Ce que nous faisons
Lorsqu’est mort Roger Ebert, critique cinématographique lauréat d’un prix Pulitzer, un collègue journaliste a écrit de lui : « Malgré sa notoriété, ses honneurs, sa célébrité, ses entrevues exclusives et ses rencontres à faire rêver avec les géants du cinéma, Ebert n’a jamais perdu de vue l’essentiel de notre travail – critiquer des films. Ce qu’il faisait avec un zèle contagieux et un intellect pénétrant » (Dennis King, The Oklahoman).
Vie parfumée
Je suis reconnaissant que Dieu nous ait donné l’odorat afin que nous puissions jouir des nombreuses fragrances de la vie. Je réfléchis à tout le bonheur que me procure une chose aussi simple que l’arôme frais et invitant de l’après-rasage. Ou encore, la douce senteur du gazon fraîchement tondu au printemps. Je savoure particulièrement le fait d’être assis dans le jardin lorsque le parfum délicat de mes roses préférées emplit l’air. Et puis il y a les arômes savoureux de mets délicieux.
RENONCER À NOS MIROIRS
Lorsque Moïse a réuni les enfants d’Israël pour amorcer la construction du Temple (Ex 35 – 39), il a fait appel aux services de Betsaleel, un artisan très habile, pour qu’il participe à la fabrication des meubles. On dit que l’on a demandé à certaines femmes de faire don de leurs précieux miroirs d’airain afin de fabriquer la fameuse cuve d’airain (38.8). Elles y ont renoncé afin de contribuer ainsi à préparer un endroit où la présence de Dieu résiderait.
COMMENCE PAR MOI
Je les appelle les Notes Mell : de petits mots que ma fille Melissa écrivait dans sa bible pour s’aider à mettre un passage en pratique dans sa vie.
SE VOIR REFUSER LE PARDON
Je mangeais un midi avec deux hommes qui avaient ouvert leur vie à Christ lorsqu’ils étaient en prison. Le fait que la famille à qui il avait volé des choses refusait de le lui pardonner décourageait le plus jeune des deux.
MONTAGE REQUIS
Lorsque notre fille et son fiancé ont commencé à recevoir des cadeaux de mariage, ceux-ci les ont réjouis. Un de ces cadeaux était une armoire à assembler – et je me suis porté volontaire pour cette tâche, car ils avaient beaucoup à faire pour se préparer au mariage. Même s’il m’a fallu quelques heures pour l’assembler, la tâche s’est avérée nettement plus facile que ce à quoi je m’étais attendu. Toutes les pièces de bois étaient déjà coupées et percées, et tous les outils nécessaires à l’assemblage étaient inclus. Les directives étaient par ailleurs presque parfaites.
Occasions difficiles
J’étais en chemin pour le service commémoratif de mon ami lorsque des rangées de voitures se sont mises à freiner devant moi. J’ai allumé la radio pour apprendre que le trafic était ralenti par un accident à des kilomètres devant moi. J’ai fait une embardée puis je me suis arrêté pendant 10 minutes… puis 20. Et là, j’étais en retard. J’ai pensé faire demi-tour et rentrer à la maison. Mais j’ai alors pris conscience que le meilleur moyen de témoigner ma sympathie était de ne pas baisser les bras. Je n’avais aucune idée si j’allais arriver à temps au service, mais chaque minute d’attente forcée exprimerait mon attachement pour mon ami.
GOURDE À BOIRE
Avant la Guerre de Sécession (1861-1865), des esclaves en fuite ont trouvé la liberté en suivant le « chemin de fer clandestin », terme que l’on a donné aux routes secrètes les ayant menés du sud au nord et aux abolitionnistes qui leur venaient en aide. Les esclaves parcouraient de nombreux kilomètres durant la nuit, en suivant la lumière de la « Gourde à boire » pour rester sur la bonne voie. Il s’agissait d’un nom de code pour décrire le groupe d’étoiles connu sous le nom de Grande Ourse, qui pointe vers l’étoile du Nord. Certains croient que les fugitifs se sont également servis de directives encodées dans les paroles de la chanson « Follow the Drinking Gourd » (Suivez la Gourde à boire) pour éviter de se perdre en chemin.
PREMIÈRE RÉPONSE
Lorsque l’on a conduit mon mari, Tom, d’urgence à l’hôpital pour s’y faire opérer, je me suis mise à téléphoner aux membres de la famille. Ma sœur et son mari sont aussitôt accourus, et nous avons attendu en priant. Discernant l’angoisse dans ma voix au téléphone, la sœur de Tom m’a immédiatement demandé : « Cindy, je peux prier avec toi ? » Lorsque mon pasteur et sa femme sont arrivés, il a lui aussi prié pour nous (Ja 5.1316).
Des diplômes à la mer
Au début des années 1900, John est allé étudier aux États-Unis. Il a obtenu un baccalauréat, une maîtrise et un doctorat en cinq ans, mais une question le troublait : « Que servirait-il à un homme de gagner le monde, s’il perdait son âme ? » (Mt 16.26.) Il s’est ensuite inscrit dans un séminaire dirigé par des professeurs qui rejetaient la Bible.