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La dernière danse

Les neuroscientifiques affirment que notre cerveau est un organe flexible qui durcit avec le temps. Quand l’un de nos 100 milliards de neurones envoie une charge électrochimique à un autre neurone, elle crée une nouvelle voie dans le cerveau. Si le neurone répète le signal assez de fois, la voie s’élargit et devient un chemin puis une autoroute. Plus nous pensons à quelque chose, plus nos pensées deviennent gravées dans notre cerveau. Il peut être facile de changer d’idée lorsqu’une nouvelle pensée nous vient à l’esprit. Cela devient plus difficile si cette pensée s’est créé une autoroute dans notre tête.

Sa Parole : le mot de la fin

Dawson Trotman, leader chrétien dynamique du milieu du XXe siècle et fondateur des Navigateurs, a insisté sur l’importance que revêt la Bible dans la vie du croyant. Trotman terminait chacune de ses journées par ce qu’il appelait « Sa Parole : le mot de la fin ». Avant de s’endormir, il méditait un verset ou un passage biblique qu’il avait mémorisé, puis il priait pour que celui‑ci influence le cours de sa vie. Il désirait que les dernières paroles qui nourrissaient sa réflexion chaque jour soient celles de Dieu.

Atteindre l’équilibre

C’est l’hiver dans la ville de New York. La température de l’air frôle la congélation. Un homme enfile sa combinaison de plongée et se prépare à surfer sur les vagues de Long Beach, une région au sud de Queens où il vit. Avant d’entrer dans l’eau, il médite sur les dangers à éviter et prie les dieux de l’océan. Sur sa planche de surf, une création hawaïenne de 2,7 mètres, se trouve une photo de son gourou spirituel maintenant décédé. L’homme dit que l’image lui procure « l’équilibre ».

Réfléchissez-y bien

Plusieurs jours après l’opération à coeur ouvert de ma femme, un ami m’a demandé si j’avais besoin de quelque chose. Je lui ai répondu à la blague qu’il serait bien s’il pouvait terminer l’écriture d’une méditation du Notre Marche Quotidienne que je devais rendre plus tard ce jour-là. Mon ami, qui est un collègue et un des auteurs du NMQ, m’a offert avec enthousiasme de me faire part de ses impressions sur l’article que j’étais en train de rédiger, jusqu’à ce qu’il se rappelle, qu’en fait, il n’avait pas le temps de le faire ! Son horaire était complet.

Que devrais‑je savoir ?

Lors d’un concert, un auditeur a demandé au parolier et interprète David Wilcox comment il composait ses chansons. Il a dit qu’il y avait trois dimensions à ce processus : un lieu calme, une page vierge et la question : « Que devrais‑je savoir ? » J’ai alors été frappé de constater combien c’était une façon merveilleuse pour les disciples de Jésus de chercher à connaître jour après jour le plan de Dieu pour leur vie.