Un homme travaillait 70 heures par semaine. Heureusement qu’il aimait son travail. Il rapportait un bon salaire et subvenait adéquatement aux besoins de sa famille. Il se disait qu’un de ces jours il en ferait moins, mais pas aujourd’hui. Un soir, il est revenu à la maison, mais sa famille n’était plus là. Ses enfants avaient grandi et avaient quitté la maison, sa femme s’était trouvé une carrière et la maison était vide. Il venait tout juste d’être nommé comme PDG, mais il avait atteint le sommet, seul.
Alors que Salomon « observe les gens », il aperçoit un homme qui se lamente à la fin de la journée : « Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? » (Ec 4.8.)
Pour éviter de marcher sur de mauvaises traces, vous devez faire trois choix précis :
1. Choisissez le contentement au lieu des réalisations (v. 4‑6). Salomon dépeint ici deux extrêmes : le bourreau de travail et le fou. Puis, au verset 6, il nous aide à trouver le bon équilibre. L’enseignant Keith Krell a paraphrasé cela ainsi : « Au lieu d’amasser le plus possible, il est préférable d’en avoir moins et de l’apprécier plus. »
2. Privilégiez les relations aux richesses (v. 7-12). Si vous sacrifiez vos relations sur l’autel du succès, vous mélangez vos priorités. Les relations rendent notre travail significatif, enrichissant et agréable.
3. Optez pour la sagesse au lieu de la popularité (v.13‑16). Le pouvoir et la popularité sont transitoires. Personne ne reste au sommet pour toujours. Vous devriez donc vous accrocher fermement à la sagesse et légèrement au pouvoir.
Apprenez à considérer votre travail comme un don de Dieu, en étant reconnaissant et en acceptant votre sort.
Passez-vous trop de temps au travail aux dépens de votre famille, vos amis et l’Église ? Pourquoi ? Comment pouvez-vous ajuster vos priorités afin qu’elles reflètent mieux vos objectifs éternels ?