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SE FRAYER UN CHEMIN

Les Amérindiens du Michigan ont été les ingénieurs de la première autoroute de l’État. À quelques exceptions près, les principales autoroutes du Michigan suivent les sentiers qu’ils ont tracés des centaines d’années avant l’arrivée des Blancs. Un sentier avait alors de 30 cm à 45 cm de large, et les gens les parcouraient à la queue leu leu par souci de sécurité. Puis des chevaux chargés ont suivi ces sentiers, qui se sont élargis. Ensuite sont venus les chariots, faisant de ces sentiers des routes de terre, puis des autoroutes.

LE POUVOIR D’UNE RÉPONSE DOUCE

Ma voiture est tombée en panne dans un tunnel à l’heure de pointe en plein cœur de Boston. Des conducteurs visiblement furieux m’ont contourné tant bien que mal. Ma voiture a fini par être remorquée jusque dans un garage pour y être réparée. Plus tard, elle est tombée en panne de nouveau sur l’autoroute à 14 h. Elle est donc retournée au garage.

LE GANG DES DALTON

Les frères Dalton étaient des hors-la-loi tristement célèbres qui ont vécu aux États-Unis dans les années 1800. Au début, ils respectaient et faisaient respecter la loi. Puis ils se sont graduellement abandonnés à une vie de crime et ont fini par se tailler une réputation de cambrioleurs de banques et de trains. Leur carrière a pris fin le jour où ils ont tenté de braquer deux banques à la fois. En découvrant que ces cambriolages avaient cours, les habitants de la ville se sont armés et ont ouvert le feu sur le gang des Dalton. Une fois la fumée dissipée, on a constaté que seul Emmett Dalton avait survécu à la fusillade.

UN HOMME SAGE ET CHALEUREUX

Lorsque le Seigneur a rappelé à lui Monsieur Vernon Grounds, ancien président et chancelier du Denver Seminary, à l’âge de 96 ans, ses anciens élèves, ses collègues et ses amis ont exprimé beaucoup d’éloges et évoqué nombre de souvenirs. Presque tous se rappelaient avoir personnellement bénéficié des encouragements de Monsieur Grounds par ses enseignements, ses conseils ou simplement son chaleureux sourire. Il croyait au bien-fondé de la formation de pasteurs, d’enseignants et de conseillers qui entretenaient une relation vitale avec Christ et désiraient ardemment servir les autres.

LÂCHEUR ?

Au cours de notre étude du livre des Proverbes dans mon petit groupe d’étude biblique, notre chef nous a proposé de changer la description du paresseux contre celle du lâcheur (6.6,9). Ah, il parlait maintenant le même langage que moi. Je me suis mise immédiatement à réfléchir à toutes les personnes que je considère comme des lâcheurs.

LA POURSUITE

Lorsque Carl, mon mari, a cherché à bâtir une relation avec moi durant nos fréquentations, il a pris la chose au sérieux. Il me téléphonait. Il m’écrivait de petits mots doux. Il me posait des questions attentionnées. Il m’offrait des fleurs, des friandises, des livres, des repas au restaurant et autres cadeaux. Il y a consacré beaucoup de temps et d’efforts.

UNE GARDE À SA BOUCHE

Je marchais dans une station de métro de Minsk, au Bélarus, avec mon amie Yuliya et sa fille Anastasia lorsque je suis soudain tombé face contre le sol de béton. Je ne me rappelle pas ma chute, mais je me rappelle avoir soudain eu la bouche pleine de sable, de gravier et de gravillon. Pouah ! Il me tardait de me sortir tout cela de la bouche !

SANS AUTORITÉ ?

Lorsque le patio derrière la maison s’est mis à s’affaisser, j’ai fait quelques appels téléphoniques, obtenu des devis et choisi un entrepreneur à qui j’ai confié la tâche de nous construire un nouveau patio.

LA JUSTICE EN MIRE

Dans les 135 dernières années du base-ball professionnel, seuls 20 lanceurs ont disputé un match parfait. Le 2 juin 2010, Armando Galarraga des Tigers de Detroit serait devenu le 21e, si l’erreur d’un arbitre ne lui avait dérobé le titre dont tout lanceur rêve. La reprise vidéo a montré la vérité. Même si l’arbitre a ultérieurement reconnu son erreur et a demandé à Galarraga de l’en excuser, il était impossible de changer le jugement rendu sur le terrain.

UN ESPRIT RÉCEPTIF

Juste avant que notre service religieux commence, j’ai entendu derrière moi un jeune homme qui parlait avec sa mère. Ils lisaient une annonce dans le bulletin au sujet d’un défi que l’on y lançait, celui de lire un chapitre des Proverbes chaque jour pendant les mois de juillet et d’août. Il a demandé à sa mère : « Qu’allons-nous faire du chapitre 31 au mois d’août, puisqu’il n’a que 30 jours ? » Elle lui a dit qu’elle croyait qu’il y avait 31 jours en août. Il lui a répondu : « Non, il n’y en a que 30. »