Ici-bas, tout finit par arriver à son terme, ce qui s’avère parfois décourageant. C’est le sentiment que l’on a quand on lit un livre tellement bon qu’on aimerait qu’il ne finisse jamais. Ou encore, quand on regarde un film qu’on voudrait voir durer un peu plus longtemps.
Reste que toute chose – bonne ou mauvaise – en arrive tôt ou tard à sa « Fin ». En fait, la vie même prend fin un jour ou l’autre, parfois plus tôt que l’on s’y attendait. Nous tous qui nous sommes tenus près du cercueil d’un être cher connaissons le vide douloureux d’un cœur qui préférerait que ce ne soit pas déjà la fin.
Heureusement, Jésus se présente au milieu des déceptions sans issue pour nous donner de l’espoir par sa mort et sa résurrection. En lui, « la fin » n’est que le prélude d’une éternité sans mort, où des paroles comme « c’est fini » font place à des mots remplis de joie comme « pour toujours ». Étant donné que notre corps ne possède pas de réalité éternelle, Paul nous assure que « tous nous serons changés » (1 Co 15.51) et nous rappelle que, grâce à l’œuvre victorieuse de Christ, nous pouvons dire avec assurance : « Ô mort, où est ta victoire ? » (v. 55.)
Que votre cœur ne se trouble donc pas. Notre chagrin est réel, mais nous pouvons être vraiment reconnaissants envers Dieu, « qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ » (v. 57).
auguste adelin faity le 18 octobre 2013 à 2:36
rbc nous enseigne,nous encourage et nous edifit dans notre vie spirituelle.cette partie me donne l’espoir car en jesus où nous croyons que tout est fini,c’est là que lui il intervient.