LE COEUR COMPTE
Notre rythme cardiaque est de 70 à 75 battements par minute. Même s’il ne pèse en moyenne que 300 g, le cœur en bonne santé pompe chaque jour 7600 litres de sang au moyen de 97 000 kilomètres de vaisseaux sanguins. Au cours d’une journée, le cœur génère suffisamment d’énergie pour faire parcourir 32 kilomètres à un camion. Sur la durée d’une vie, cela équivaut à un aller-retour sur la lune. Le cœur en bonne santé peut accomplir des choses étonnantes. À l’inverse, si notre cœur fonctionne mal, tout notre corps tombe en panne.
GRAND CRÉATEUR ET GUÉRISSEUR
Il y a quelques années, dans un accident de ski plutôt grave, je me suis grièvement déchiré les muscles d’une jambe. En fait, mon médecin m’a dit que la déchirure avait abondamment saigné. Ma convalescence a été lente, mais durant toute cette attente, je me suis émerveillé de la grandeur de notre Créateur (voir Col 1.16).
ADOPTION
Ma femme, Marlene, et moi sommes mariés depuis plus de 35 ans. Lorsque nous avons commencé à nous fréquenter, nous avons eu une conversation que je n’ai jamais oubliée. Elle m’a dit qu’on l’avait adoptée à l’âge de six mois. Lorsque je lui ai demandé si elle avait déjà cherché à savoir où se trouvaient ses vrais parents, elle m’a répondu : « Mon père et ma mère auraient pu choisir n’importe quel autre bébé ce jour-là, mais ils m’ont choisie. Ils m’ont adoptée. Ce sont eux mes vrais parents. »
31 JOURS DE GRATITUDE
Selon de nombreux calendriers américains, le mois de janvier est le Mois national de la gratitude. Or, cette réalité est, bien entendu, applicable n’importe où, si bien que l’on devrait peut-être l’appeler le Mois international de la gratitude.
COMMENT JOUIR DE TOUT
Dans son livre Daring To Draw Near (Oser s’approcher), le Dr John White écrit que, plusieurs années plus tôt, Dieu lui a permis d’acquérir une belle maison munie de plusieurs composantes de luxe. Les sentiments que lui inspirait cette maison fluctuaient considérablement.
TROP BÉNI
En allant au bureau et en en revenant chaque jour, j’ai tout le temps de lire – des collants de pare-chocs, en fait. Certains sont tristes, d’autres sont intelligents et d’autres encore sont tout à fait déplaisants. J’en ai vu un dernièrement qui mettait toutefois gentiment en doute la façon dont j’aborde souvent la vie. Il disait simplement : « Trop béni pour me plaindre. »
N’OUBLIEZ PAS
Je ne partage pas l’avis de ceux qui critiquent les biens matériels en disant qu’il est mal en soi d’en posséder. J’avoue d’ailleurs être un consommateur souvent tenté de grossir ma pile de trésors dont je crois avoir besoin.
DES OISEAUX GOURMANDS
Chaque année, lorsque je sors la mangeoire à colibris, ces petits oiseaux affairés se mettent à se battre entre eux pour y avoir accès. Même s’il y a quatre places à la « table », les oiseaux luttent pour obtenir celle de leurs congénères. Les quatre places ont la même source de nourriture : un réservoir de sirop au fond de la mangeoire. Sachant que tous les postes de ravitaillement de la mangeoire sont égaux, je secoue la tête en les voyant se livrer à une telle avidité.
PAR GRATITUDE
Jeune, Robert Robinson (1735-1790) aimait faire les cent coups avec ses amis, dit-on. À 17 ans, il a toutefois entendu un sermon de George Whitefield inspiré de Matthieu 3.7 qui lui a fait prendre conscience de la nécessité pour lui d’être sauvé en Christ. Le Seigneur a alors transformé la vie de Robinson, qui est devenu prédicateur. Il a également écrit plusieurs cantiques, dont le célèbre cantique intitulé « Come, Thou Fount of Every Blessing » (Toi, la Source de tout mon bonheur).
DIFFICILES À AIMER
Il y a plusieurs années, j’ai servi de conseiller de colonie de vacances à des garçons rebelles. J’ai eu du mal à composer avec leur comportement. Ils maltraitaient les animaux à la ferme pédagogique et se battaient entre eux à l’occasion. Pour les diriger, j’ai donc adopté une approche empreinte de calme et de fermeté. Or, même s’ils m’ont souvent exaspéré, j’ai toujours veillé à répondre à leurs besoins physiques.