Célébrer la créativité divine
Tandis que la musique remplissait l’auditorium de l’église, l’artiste daltonien Lance Brown est monté sur l’estrade, ...
Une atmosphère encourageante
Chacune de mes visites au centre de conditionnement physique situé à proximité de chez moi m’encourage.
Difficile d’y renoncer ?
« À quoi ne parvenez-vous pas à renoncer ? », l’annonceur de radio a-t-il demandé.
« Je suis à l’Éternel »
On voit facilement que les tatouages sont actuellement très tendance. Certains sont tellement petits qu’on les remarque à peine.
Bien vêtu
Dans son livre intitulé Wearing God (Se revêtir de Dieu), Lauren Winner dit que notre tenue vestimentaire peut indiquer en silence qui nous sommes. Nos vêtements peuvent révéler notre carrière, notre collectivité ou identité, nos états d’âme, ou encore notre statut social.
Au-delà des étiquettes
Une Église de ma ville s’est dotée d’une carte de bienvenue unique en son genre, qui rend bien l’amour et la grâce de Dieu envers tous.
Célébrer la liberté
Après s’être fait enlever, retenir en otage pendant treize jours, puis relâcher, le caméraman-journaliste néo‑zélandais Olaf Wiig a annoncé, en souriant de toutes ses dents : « Je me sens aujourd’hui plus vivant que jamais auparavant. »
Des oeuvres inachevées
Au moment de sa mort, le grand artiste Michel-Ange a laissé derrière lui de nombreux projets inachevés. Il faut quand même savoir que, dans le cas de quatre de ses sculptures, il n’a jamais eu l’intention de les terminer. Bien que L’esclave barbu, L’esclave Atlas, L’esclave s’éveillant et Le jeune esclave puissent sembler inachevés, ces oeuvres sont telles que Michel‑Ange les a voulues. L’artiste désirait ainsi illustrer le sentiment qu’un esclavage sans fin pouvait faire éprouver.
Amour authentique
Je doute qu’aucun autre terme ne soit utilisé aussi souvent et avec autant de légèreté que le mot amour. Nous justifions couramment notre comportement égoïste ou nos actions étouffées qui blessent les autres au nom de notre notion galvaudée de l’« amour ». Trop souvent, ce que nous faisons par amour n’a rien à voir avec le véritable concept de l’amour.
Jouer de concert
Durant le concert de la troupe de l’école de notre petitefille, j’ai été impressionné de voir à quel point ces jeunes de 11 et 12 ans jouaient bien ensemble. Si chacun d’eux avait voulu jouer en solo, il n’aurait pu accomplir individuellement ce que la troupe a accompli collectivement. Les sections ont toutes joué avec brio, ce qui a donné lieu à une musique magnifique !