Ce à quoi Dieu ressemble
En mars 2012, les Américains ont écouté avec regret et dégoût le rapport d’un soldat américain en Afghanistan, auteur d’une tuerie dans un village rural afghan. Ce vaurien de soldat avait massacré 16 civils afghans. C’était une horreur totale. Les répercussions de ce crime abject n’ont fait qu’aggraver notre peine, puisque ces actions cruelles (et quelques autres semblables) ont contribué à définir les idéaux américains pour nos voisins afghans. À cause des actions violentes d’un seul homme, plusieurs croiront que les Américains sont remplis de haine et qu’ils sont à craindre. Qui peut les blâmer ? Quand quelqu’un agit en notre nom ou de notre part, il nous représente par ses actions.
PETIT CHAPITEAU
Au cours de la campagne d’évangélisation historique de Billy Graham à Los Angeles en 1949, le grand chapiteau érigé en vue d’accueillir plus de six mille personnes s’est plus que rempli chaque soir pendant huit semaines. On avait érigé à proximité un chapiteau plus petit où l’on offrait du counseling et de la prière. Cliff Barrows, qui était depuis longtemps le directeur musical, un ami intime et un partenaire de Graham, a souvent dit que l’œuvre véritable de l’Évangile s’accomplissait sous « le petit chapiteau », où les gens se réunissaient pour prier à genoux avant et pendant chaque service d’évangélisation. Une femme de Los Angeles, Pearl Goode, constituait le cœur même de ces réunions de prière et de nombreuses réunions subséquentes.
En un mot
Au cours de la dernière semaine, j’ai travaillé sur un projet qui me tient à coeur. Ma femme, Lynn, atteindra un âge digne d’être souligné, si bien que j’ai décidé de lui organiser une fête d’anniversaire. Un des jeux que j’ai imaginé s’appelle « Lynn en un mot ». L’idée est que chaque invité pense à un mot la décrivant et qu’il l’inscrive sur un carton. Au verso, le participant écrit son nom. Durant la fête, Lynn pigera les cartons dans un panier et celui dont le carton ressortira prendra quelques minutes pour raconter une anecdote à son sujet, et expliquera le sens du mot choisi.
DE QUOI MANGER
Mon amie Marcia, directrice de la Jamaica Christian School for the Deaf, a illustré dernièrement une façon importante de concevoir les choses. Dans un bulletin de nouvelles qu’elle a intitulé « A Blessed Start » (Un début béni), elle faisait remarquer que pour la première fois en sept ans, l’école amorçait la nouvelle année avec un surplus. Quel genre de surplus ? Un solde bancaire de mille dollars ? Non. Suffisamment de fournitures scolaires pour l’année ? Non. Tout simplement ceci : il y avait dans les armoires de quoi manger pendant un mois.
Répandre des ragots
Dernièrement, j’ai lu quelque chose au sujet d’une femme qui luttait pour cesser la médisance. Mère d’un enfant d’âge préscolaire, Sandy avoue colporter des ragots sur les autres parents, et même partager des informations sur les camarades de son fils. Elle sait que c’est mal, et elle a donc essayé d’arrêter d’un seul coup. Cela n’a pas fonctionné et elle a tenté de tourner ses racontars en commentaires positifs sur la vie des autres. Finalement, elle a admis que l’emprise de la médisance reprendrait le contrôle au fil du temps, et qu’elle ne pouvait tout simplement pas s’empêcher de partager un potin de plus à propos d’un père au terrain de jeu…
DOUX REPOS
On a beau essayer – en tournant dans tous les sens et en frappant l’oreiller de la tête – il arrive parfois que l’on ne parvienne pas à trouver le sommeil. Après avoir offert quelques bonnes suggestions quant aux moyens de mieux dormir, un article de presse concluait qu’il n’y avait pas de « bonne façon » de dormir.
Les vraies valeurs
Johannes Gutenberg a une idée qui va révolutionner le monde. Mais il a besoin de financement pour la réaliser. Il contacte son voisin, Johann Fust, qui lui prête l’argent nécessaire pour construire sa première presse à imprimer. Gutenberg fait d’abord ses remboursements de prêts en imprimant des indulgences pour l’Église catholique. Le travail est bien rémunéré, mais Gutenberg a une vision plus grande pour sa nouvelle machine. Il veut imprimer des bibles – des livres magnifiques en caractères gothiques qui ressemblent au style minutieux d’un scribe. Toutefois, sa bible de 1200 pages prend trop de temps à être produite et vendue, et après trois ans, il fait faillite. Gutenberg donne sa presse à Fust, qui l’utilise pour publier une grande variété de livres en Allemagne et en France.
BEAUCOUP PLUS QUE LA SURVIE
En avril 1937, les troupes d’invasion de Mussolini ont forcé tous les missionnaires en service dans la région de Wallamo à fuir l’Éthiopie. Ils n’ont laissé derrière eux que quarante-huit convertis à Christ, qui n’avaient guère plus que l’Évangile selon Marc pour alimenter leur croissance. En outre, peu d’entre eux savaient même lire. Pourtant, lorsque les missionnaires sont retournés là-bas quatre ans plus tard, l’Église avait non seulement survécu, mais elle comptait désormais dix mille membres !
Accepter la réprimande
Les athées sont lâches parce qu’ils n’ont rien à défendre ! #ultimatecowards. Les athées n’ont pas de sens moral. Ils embrasseraient un arbre et tueraient un bébé dans le ventre de sa mère ! #confused. »
UN VOISIN SUR LA CLÔTURE
La clôture qui entoure le jardin d’un côté de notre maison accusait quelques traces d’usure. Mon mari, Carl, et moi avons donc décidé qu’il fallait la démolir avant qu’elle ne s’effondre d’elle-même. Elle était plutôt facile à démonter, si bien que nous avons pu l’enlever rapidement en un après-midi. Quelques semaines plus tard, tandis que Carl ratissait le jardin, une femme qui promenait son chien s’est arrêtée pour lui dire son opinion : « Votre jardin est tellement plus beau sans la clôture. Sans compter que je ne crois pas au bien-fondé des clôtures. » Elle lui a expliqué qu’elle aimait la « collectivité » et l’absence de barrières entre les gens.