Sois patient
Si vous aviez la possibilité de sélectionner les membres de votre Église locale ou de votre petit groupe, choisiriez-vous des gens qui …
• ne font ce qu’ils sont censés faire ?
• vous donnent toujours dix raisons pour lesquelles vos idées ne fonctionneront pas ?
• trouvent difficile de toujours faire la volonté de Dieu ?
Reliés
Ayant hérité de la tâche de nous occuper du jardin de ma mère pendant son absence, mes enfants et moi nous sommes dirigés vers sa cour arrière en anticipant une jungle. En sortant par la terrasse, nous avons été accueillis par une couche de légumes en désordre alors que quelques vrilles de haricots verts ressortaient comme des épis hors d’une rangée autrement ordonnée. Pendant que nous travaillions, mon fils nous a expliqué la nécessité de replacer les vrilles rebelles sur les tiges. Si les haricots en croissance n’ont pas de support, leur poids fera tomber les tiges par terre où elles deviendront plus vulnérables aux ravageurs, et leur produit s’abîmera.
La guerre
Le journaliste Jeffrey Gettleman a affirmé : « Une raison bien simple explique le fait que certaines des guerres les plus sanglantes et les plus brutales d’Afrique ne semblent jamais se terminer : il n’y a pas réellement de guerres… Les combattants ne sont pas tenants d’une idéologie ; ils n’ont pas de but précis… J’ai été témoin, et parfois de beaucoup trop près, de combats soldat contre soldat (désormais rares en Afrique) se transformant en soldat contre civil. »
Demande d’amitié
Ty Morin souhaite photographier 788 « amis » d’ici l’an 2016. Son projet de photographie intitulé « Demande d’amitié : acceptée », nécessite qu’il prenne en photo chacun de ses amis de Facebook pendant qu’ils font quelque chose qu’ils aiment, allant de la lutte contre les incendies à l’haltérophilie. Malgré le fait que beaucoup de ses amis vivent dans des régions éloignées du monde, il estime qu’il est important de se manifester et de communiquer personnellement avec chacun d’eux, et de passer au moins une heure à prendre des photos. Grâce à son projet, Ty veut combattre la nature superficielle et impersonnelle des « amitiés » en ligne.
FAMILLE DE FOI
Durant les années 1980, une classe de célibataires de notre Église est devenue une famille très unie pour beaucoup de gens ayant perdu leur mari ou leur femme à cause d’un divorce ou d’un décès. Lorsque quelqu’un déménageait, ses compagnons de classe faisaient des boîtes, transportaient des meubles et procuraient de la nourriture. Les anniversaires et les fêtes ne se célébraient plus en solitaire tandis que la foi et l’amitié s’unissaient pour créer une relation continue marquée par les encouragements. S’étant tissés dans l’adversité trois décennies plus tôt, de nombreux liens continuent aujourd’hui de s’épanouir et de soutenir des gens seuls et des familles.
Dire au revoir
Aujourd’hui, j’ai dit au revoir à mon amie Jen. Je l’avais rencontrée il y a un an et je l’avais aimée dès la première entrevue que je lui ai fait passer pour un poste d’enseignante dans notre département. Je me suis vite rendu compte que nous étions des jumelles nées à huit ans d’intervalle (comme moi, elle conserve des bananes dans son congélateur durant une éternité et elle a un coeur sensible. Elle est pleine d’esprit, intelligente, forte et elle n’a pas peur de pleurer). Jen mord dans la vie avec passion. Elle va beaucoup me manquer lorsqu’elle sera partie avec son mari dans une autre ville et un autre État pour commencer une nouvelle vie. De la même façon inattendue que nos chemins se sont croisés, ils se divisent maintenant.
L’INTERMÉDIAIRE
Imaginez-vous au pied d’une montagne, coude à coude avec tous les autres de votre collectivité. Le tonnerre et les éclairs se manifestent ; vous entendez une trompette retentir à vous percer les tympans. Parmi les flammes, Dieu descend sur la montagne. Le sommet s’enveloppe de fumée ; toute la montagne se met à trembler, ainsi que vous (Ex 19.16-20).
Des loisirs et des potins
Une femme s’est livrée à un nouveau passe‑temps. L’activité elle‑même était saine, mais cette femme et mère dévouée n’a pas tardé à négliger sa famille et ses amis, et même sa marche avec Dieu.
APPELÉ PAR SON NOM
Au début de l’année scolaire, la directrice d’une école de notre ville s’est engagée à apprendre le nom de chacun des 600 élèves de son établissement. Quiconque doutait de sa capacité ou de sa détermination à y parvenir n’avait qu’à consulter son rendement antérieur pour en être convaincu. Au cours de l’année précédente, elle avait appris le nom de 700 élèves, et antérieurement, celui de 400 enfants d’une autre école. Réfléchissez à ce que cela devait représenter pour ces élèves de se faire reconnaître et saluer par leur nom.
DANS QUEL CAMP ÊTES-VOUS ?
Au cœur de la guerre de Sécession, un des conseillers du président Lincoln a déclaré qu’il était reconnaissant de ce que Dieu prenait le parti de l’Union. Ce à quoi Lincoln a répondu : « Monsieur, ce qui m’intéresse, ce n’est pas de savoir si Dieu est dans notre camp ; ma plus grande préoccupation, c’est d’être dans celui de Dieu, car Dieu a toujours raison. »