Mois : août 2013

« JE SUIS... HEU ! DÉSOLÉ »

On a vite fait, aux actualités, de rapporter en détail les faux pas des gens célèbres et leurs confessions subséquentes. Il peut s’agir d’un athlète qui s’est fait arrêter pour conduite en état d’ébriété. Ou encore d’un politicien pris en flagrant délit d’indiscrétion. Dieu seul connaît le cœur, mais lorsque nous entendons une confession hésitante comme « Je suis… heu ! désolé », on pourrait se demander si la personne est vraiment repentante ou regrette simplement de s’être fait prendre.

LA PUISSANCE DE LA COMPASSION

Atteint de dyslexie, Francis Schaeffer, auteur et apologiste chrétien, avait du mal à bien épeler les mots. Au collège qu’il fréquentait, les fautes d’orthographe lui faisaient perdre des points dans tous ses travaux écrits. En première année, Schaeffer s’est fait dire par un professeur : « C’est la meilleure dissertation de philosophie que j’ai lue, mais la pire orthographe. Que faire ? Je ne peux pas vous donner la note de passage. »

L’APPARTENANCE

Mon père avait beaucoup d’histoires à raconter au sujet de sa ville natale. Vous imaginerez donc facilement à quel point j’étais heureux, enfant, qu’il emmène toute la famille là-bas chaque été. Nous pêchions ensemble dans la rivière St. Joseph et nous passions par la ferme de son enfance, où toutes ses histoires prenaient vie. Même si cet endroit n’a jamais vraiment été chez moi , chaque fois que je passe par cette petite ville – aujourd’hui avec mes enfants devenus adultes et mes petits-enfants –, elle me remplit d’un sentiment d’appartenance nostalgique.

DES RÉFLEXIONS SUR LES FENÊTRES

Une grande partie des paysages que j’ai vus durant nos vacances en Alaska, je les ai vus par les vitres de véhicules en mouvement. J’étais heureuse qu’elles me permettent de voir cette beauté, tout en restant au chaud et au sec. Par contre, ces vitres me posaient également un défi. Lorsqu’il pleuvait, l’eau qui dégoulinait sur elles obscurcissait ma vue. Lorsque la température changeait, la condensation créait de la buée à l’intérieur et obscurcissait la vue également.

LES DÉBUTS DE L’ENFANCE

L’été dernier, notre Église a invité un jeune homme à se joindre au personnel. En nous racontant qu’il a grandi au Costa Rica, où sa famille servait Christ, Caleb nous a fait part de ses réflexions au sujet de 2 Timothée 3.14-17. Il se rappelait avoir connu la Bible depuis l’enfance. Sa mère et son père lui avaient enseigné les vérités scripturaires pouvant le « rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ » (v. 15). Il a reconnu que sa préparation au pastorat avait commencé alors qu’il était encore enfant.

L’IMPASSE

Lorsqu’une librairie de quartier a réorganisé ses rayons, j’ai remarqué une augmentation du nombre de titres portant sur la sorcellerie. En fait, la partie réservée à la religion était presque devenue une « impasse » entre la lumière et les ténèbres. Les titres chrétiens se trouvaient d’un côté du rayon, et il y avait à peu près le même nombre de livres occultes de l’autre côté.

LES QUATRE-VINGTS AUTRES POUR CENT

Dernièrement, j’ai vu un panneau d’affichage disant que 80 pour cent de toute la vie sur la terre se trouvent dans la mer. Ce chiffre étonnant est difficile à assimiler, surtout parce que cette vie est majoritairement hors de vue.

PRENEZ LE TEMPS DE RÉFLÉCHIR

Les parents aiment se rappeler les moments marquants de la vie de leurs enfants. Ils inscrivent dans un livre pour bébé le moment où leur enfant s’est tourné sur le ventre ou le dos et a rampé pour la première fois et celui où il a fait ses premiers pas. Il leur arrive souvent de prendre des photos et de garder des vêtements pour bébé afin de se remémorer ces précieuses expériences.

CORINE

Quelques-uns d’entre nous contribuaient à faire des paquets de matériel dans le cadre d’un événement relatif au Notre Pain Quotidien l’hiver dernier à Orlando lorsque Corine nous a salués. C’était le milieu de la matinée, et elle était persuadée que nous avions faim et soif. Je lui ai dit que nous étions « bien », ce à quoi elle m’a répondu : « Je sais que vous êtes bien, mais vous devez avoir quelque chose à manger. » Quelques minutes plus tard, elle est revenue avec de l’eau froide et une collation.

DONNER AU SUIVANT

J’ai remarqué au fil des ans que ceux qui ont souffert sont les premiers à consoler ceux qui souffrent. Lorsqu’un jeune couple perd un enfant, un autre couple ayant subi la même épreuve lui offre son aide. Si un couple perd son revenu principal, un autre vient presque immédiatement lui offrir son assistance, se rappelant certaines années de vaches maigres. On voit souvent les membres du corps de Christ se soutenir et s’encourager les uns les autres. Ces chrétiens ont appris qu’ils peuvent se servir des épreuves qu’ils ont traversées pour venir en aide à ceux qui éprouvent des difficultés similaires.