Le conseiller imagiste
À notre époque saturée par les médias, les conseillers imagistes sont devenus indispensables. Les artistes, les athlètes, les politiciens et les chefs d’entreprise semblent vouloir désespérément gérer la façon dont le monde les perçoit. Ces conseillers très bien rémunérés travaillent à façonner la perception que les gens ont de leurs clients – même s’il existe parfois un ontraste frappant entre l’image publique d’une personne et ce que celle‑ci est réellement.
DES VISITEUSES IMPORTUNES
Ma femme, Marlene, et moi avons reçu dernièrement un appel téléphonique paniquant de notre fils et de sa femme. La veille au soir, ils avaient trouvé deux chauves-souris dans leur maison. Je sais que les chauves-souris jouent un rôle important dans l’écosystème, mais elles ne comptent pas parmi les créatures de Dieu que je préfère, surtout lorsqu’elles volent à l’intérieur.
LE LAISSER DERRIÈRE SOI
Pendant environ un an après que notre adolescent a obtenu son permis de conduire et s’est mis à utiliser un portefeuille, plusieurs personnes nous ont téléphoné pour nous informer qu’elles avaient trouvé son portefeuille quelque part. Nous avons donc conseillé à notre fils de se montrer plus prudent en évitant de le laisser derrière lui.
Faire mourir et revêtir
Bien que ce soit mon travail d’être acteur, j’ai donné ma vie à Dieu. Je suis très à l’aise et ferme à ce sujet, mais je dois quand même faire partie de cette émission de télévision. C’est la comédie la plus populaire du petit écran, mais ses thèmes sont très déplacés. Je dois être cette personne que je ne suis pas.
TROP TARD POUR CHANGER ?
Il existe dans de nombreuses langues des dictons illustrant la difficulté de se défaire d’habitudes bien ancrées. En français : « On n’apprend pas à un vieux singe à faire la grimace. » En anglais : « On n’enseigne pas de nouveaux trucs à un vieux chien. » En espagnol : « Le vieux perroquet ne saurait apprendre à parler. »
Pas différent ?
S’étant fait escroquer une importante somme d’argent par un partenaire d’entreprise qui prétendait être diacre d’une Église, mon ami a éprouvé un désenchantement et une colère profonde. Il m’a dit : « Comment un chrétien peut-il faire ce genre de chose ? Je lui faisais confiance. Maintenant, je sais qu’il n’est pas différent d’un non-croyant ! »
UNE NAISSANCE PARTICULIÈRE
Dans les pages de la Bible, plusieurs poupons mâles se distinguent des autres. Caïn, le premier à naître après la création. Isaac, l’espoir d’Israël. Samuel, la réponse à la prière fervente d’une mère. Tous extrêmement importants. Tous attendus avec joie. Et tous décrits exactement de la même manière par les chroniqueurs scripturaires : dans chaque cas, on nous dit que la mère a conçu et a donné naissance à un fils (Ge 4.1 ; 21.2,3 ; 1 S 1.20).
À VENDRE « TELLE QUELLE »
Si l’on met à vendre une maison « telle quelle », cela signifie normalement que le vendeur est incapable ou refuse d’investir de l’argent dans sa réparation ou son embellissement. Toute réparation nécessaire ou amélioration désirée relèvera de la responsabilité de l’acheteur après que la vente sera conclue. L’expression « Telle quelle » sur un panneau immobilier revient à dire : « Acheteur, attention ! Il se peut que cette maison exige un investissement supplémentaire. »
La vie... avec Dieu
Chaque mois, plus de 500 000 personnes recherchent « sens de la vie » sur Google. Pourquoi suis-je ici ? On y trouve des réponses allant de « Il n’y a pas de sens à la vie » à « Le sens de la vie c’est ce que tu en fais. » Examinons la signification de deux mots grecs signifiant « vie » dans le Nouveau Testament : psuché qui veut dire « naturel, la vie créée » ; et zoé qui veut dire la « vie éternelle et surnaturelle de Dieu ». Il est possible d’avoir la psuché mais non la zoé… ou d’être biologiquement vivant, mais spirituellement mort.
DES ORANGES OU DU LAIT ?
Lorsque j’ai dit à ma fillette que l’on allait recevoir la visite chez nous d’un poupon de trois mois, elle en a été ravie. Avec le sens de l’hospitalité d’une enfant, elle a proposé que nous partagions de notre nourriture avec le bébé ; elle s’est dit qu’il aimerait peutêtre manger une des oranges juteuses qu’il y avait dans le bol sur le comptoir de la cuisine. Je lui ai alors expliqué que le poupon ne pouvait boire que du lait, mais que les oranges lui plairaient peut-être lorsqu’il serait plus vieux.