NOËL UKRAINIEN
Les Ukrainiens incluent de nombreux éléments merveilleux dans leur observance de Noël. On place parfois des fétus de paille sur la table du soir pour rappeler l’étable de Bethléhem. Une autre partie de leurs célébrations évoque les événements qui se sont déroulés la nuit où le Sauveur est entré dans le monde. Ils offrent une prière de Noël, puis le père de famille déclare : « Christ est né ! » La famille lui répond alors : « Glorifions-le donc ! »
Chemin étroit, vie éternelle
L’un des mythes modernes les plus répandus est l’idée qu’une vie sans limites, c’est la liberté. Un mode de vie permissif nous rend libres pour un temps, mais il finit par nous piéger. Nous nous exclamons de façon ridicule : « Je suis libre ! Je suis libre ! » alors que nous retournons dans notre cage et verrouillons la porte.
DES ÉCONOMES DE LEUR HISTOIRE
Beaucoup de gens veillent par tous les moyens à ce que leurs ressources soient bien utilisées après leur mort. Ils établissent des fonds en fiducie, ils rédigent des testaments et ils créent des fondations visant à garantir que leurs biens continueront de servir à de bonnes fins après leur passage icibas. Voilà ce que l’on appelle être un bon économe.
Une identité formelle
Je promenais ma fille dans sa poussette le long des allées d’un magasin de pièces d’automobiles lorsque, tout enthousiasmée, elle se met à pointer du doigt un client qui ressemblait drôlement aux images de Jésus dans sa bible illustrée. Elle appelle ensuite l’homme par le nom du Seigneur. Malgré l’innocence et la joie de ma fille, l’homme semble agacé parce qu’elle s’est trompée sur son identité.
UNE NAISSANCE PARTICULIÈRE
Dans les pages de la Bible, plusieurs poupons mâles se distinguent des autres. Caïn, le premier à naître après la création. Isaac, l’espoir d’Israël. Samuel, la réponse à la prière fervente d’une mère. Tous extrêmement importants. Tous attendus avec joie. Et tous décrits exactement de la même manière par les chroniqueurs scripturaires : dans chaque cas, on nous dit que la mère a conçu et a donné naissance à un fils (Ge 4.1 ; 21.2,3 ; 1 S 1.20).
Le réconfort de Dieu
Je souhaite parfois que la vie se déroule comme dans un épisode du Dr House. C’est une série télévisée dramatique dont le personnage principal est à la fois égocentrique et un génie de la médecine (Dr Gregory House) qui traite des maladies susceptibles d’être fatales.
UN AUTRE HÉROS DE NOËL
Pendant la majeure partie de ma vie, l’importance du rôle que Joseph a joué dans l’histoire de Noël m’a échappé. Cependant, lorsque je suis moimême devenu mari et père, j’ai apprécié davantage à sa juste valeur le doux caractère de Joseph. Avant même de savoir comment Marie était tombée enceinte, il a décidé de refuser de la mettre dans l’embarras ou de la punir pour ce qui semblait être une infidélité (Mt 1.19).
Le péché, c’est sérieux
Dans son livre He Sent Leanness (Il a envoyé le dépérissement), David Head reprend une confession publique traditionnelle du péché retrouvé dans le Livre de la Prière Commune et offre un regard satirique sur notre banalisation du péché : « Parents bienveillants et complaisants : nous avons commis quelques erreurs de jugement, mais ce n’était pas vraiment notre faute. À cause de forces hors de notre contrôle, nous avons parfois négligé d’agir selon notre intérêt. Nous avons fait de notre mieux tenant compte des circonstances. Nous sommes heureux de dire que nous nous en sommes bien tirés, et peut-être mieux que la moyenne. Soyez fidèles à vous-même avec ceux qui sont conscients de leurs imperfections. » Ah ! qu’il est facile de se confier dans sa propre droiture et de justifier ses péchés !
BIEN AU CHAUD
Lorsque j’étais enfant, ma famille vivait dans une maison que mon père avait bâtie dans une forêt de cèdres située à l’ouest de Duncanville, au Texas. Notre maison comportait une petite aire de cuisine, deux chambres à coucher et une grande salle munie d’un imposant foyer de pierres dans lequel nous brûlions des bûches longues de plus d’un demimètre. Ce foyer constituait le cœur chaleureux de notre maison.
Lorsque donner n’aide pas
Les enfants de la rue peuplent la plupart des intersections de Kampala, la capitale de l’Ouganda. J’en connais beaucoup par leur prénom, et quand je suis prise dans un embouteillage, ils se rassemblent régulièrement autour de ma voiture pour parler et rire avec moi.