POUVEZ-VOUS AIDER ?
Les administrateurs du lycée de Barrow, en Alaska, se sont lassés de voir les élèves s’attirer des ennuis et le taux de décrochage se maintenir à 50 p. cent. Pour favoriser l’intérêt des élèves, ils ont mis sur pied une équipe de foot, ce qui leur a offert la chance d’acquérir des aptitudes personnelles, d’apprendre à travailler en équipe et de tirer des leçons de la vie. L’ennui, c’est qu’étant donné que la ville de Barrow est située au nord de l’Islande, il est difficile d’y faire pousser de l’herbe. Si bien que les élèves y jouaient au foot sur un terrain de pierres concassées et de terre.
Bonne action, mauvais motif
Un soir où je prêchais, un homme atteint d’une maladie mentale est entré dans l’église et a marché vers moi. Il m’a ensuite giflé, a fait tomber la chaire et a semé un mouvement de panique dans l’assemblée. Par mesure de protection, un membre de l’Église, nommé Gary, s’est avancé vers l’homme alors que ce dernier se précipitait vers lui et sa femme.
MOSAÏQUE
Chaque automne, notre ville se change en galerie d’art pendant trois semaines. Près de 2 000 artistes issus des quatre coins du monde y exposent leurs créations dans les galeries, les musées, les hôtels, les parcs, les rues, les parkings, les restaurants, les églises et même sur la rivière.
PETIT CHAPITEAU
Au cours de la campagne d’évangélisation historique de Billy Graham à Los Angeles en 1949, le grand chapiteau érigé en vue d’accueillir plus de six mille personnes s’est plus que rempli chaque soir pendant huit semaines. On avait érigé à proximité un chapiteau plus petit où l’on offrait du counseling et de la prière. Cliff Barrows, qui était depuis longtemps le directeur musical, un ami intime et un partenaire de Graham, a souvent dit que l’œuvre véritable de l’Évangile s’accomplissait sous « le petit chapiteau », où les gens se réunissaient pour prier à genoux avant et pendant chaque service d’évangélisation. Une femme de Los Angeles, Pearl Goode, constituait le cœur même de ces réunions de prière et de nombreuses réunions subséquentes.
UNE VIE ÉCLATANTE
Selon la Fédération internationale de basketball, ce sport est le deuxième le plus populaire au monde. On estime à 450 millions le nombre de ses adeptes sur toute la terre. Aux États-Unis, le tournoi annuel de la NCAA, qui se tient en mars, souligne souvent l’apport de l’entraîneur légendaire John Wooden. Au cours des 27 années où il a travaillé pour l’UCLA, ses équipes ont fracassé tous les records en remportant dix championnats nationaux. Aujourd’hui, on se souvient de John Wooden, qui est mort en 2010, non pas uniquement pour ses réalisations, mais également pour la personne qu’il était.
JE NE PEUX PAS TOUT FAIRE !
Une fillette de 4 ans aidait sa mère à ranger sa chambre avant de se coucher. Quand celle-ci lui a demandé de ranger les vêtements se trouvant sur son lit, Eliana a toutefois atteint sa limite. S’étant retournée, elle lui a lancé avec les poings sur les hanches : « Je ne peux pas tout faire ! »
DES VITESSES NON UTILISÉES
Mon premier vélo n’avait qu’une vitesse. Que j’aille vite ou lentement, vers le haut ou vers le bas, cette vitesse servait à tout. Mon vélo suivant en avait trois : une pour les surfaces planes, une pour les pentes ascendantes et une autre pour les pentes descendantes. Mon troisième vélo en avait dix, m’offrant un éventail encore plus large de possibilités. Même si mon dernier vélo avait plusieurs vitesses, je ne les utilisais pas toutes chaque fois que j’allais à bicyclette. Certaines convenaient mieux à démarrer et à monter, d’autres étaient réservées à gagner de la vitesse et d’autres encore convenaient le mieux à une vitesse réduite. Voici toutefois le truc en matière de vitesses : même si je ne les employais pas toutes sur le coup, cela ne signifiait pas que je n’en aurais jamais besoin.
LEÇONS TIRÉES D’UNE CLÔTURE
Lorsqu’un vent furieux de mars a abattu une section de la clôture entourant notre maison, j’ai eu pour première réaction d’en imputer la faute à celui qui l’avait construite pour moi à peine quelques mois plus tôt. En y repensant, j’ai toutefois compris que la faute me revenait. Vers la fin des travaux, j’ai dit à l’ouvrier qu’il était inutile de remplacer quatre poteaux de l’ancienne clôture par de nouveaux ancrés dans le béton. « Contentez-vous d’attacher la nouvelle clôture aux anciens poteaux. Ça ira », lui ai-je dit. Et ce fut le cas, jusqu’à ce qu’un grand vent se mette à souffler.
FOI ET OEUVRES
À cause de son arthrite, Roger ne supportait plus les hivers de l’Illinois, si bien qu’il a déménagé dans la ville au climat tropical de Bangkok, en Thaïlande. Un jour, il s’est rappelé la chanson préférée de sa grand-mère : « What You Are » (Ce que tu es) : Ce que tu es parle si fort que le monde…
DES GESTES DE GRATITUDE
Lorsque j’étais enfant, peu de gens me connaissaient mieux que Francis Allen, le pasteur qui m’a conduit à Jésus-Christ. Ce prédicateur apocalyptique en chaire était l’exemple presque parfait de la douceur de l’amour de Dieu une fois qu’il avait fini de prêcher.