Rien dans l’eau
Dans l’édition de 2012 du magazine Foreign Policy, le chroniqueur Micah Zenko a écrit un article pour tenter d’apaiser les craintes des gens contre les attaques de requins. Zenko a conclu qu’à cause du film Jaws (Les dents de la mer), des millions d’Américains paniquent pour rien lorsqu’ils apprennent qu’un requin se trouve près de la zone où ils nagent.
Un sentiment d’insignifiance ?
Nous comptons au nombre des sept milliards de personnes qui coexistent sur une planète minuscule située dans une petite partie d’un système solaire plutôt insignifiant. Notre Terre n’est, en réalité, qu’un infime point bleu parmi les millions de corps célestes que Dieu a créés. Sur la toile gigantesque que constitue notre univers, notre Terre magnifique et majestueuse semble n’être qu’une particule de poussière microscopique.
Embourbés
Nous nous étions complètement embourbés ! Tandis que je déposais la couronne sur la tombe de mes parents, mon mari a rangé la voiture sur le côté de la route afin de laisser passer un autre véhicule. Il avait plu pendant des semaines et l’aire de stationnement était détrempée. Lorsque nous avons été prêts à partir, nous avons toutefois constaté que la voiture s’était embourbée. Les roues patinaient et s’enfonçaient toujours plus.
Les trésors de l’obéissance
Les loteries d’État existent dans plus de cent pays. Au cours d’une année récente, la vente des billets de loterie a remporté plus de 85 milliards de dollars seulement aux États‑Unis et au Canada, ce qui ne représentait qu’une partie des ventes totales enregistrées à l’échelle internationale. Le leurre des énormes gros lots a engendré une mentalité amenant beaucoup de gens à croire que tous leurs problèmes seraient résolus si seulement ils gagnaient à la loterie.
Aucun besoin n’est trop petit
P lusieurs mères de petits enfants se racontaient entre elles des réponses encourageantes qu’elles avaient reçues à leurs prières. L’une d’entre elles a toutefois dit se sentir égoïste de déranger Dieu en lui exposant ses besoins personnels : « Comparée aux besoins énormes de la terre entière auxquels Dieu se heurte, ma situation doit lui sembler insignifiante. »
L’école de la souffrance
Dans son livre intitulé « Le Problème de la Souffrance », C. S. Lewis fait observer que Dieu se sert de nos plaisirs pour nous murmurer, de notre conscience pour nous convaincre et de nos souffrances pour nous crier son amour, car il s’agit de son mégaphone pour réveiller un monde sourd. La souffrance nous aide souvent à nous recentrer sur l’essentiel. Elle amène nos pensées à se détourner de notre situation actuelle pour nous inciter à écouter Dieu nous parler de l’oeuvre qu’il accomplit dans notre vie. La vie de tous les jours se change ainsi en salle de classe spirituelle.
Dans toutes les générations
Il peut nous sembler étonnant que certains enfants ne suivent pas l’exemple de foi en Dieu de leurs parents. On ne s’attendrait pas plus à voir une personne très engagée envers Christ provenir d’une famille où la foi était inexistante. Dans toutes les générations, un choix s’impose à chaque personne.
L’Éternel impose le rythme
L’année 2013 venait à peine de commencer que je ressentais déjà un besoin de vacances. Des rénovations de maison, un lancement de livre, un voyage en Éthiopie et deux voyages de conférences en Australie m’ont laissé peu de temps libre durant la dernière année. Un soir, au milieu de toute cette agitation, j’ai pris un livre et je suis tombé sur cette charmante paraphrase du Psaume 23 par le poète japonais Toki Miyashina.
Le livre et l’histoire
Des millions de gens partout dans le monde ont vu le film Autant en emporte le vent, qui a été présenté pour la première fois aux États‑Unis le 15 décembre 1939. Il a remporté dix oscars et demeure un des films hollywoodiens ayant obtenu le plus grand succès commercial. Il constituait l’adaptation au grand écran du roman de Margaret Mitchell paru en 1936, qui s’est vendu en un million d’exemplaires en moins de six mois, a reçu un prix Pulitzer et a été traduit en plus de quarante langues. Les films épiques tirent souvent leur source d’un livre puissant et atemporel.
Le monde de Dieu
Je savais que mon fils aimerait recevoir une carte du monde pour son anniversaire. Après en avoir cherché une, j’ai trouvé un tableau coloré des continents, qui incluait des illustrations propres à chaque région du globe. Un porte-queue papillonnait sur la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Des montagnes cascades couvraient tout le Chili. Un diamant ornait l’Afrique du Sud. J’en étais ravie, mais je me suis interrogée au sujet de la légende apparaissant au bas de la carte : Our World (Notre monde).