la conversation ne porte jamais sur vous.
DEMI-TOUR
Bill était un de mes amis du séminaire qui était venu à Christ en se détournant d’un style de vie véritablement impie. Voici comment il le décrivait : « Je conduisais dans une rue en buvant une bouteille de cognac en compagnie de la femme d’un autre. En voyant des chrétiens sur le trottoir en train de témoigner de Christ à des passants, je suis passé près d’eux et je leur ai crié : « Imbéciles ! » À peine quelques semaines plus tard, je me suis néanmoins retrouvé à genoux dans une église en train de demander à Christ de devenir mon Sauveur et mon Seigneur. La conversion de Bill l’a amené à renoncer à ses anciennes voies et à vivre une nouvelle vie en Christ. Cela a marqué un grand tournant dans sa vie.
S’AIGUISER LES UNS LES AUTRES
On assiste à une recrudescence des réseaux sociaux sur Internet. Même lorsqu’ils sont séparés par une grande distance, les gens sont encore en mesure d’obtenir des renseignements et une oreille attentive auprès de leurs pairs en ligne. Blogues, Twitter, courriels et hyperliens ajoutent aux moyens que nous avons de recevoir et de donner des conseils spirituels.
DOUTES ET FOI
Celui qui croit en Jésus et qui a parfois des doutes quant aux choses de la foi peut-il servir le Seigneur avec efficacité ? Il y a des gens qui croient que les chrétiens mûrs et en croissance ne doutent jamais de leurs croyances. Cependant, comme nous vivons des choses susceptibles de faire grandir notre foi, nous en vivons d’autres qui suscitent temporairement des doutes.
CONSOLÉ MÊME EN CAPTIVITÉ
Le 10 février 1675, 50 familles de colons à Lancaster, au Massachusetts, ont redouté d’être attaquées par des Amérindiens. Joseph Rowlandson, le pasteur puritain du village, se trouvait à Boston en train de supplier le gouvernement de protéger Lancaster, alors que Mary, sa femme, restait derrière avec leurs enfants. Au lever du soleil, les colons se sont fait attaquer. Après que quelques-uns d’entre eux ont été tués, Mary et d’autres survivants ont été emmenés en captivité.
FAIRE DES AMIS DE SES ENNEMIS
Durant la guerre de Sécession, la haine a profondément divisé le Nord et le Sud. À une occasion, le président Abraham Lincoln s’est fait critiquer pour avoir parlé de traiter avec bienveillance les rebelles sudistes. Le détracteur a rappelé à Lincoln que la guerre faisait rage, que les Confédérés étaient leurs ennemis et qu’il fallait les anéantir. Cependant, Lincoln lui a répondu avec sagesse : « Je détruis mes ennemis en m’en faisant des amis. »