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À Dieu de choisir

Nate et Sherilyn ont aimé leur arrêt dans un restaurant omakase durant leur visite de New York. Omakase est un mot japonais qui signifie « À vous de choisir », ...

Abattre les murs

Une échéance de rédaction me pressait d’agir, mais la dispute que j’avais eue avec mon mari le jour même m’occupait l’esprit au point d’immobiliser mes yeux sur le curseur clignotant et mes doigts sur le clavier. Il avait tort lui aussi, Seigneur.

Quand oui veut dire non

Je suis reconnaissante envers Dieu pour le privilège d’avoir vécu chez ma mère pour lui servir d’aidante naturelle durant son combat contre la leucémie. Lorsque les médicaments ont commencé à lui causer plus de tort que de bien, elle a décidé de cesser ses traitements. « Je ne veux plus souffrir, m’a‑t‑elle dit. Je tiens à profiter de mes derniers jours en compagnie de ma famille. Dieu sait que je suis prête à rentrer à la maison. »

Prêt au changement ?

La maîtrise de soi est probablement l’un des fruits de l’Esprit les plus difficiles à acquérir. Combien de fois nous arrive‑t‑il de céder à une mauvaise habitude, à une attitude répréhensible ou à une fausse perception de la réalité ? Nous faisons la promesse de nous améliorer. Nous nous engageons à rendre des comptes à quelqu’un. En notre for intérieur, nous savons très bien n’avoir ni la volonté ni la capacité de changer. Nous aurons beau en parler, échafauder des plans, lire des livres de perfectionnement personnel, reste que nous aurons toujours du mal à surmonter beaucoup de choses qui nous habitent et à demeurer maîtres de nous‑mêmes.

Que t’importe ?

Pour tout le bien que Facebook, Twitter et Instagram peuvent nous faire, comme de nous permettre de garder le contact avec notre famille et nos amis, ces médias sociaux peuvent aussi être des pierres d’achoppement. Une de mes amies a commencé à limiter le temps qu’elle passe sur les médias sociaux après s’être aperçue que la vie de ses amis virtuels la captivait de plus en plus. Eh oui ! En suivant ses amis sur Facebook, Twitter et Instagram, elle est devenue indiscrète ; mais elle n’est pas la seule.

La naissance de Noël

Lorsque l’ange Gabriel est apparu à Marie, puis aux bergers, pour leur annoncer une bonne nouvelle pour le peuple (LU 1.26,27 ; 2.10), était-ce une bonne nouvelle pour l’adolescente ? Marie pensait peut-être : Comment vais-je expliquer ma grossesse à ma famille ? Mon fiancé, Joseph, rompra- t-il nos fiançailles ? Que diront les gens ? Même si on me laissait vivre, comment est-ce que je survivrai en tant que mère seule ?

L’histoire de deux fils

Une mère demande à ses deux fils de ranger leur chambre. Le premier lui hurle : « Maman, arrête de m’embêter ! », et s’enferme dans sa chambre. Plus tard, il regrette et finit par ranger sa chambre. Le second répond : « Oui maman, tout ce que tu veux », mais retourne à ses jeux vidéo.

Le don de la soumission

J’ai écrit un livre basé sur l’oeuvre complète des lettres de François Fénelon (un pasteur français du XVIIe siècle) à un jeune ami qui servait à la cour moralement corrompue du roi Louis XIV. La position paternelle de Fénelon ainsi que son appel à être dévoué à Dieu avec détermination ont éveillé mon intérêt. De telles paroles étaient la norme chez Fénelon : « Devenir un disciple de Dieu est difficile, puisque cela nécessite une soumission totale à un Dieu autre que nous-mêmes. Nous devons cesser d’insister sur le fait que nous savons mieux que quiconque de quoi nous avons besoin. Nous devons cesser de demander à Dieu d’agir au moment voulu et de la façon désirée. »

Sous la lumière de Dieu

Le Pasteur G. Campbell Morgan a déjà dit : « Nous adopterons différents comportements en temps de crise selon que nous voyons les difficultés sous la lumière de Dieu ou que nous voyons Dieu dans l’ombre des difficultés. » Quand les gens font face à une crise, ils ont tendance à voir les choses par le biais de la peur et de l’anxiété.

Gloire et autorité

Jean a consigné pour nous deux événements qui se sont produits au début (probablement dans les premières semaines) du ministère public de Jésus. Il a accompli le premier de ses 35 miracles consignés durant un mariage à Cana. Il a changé de l’eau pure, utilisée pour le lavage cérémoniel, en du vin de qualité supérieure (Jn 2.1‑11). On nous offre bien plus qu’un Jésus au coeur tendre et compatissant qui aide un nouveau couple marié à sortir de l’embarras alors qu’il manquait de vin trop tôt. On nous offre un avant-goût de sa puissance transformatrice !