Month: septembre 2014

LE BON VIEUX HIBOU

Il y a quelques années, un auteur anonyme a écrit un court poème portant sur l’avantage de savoir mesurer ses propos : « Assis dans un chêne se trouvait un bon vieux hibou ; plus il voyait, moins il parlait ; moins il parlait, plus il entendait ; pourquoi ne sommes-nous pas tous comme ce vieux hibou ? »

Amis et ennemis

Une minisérie télévisée rapportait les expériences de la première division marine Américaine de la Guerre du Pacifique durant la Seconde Guerre mondiale. L’épisode chargé d’émotion des marines prenant la plage d’Iwo Jima d’assaut est difficile à regarder. De tous les jeunes marines qui ont survécu à la fusillade et aux tirs de mortier, plusieurs ont été paralysés de terreur, ne sachant que faire par la suite.

LE LANGAGE DU SIFFLEMENT

Sur l’île La Gomera, l’une des plus petites des îles Canaries, on est en train de faire revivre une langue ressemblant au chant d’un oiseau. Dans un pays aux vallées profondes et aux ravins abrupts, les écoliers et les touristes apprennent qu’à une certaine époque on sifflait pour communiquer avec quelqu’un à plus de 3 km de distance. Un chevrier…

Découvrez ce qui est vôtre

Quelques résidents de mon état ont découvert des trésors perdus. Beaucoup ont récupéré de l’argent, des biens ou d’autres avoirs financiers. Grâce au programme d’état I-cash, Melva a récupéré 296,33 $ que son ancienne banque ne lui avait pas versés. Robert s’est connecté au site web du programme et a découvert que sa grand-mère lui avait légué 3 000 $. La devise du programme est : Découvrez ce qui est vôtre.

UNE URGENCE DE L’ESPRIT

En mars 2011, un tsunami dévastateur a frappé le Japon, emportant presque 16 000 vies en rasant des villes et des villages de la côte. Gretel Erlich, auteur et poétesse, s’est rendue au Japon pour y constater la situation et en rendre compte. Se sentant incapable de bien rapporter ce qu’elle y voyait, elle a composé un poème pour le décrire. Dans une entrevue accordée à l’émission NewsHour , sur la chaîne PBS, elle a déclaré : « Mon vieil ami William Stafford, un poète maintenant disparu, a dit : "Le poème est une urgence de l’esprit." »

La vraie humanité (encore)

L’année dernière, au sommet international de Doha, capitale du Qatar, où se réunissaient des puissances de la planète, les dirigeants mondiaux ont lancé le projet Educate A Child (instruire un enfant). Le projet vise à nouer des relations entre les nations, à nous amener à reconnaître que nous partageons tous la même humanité et à intervenir pour ceux qui sont exposés au danger. Selon les initiateurs du projet, subventionner la formation des enfants nous mènera à un monde plus pacifique.

AVERTISSEMENTS RÉPÉTÉS

Attention ! le tapis roulant se termine. Attention ! le tapis roulant se termine. » Si vous avez déjà emprunté un tapis roulant dans un aéroport, vous avez entendu ce genre d’avertissement à répétition.

La vraie vie

Lors d’un récent week-end de retraite, quelques amis et moi avons lu les Évangiles à haute voix. Le chalet que nous avions loué, situé dans un décor enchanteur, appartenait à une communauté religieuse. Nous avons assisté à quelques-uns de leurs services et avons enduré leur adoration terne et sans joie. Plus tard, lorsque nous nous sommes entretenus avec les dirigeants des services, nous avons découvert que les valeurs qu’ils prônaient ne correspondaient pas du tout au christianisme biblique. À ce moment-là, nous avons réalisé qu’il n’y avait pas que leur louange qui manquait de vraie vie.

REPAS MÉDIÉVAL

Il y a un certain temps, j’ai assisté à une conférence portant sur le Moyen Âge. Lors d’une séance, nous avons préparé plusieurs mets qui auraient été monnaie courante à l’époque médiévale. Nous avons utilisé le pilon et le mortier pour moudre de la cannelle et pressé des fruits afin d’en faire des confitures. Nous avons tranché et envoyé au four des rondelles d’orange badigeonnées de miel et de gingembre pour en faire une collation. Nous avons écrasé des amandes et d’autres ingrédients dans de l’eau afin de produire du lait aux amandes. Pour terminer, nous avons préparé un poulet entier à servir en plat principal avec du riz. Or, ces mets nous ont procuré une expérience culinaire savoureuse.

Les gens de Dieu ?

Peu importe ce que je fais et avec qui je me trouve, je veux qu’on pense du bien de moi. J’ai tendance à vouloir plaire aux gens, surtout lorsqu’ils me donnent leur approbation. Je peux souvent déceler si je réponds aux attentes d’une personne par son regard ou le ton de sa voix. Mais par la grâce de Dieu, je me targue de dire que je ne suis plus dépendante des opinions de l’homme, puisque je crois que Dieu est plus fort que les tentations qui me guettent de plaire aux autres.