PAPA N’A PAS DIT « OH! »
J’ai un ami qui travaillait à sa paperasserie dans son bureau chez lui un soir. Pendant ce temps, sa fillette d’environ 4 ans à l’époque jouait autour de son bureau, bricolait, déplaçait des objets, ouvrait des tiroirs et faisait beaucoup de bruit.
LA JOIE DE SE SOUVENIR
Un ami de longue date m’a décrit ainsi le jour de son 90e anniversaire : « le moment […] pour réfléchir un peu, regarder dans le rétroviseur de ma vie et passer des heures à savourer ce que j’appelle "la grâce de se souvenir." Il est si facile d’oublier toutes les façons dont le Seigneur a dirigé mes pas, même s’il est écrit : "[Et] n’oublie aucun de ses bienfaits !" » (Ps 103.2.)
EN QUÊTE DE SILENCE
La chanteuse Meg Hutchinson a dit : « Mon prochain CD devrait consister à garder le silence pendant 45 minutes, car c’est le silence qui fait le plus défaut dans notre société. »
UNE AFFAIRE SÉRIEUSE
On m’a appelé dernièrement à faire partie d’un jury.
LA MISÉRICORDE DE DIEU
C’est aujourd’hui le 10e anniversaire des attaques terroristes perpétrées aux États-Unis le 11 septembre 2001. Il est difficile de se remémorer cette date sans revoir en esprit les images de la destruction, de la tristesse et du deuil qui ont balayé les États-Unis et le monde après ces événements tragiques. La perte de milliers de vies s’est jumelée à un deuil collectif profond : la perte pour le pays de son sentiment de sécurité. Le souvenir des événements de ce jour funeste s’accompagnera toujours du chagrin que suscite le deuil à la fois personnel et collectif.
L’HORLOGE DU GRAND-PÈRE
En 1876, Henry Clay Work a composé une chanson intitulée « My Grandfather’s Clock » décrivant l’horloge qui rythme par son tic tac la vie du grand-père qui en est le propriétaire. Il voit toute sa vie – enfance, vie d’adulte et vieillesse – selon son horloge bien-aimée. En voici le refrain : Quatre-vingt-dix ans sans prendre de retard ; tic, tac, tic, tac ; les secondes de sa vie elle égrène ; tic tac, tic tac ; mais elle s’est arrêtée net, pour ne jamais plus se remettre en marche, quand le vieil homme est mort.
L’ENNUI AVEC LES HÉROS
Enfant, j’avais un héros : Pete Maravich, un grand marqueur au basket-ball qui maniait le ballon comme un magicien.
LA BONTÉ DU SEIGNEUR
Il y a quelques années, je suis tombé sur un court essai de Sir James Barrie, un baron anglais. Dans cet essai, il brosse un portrait intime de sa mère, qui aimait profondément Dieu et sa Parole, et qui a lu sa bible au point de l’user littéralement jusqu’à la corde. « Elle est à moi, maintenant, écrit Sir James, et les fils noirs avec lesquels ma mère l’a recousue font partie de son contenu. »
COMME UN TROUPEAU
Au cours d’une démonstration de garde de moutons employant un Border-Collie, l’entraîneur du chien a expliqué que parce que les moutons sont très vulnérables par rapport aux animaux sauvages, leur principale défense contre les prédateurs consiste à rester ensemble dans un groupe très uni. « Un mouton seul est voué à mourir, a dit l’entraîneur. En faisant se déplacer les moutons, le chien les garde toujours ensemble. »
UN AU REVOIR DÉCHIRANT
Lorsque notre cadet s’est enrôlé dans l’armée, nous savions que les défis ne manqueraient pas. Nous savions qu’il ferait face au danger et qu’il serait éprouvé sur les plans physique, émotionnel et spirituel. Nous savions également que notre foyer ne serait plus jamais complètement le sien. Au cours des mois qui ont précédé son départ, ma femme et moi nous sommes préparés à relever ces défis.