Month: septembre 2014

La confiance et l'obéissance

Quand j’étais à l’école de formation des officiers, on m’a enseigné que, pour neutraliser les forces de l’ennemi, on pouvait avoir recours à l’artillerie ou au raid aérien avant de s’engager dans la véritable offensive terrestre. L’objectif étant d’affaiblir leur capacité de combat, de créer la peur et de démoraliser les troupes ennemies avant le combat au sol.

LE BLUFF D’UN OPOSSUM

L’opossum est connu pour sa capacité à faire le mort. Ce faisant, son corps s’affaiblit, sa langue pend à l’extérieur et son rythme cardiaque diminue. Au bout d’une quinzaine de minutes, l’animal se ranime. Fait intéressant : des experts animaliers ne croient pas que l’opossum fasse le mort dans le but d’échapper à un prédateur. Selon eux, il feint involontairement lorsqu’il se sent dépassé et angoissé !

Un conseil opportun

Un groupe s’entretenait avec d’autres gens près de la gare de mon train, partageant l’Écriture avec ceux qui voulaient écouter. Une des membres du groupe s’est approchée de moi et m’a demandé de participer à une enquête. Une des questions faisait référence à Apocalypse 22.17. Elle m’a demandé : « Qui est l’épouse selon vous ? » J’ai dit : « L’Église ». Elle m’a répondu : « Lisez le texte attentivement. C’est Dieu, la Mère. »

QUOI SEMER ?

Sur la tour de l’horloge de mon université est sculpté un bas-relief intitulé The Sower (Le semeur). L’inscription se trouvant en dessous est tirée de Galates 6.7 : « Ce qu’un homme aura semé ». L’Université de l’État du Michigan demeure un chef de file de la recherche agricole, mais un fait persiste malgré les nombreuses améliorations apportées aux techniques d’agriculture et à la production de récoltes : les grains de maïs ne produiront pas de récolte de haricots.

Le mal

La question du mal est la première raison que les gens invoquent pour ne pas croire en Dieu. Ils allèguent qu’un Dieu bon ne permettrait pas au mal d’exister, et qu’un Dieu omnipotent serait capable de l’éradiquer. Pour eux l’existence du mal signifie donc que Dieu n’est ni infiniment bon ni tout-puissant, si bien qu’ils en concluent qu’il n’y a pas de Dieu.

PLUS DE LUI, MOINS DE MOI

Quand j’étais pasteur d’une Église, au début de mon ministère, ma fille Libby m’a demandé : « Papa, sommesnous célèbres ? » À cela, j’ai répondu : « Non, Libby, nous ne le sommes pas. » Après avoir réfléchi un instant, elle m’a dit d’un ton plutôt indigné : « Eh bien, nous le serions si plus de gens nous connaissaient ! »

Inculpés ou invités ?

La plupart des gens lisent la Bible de deux façons. Certains la considèrent comme une inculpation de la race humaine, en d’autres mots, nous sommes des pécheurs rebelles, résolus à vivre en laissant Dieu de côté.

LAISSEZ-MOI CHANTER

Lorsque j’ai demandé à un de mes amis comment sa mère se portait, il m’a dit que la démence avait enlevé à celleci la capacité de se rappeler de nombreux noms et événements du passé. Puis il a ajouté : « Elle parvient malgré tout à s’asseoir au piano et à jouer merveilleusement bien des cantiques, de mémoire et sans partition. »

Sauvetage nécessaire

Qu’obtient-on en combinant un frisbee et une bouée de sauvetage ? La réponse est une invention appelée ResQDisc. Quand un sauveteur la lance à une personne en train de se noyer, la longue corde renforcée se déroule et permet un retour en lieu sûr de la personne en détresse. Grâce à ce dispositif, un sauveteur peut venir en aide à quelqu’un sans avoir à sauter lui-même à l’eau.

AVEC LUI POUR TOUJOURS !

En 1859, durant la grande tourmente de la guerre de Sécession, Abraham Lincoln a eu l’occasion de s’adresser à l’Agricultural Society à Milwaukee, Wisconsin. Il a alors raconté à ses auditeurs l’histoire d’un monarque de l’Antiquité en quête d’une parole « vraie convenant à toutes les époques et à toutes les situations ». Devant ce défi ambitieux, ses sages lui ont proposé la parole suivante : « Cela passera aussi. »