Aimés de toute éternité
Il nous est presque impossible de passer toute une journée sans nous faire snober, négliger ou dénigrer d’une manière ou d’une autre. Nous sommes d’ailleurs parfois ceux qui agissent de la sorte.
Libéré du stress
Selon l’American Institute of Stress, les maladies liées au stress coûtent à l’économie américaine 300 milliards de dollars par année en factures médicales et en pertes de production. Quarante pourcent des Américains sont plus stressés qu’ils ne l’étaient il y a cinq ans. Les relations familiales, les défis au travail et même les études sont quelques-uns des facteurs de stress qui pèsent sur les citoyens.
Quand le jour se lève
Très tard en soirée, nous nous sommes arrêtés dans une auberge de Munich pour y passer la nuit. Nous étions ravis de voir que notre petite chambre était munie d’un balcon, même si un épais brouillard nous voilait complètement la vue. Par contre, lorsque le soleil s’est levé quelques heures plus tard, cette nappe a commencé à se dissiper. Et nous avons pu alors voir ce qui la veille avait été enveloppé de ténèbres : une scène des plus idylliques composée d’un pré paisible et verdoyant, de moutons en train de brouter avec de minuscules clochettes tintant à leur cou et d’énormes nuages blancs dans le ciel qui ressemblaient étrangement eux aussi à des moutons, d’immenses moutons floconneux !
Portrait de Jésus
De quoi avait l’air Jésus ? Ressemblait-il à l’acteur James Caviezel qui a joué Jésus dans le film de Mel Gibson, La Passion du Christ ? Probablement pas. Était-il comme le très connu portrait Head of Christ de Warner Sallman ? Non, je ne crois pas.
L’alternative à la colère
Un certain matin à Perth, en Australie, Fionn Mulholland a découvert que sa voiture avait disparu. C’est alors qu’il s’est rendu compte qu’il s’était garé dans une zone interdite et que l’on avait remorqué son véhicule. Après avoir réfléchi à la situation — même aux frais de remorquage et à l’amende pour stationnement illégal s’élevant à 600 $ —, Mulholland a renoncé à se mettre en colère, préférant décrire la situation dans un poème humoristique qu’il a lu à l’employé de la fourrière. Son poème a plu à ce dernier, si bien qu’il a empêché qu’éclate une terrible confrontation.
Apprendre lentement
En vieillissant, nous constatons souvent que certaines personnes que nous mettions en doute avaient raison depuis le début. Combien d’entre nous se sont rappelé le passé et se sont secrètement demandé : Si seulement j’avais écouté mes parents, qui sait toutes les occasions que j’aurais pu avoir et combien d’erreurs coûteuses j’aurais pu éviter.
Apprendre la langue
Me tenant devant une petite assemblée jamaïcaine, je me suis ainsi adressé à elle en employant mon meilleur dialecte local : « Wah Gwan, Jamaica ? » Or, cette salutation m’a valu une réaction allant au‑delà de mes espérances : un accueil riche en sourires et en applaudissements.
Le même Dieu
On me demande parfois pourquoi le Dieu de l’Ancien Testament semble si cruel et dur comparé au Dieu du Nouveau Testament. Pour répondre à cette question, je commence en leur assurant qu’il n’a pas de personnalités multiples : le Dieu de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament est le même. Il « est le même hier, aujourd’hui, et éternellement » (HÉ 13.8). Je leur explique ensuite qu’un Dieu bon ne peut tolérer le péché, une vérité qui en dérange certains.
Quelqu’un à toucher
Les passagers d’un métro du Canada ont été les témoins de l’émouvante conclusion d’une situation tendue. Ils ont regardé une septuagénaire tendre gentiment la main à un jeune homme dont la voix forte et les propos dérangeants faisaient peur aux autres passagers. Par sa gentillesse, cette dame a apaisé l’homme, qui s’est effondré au sol et a éclaté en sanglots. La dame a reconnu par la suite avoir eu peur, mais en précisant ceci : « Je suis maman et il avait besoin que quelqu’un le touche. » Bien que le bon sens lui aurait dicté de garder ses distances, elle a couru le risque d’aimer.
Dans l’amour de Jésus
Dans l’amour de Jésus. Il a terminé son courriel avec ces mots. En les lisant, j’ai compris à quel point ils sont émouvants. Le jeune homme, que j’avais vu faire profession de foi en Jésus, que j’avais baptisé et dont la foi grandissait, était retourné chez lui pour un séjour dans son pays natal où les habitants ne sont pas reconnus pour leur gentillesse envers les croyants en Jésus. Il a mentionné qu’on lui avait fait de « gros yeux » alors qu’il priait avant son repas dans un restaurant, que ses amis étaient froids à l’égard de sa foi et qu’il se sentait seul. J’ai donc fait tout mon possible pour l’encourager en lui écrivant : « Je suis si fier de toi. Dieu t’utilise pour répandre sa présence dans ta ville ! »