Tag  |  salut

Il comprend

Il y a de jeunes enfants qui ont du mal à s’endormir le soir. Bien qu’il y ait de nombreuses raisons à cela, ma fillette m’en a expliqué une lorsque je tournais les talons pour quitter sa chambre un soir : « J’ai peur du noir. » J’ai alors tenté de la soulager de ses craintes, mais en laissant une veilleuse allumée pour lui faire savoir qu’il n’y avait aucun monstre dans sa chambre.

Savoir et faire

Le philosophe chinois Han Feizi a fait remarquer ceci au sujet de la vie : « Il est facile de connaître les faits. Il est cependant difficile d’agir selon les faits. »

Tendre vers la lumière

Un jour, j’ai reçu un bouquet de tulipes roses. Elles se sont tenues bien droites sur leurs épaisses tiges lorsque je les ai mises dans un vase, que j’ai placé au centre de notre table de cuisine. Le lendemain, j’ai remarqué que les fleurs étaient inclinées dans une certaine direction. Les tulipes, qui tendaient auparavant vers le haut, tendaient maintenant vers le côté, s’épanouissant vers la lumière naturelle qui entrait par une fenêtre à proximité d’elles.

Une meilleure vue

Enfant, j’aimais beaucoup grimper dans les arbres. Plus je montais haut, plus je pouvais voir de choses. En quête d’une meilleure vue, il m’arrivait à l’occasion de m’aventurer sur une branche jusqu’à temps de la sentir ployer sous mon poids. Pour des raisons évidentes, cette époque est révolue. Je présume que c’est plutôt dangereux, voire indigne d’un adulte.

Les sources du salut

Si l’on fore des trous profonds dans le sol, c’est normalement pour en extraire de la pierre, accéder à du pétrole ou trouver de l’eau.

Juste devant Dieu

Les théologiens débattent de la signification de cette déclaration de Paul : « Car nous pensons que l’homme est justifié par la foi, sans les oeuvres de la loi » (Ro 3.28). Les protestants traditionnels se conforment à l’idée de Martin Luther selon laquelle les pécheurs comme nous ne peuvent faire assez de bonnes oeuvres pour satisfaire un Dieu saint. Nous devenons justes devant Dieu, en mettant notre foi en Jésus. Quand nous croyons en Christ, Dieu le Père accomplit ce que Luther appelait le « remplacement joyeux », en laissant Jésus se charger de la culpabilité de nos péchés et en considérant que sa justice est nôtre.

Ne tardez pas

Depuis de nombreuses années, je parle à mon cousin éloigné de la nécessité pour nous d’accepter Jésus comme notre Sauveur. Lorsqu’il est venu me rendre visite dernièrement et que je l’ai exhorté une fois de plus à recevoir Christ, il m’a immédiatement répondu : « J’aimerais accepter Jésus et me joindre à l’Église, mais pas encore. Je vis parmi des gens d’autres professions de foi. À moins de déménager, je ne serais pas en mesure de bien pratiquer ma foi. » Il a évoqué la persécution, le ridicule et les pressions de ses pairs comme prétextes pour différer sa décision.

Un privilège familial

Lorsque j’étais à l’école primaire au Ghana, je devais vivre dans une famille aimante et attentionnée loin de mes parents. Un jour, tous les enfants se sont rassemblés en vue d’une réunion familiale particulière, dont la première partie consistait à nous faire tous parler d’une expérience personnelle. Ensuite, cependant, lorsque seuls « les enfants biologiques » devaient être présents, on m’en a poliment exclu. C’est alors qu’une dure réalité m’a frappé : je n’étais pas un « enfant de la maison ». En dépit de son amour pour moi, cette famille exigeait mon exclusion du fait que je ne faisais que vivre avec elle ; je n’étais pas un membre de la famille au sens de la loi.

Le bilan

C’est à ce temps‑ci de l’année que je vais voir mon médecin pour qu’il fasse mon bilan de santé annuel. Même si je me sens bien et que je crois n’avoir aucun problème de santé, je sais que les bilans de routine sont importants, car ils peuvent révéler des problèmes cachés qui, s’ils le restent, risquent d’empirer au point de devenir de graves ennuis de santé. Je sais qu’en donnant à mon médecin l’autorisation de découvrir et de traiter les problèmes cachés, je peux améliorer mes chances de vivre vieux et en bonne santé.

Viens à moi

Lorsque Jésus vivait ici‑bas, il invitait les gens à venir à lui, ce qu’il fait encore de nos jours (Jn 6.35). Qu’ont‑ils toutefois, lui et son Père dans les cieux, dont nous avons besoin ?