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S’appuyer sur les promesses

L’ami de mon frère (lorsqu’ils étaient tous les deux enfants) a assuré à sa sœur qu’un parapluie suffirait à la garder dans les airs si seulement elle « y croyait ».

Saint, saint, saint

« Le temps file quand on s’amuse. » Dans les faits, ce cliché n’a aucun fondement, mais notre vécu lui donne des apparences de vérité.

Saint, saint, saint…

Le théologien R. C. Sproul a écrit : « Quand la Bible dit de Dieu qu’il est saint, elle veut principalement dire qu’il est... à part. Il se trouve si loin au-dessus de nous qu’il nous paraît presque comme un étranger. Être saint veut dire être "autre", être différent d’une façon spéciale. »

En réfléchissant à ce que cela signifie pour Dieu d’être saint, nous reconnaissons que la sainteté fait partie de ses nombreux attributs dont certains autres sont l’amour, la grâce, la miséricorde et la compassion. Bien que notre Dieu saint soit totalement différent de nous et de loin plus grand, nous pouvons le connaître et l’aimer.

Amour et sainteté

La Bible est remplie de contrastes. Deutéronome 4.24 nous dit que notre Dieu saint « est un feu dévorant », mais quelques chapitres plus loin, on nous dit que Dieu « garde […] sa miséricorde […] envers ceux qui l’aiment » (7.9). Jean a aussi écrit que « Dieu est amour » (1 JN 4.8). Le feu brûle et il est dangereux. L’amour réconforte et protège. Comment Dieu peut-il donc être à la fois saint et amour ?

N’en faites plus fi

J’ignore comment ces gens font pour me trouver, mais je ne cesse de recevoir de plus en plus de prospectus dans le courrier par lesquels ils sollicitent ma présence à leurs événements afin de pouvoir me renseigner au sujet de prestations de retraite. Tout cela a commencé il y a plusieurs années lorsque je me suis mis à recevoir des invitations à me joindre à une organisation oeuvrant auprès de retraités. Tous ces rappels servent à me faire savoir une chose : « Vous avancez en âge. Préparez-vous ! »

Qui nous sommes

Zacharie était à la fois sacrificateur et prophète. Petit‑fils du sacrificateur Iddo et sacrificateur en chef de sa famille (Za 1.1 ; Né 12.1,16), il a été appelé à encourager les enfants de Juda au moyen des prophéties de Dieu (Za 1.13‑17). De plus, il les a exhortés à se repentir (v. 3,4), à renouveler leurs efforts pour servir Dieu (8.12,13) et à suivre ses voies (7.8‑10).

Inquiétudes

Un homme s’inquiétait constamment de tout. Un jour, ses amis l’ont entendu siffler joyeusement et ont remarqué son air détendu. Quand, étonnés, ils lui ont demandé ce qui s’était passé, il leur a répondu qu’il avait payé un homme pour qu’il se fasse du souci à sa place. « Combien lui donnes-tu ? » « Deux mille dollars par semaine. » « Comment peux-tu te permettre de lui offrir un tel montant ? » « J’en suis incapable, mais c’est son problème ! »

Crainte révérencielle

L’océan bouillonnait. D’immenses vagues faisaient tanguer le navire d’un côté à l’autre. Je me suis levé et j’ai regardé à travers la vitre, ébahi par la puissance et la violence de la tempête. La pluie, contre le pont en métal, battait aussi rapidement que mon coeur alors que le navire était secoué par les flots et les éléments déchaînés.

Passe-moi le bacon

En attendant son repas, Pierre a eu une vision d’une nappe tombant du ciel, recouverte d’animaux impurs. Cette apparition a dû le faire tressaillir – comment un bon Juif comme lui pouvait-il faire un rêve aussi dégoûtant ? Ce qu’il a ensuite entendu l’a scandalisé : « Lève-toi, Pierre, tue et mange. Mais Pierre [a dit] : Non, Seigneur, car je n’ai jamais rien mangé de souillé ni d’impur » (Ac 10.13,14).

Le bon moment

Je célébrais récemment le mariage d’un jeune couple. Après la cérémonie, le cortège est sorti pour prendre des photos avant la réception. Ma femme et moi étions invités chez la mariée pour communier et manger quelques gâteries sur le patio derrière la maison familiale. Soudain, la mère de la mariée sort de la maison en larmes. Elle tenait dans ses mains la bague de pureté de sa fille. D’une voix étouffée et d’un sourire tendre elle a prononcé : « Elle l’a laissée sur le comptoir de la cuisine. » La décision de la jeune femme de porter une bague de pureté était un signe visible qu’elle avait promis de rester sexuellement pure jusqu’à son mariage. La bague n’était dorénavant plus nécessaire.