LA PIERRE EURÊKA
En 1867, dans une ferme en Afrique du Sud, le jeune Erasmus Jacobs de 15 ans a vu une pierre briller au soleil. En apprenant ultérieurement l’existence de cette pierre brillante, un voisin a voulu l’acheter auprès de la famille Jacobs. N’en connaissant pas la valeur, la mère d’Erasmus a dit à son voisin : « Vous pouvez garder la pierre, si vous la voulez. »
NOTRE BRAVE CHAMPION
Enfant, j’avais énormément de mal à m’endormir. Dès que mes parents éteignaient la lumière, je m’imaginais que les vêtements que j’avais jetés sur la chaise se transformeraient en dragon redoutable et qu’une créature vivante sortirait de sous mon lit. Du coup, la panique s’emparait de moi et il me devenait impossible de trouver le sommeil.
Ô JOUR GLORIEUX !
C’était le lendemain. Mon équipe préférée venait de perdre son dernier match et le rêve d’un championnat avait maintenant volé en éclats. J’ai pris le volant pour me rendre au travail, par une journée froide et quelque peu sombre. Rien de tout cela n’aurait dû avoir de réelle importance, mais tout me portait à croire que ce serait un lundi mélancolique.
L’AMOUR SANS FRONTIÈRES
Il n’y a pas longtemps, j’ai entendu un oiseau pépier sa détresse du côté de la maison de mon voisin. J’ai découvert une nichée d’oisillons à l’intérieur d’un évent fermé par une moustiquaire, empêchant la mère de donner la becquée à ses petits affamés. Après en avoir informé mes voisins, ils ont retiré la moustiquaire et ont déménagé le nid et les oisillons en lieu sûr.
UNE VIE ÉCLATANTE
Selon la Fédération internationale de basketball, ce sport est le deuxième le plus populaire au monde. On estime à 450 millions le nombre de ses adeptes sur toute la terre. Aux États-Unis, le tournoi annuel de la NCAA, qui se tient en mars, souligne souvent l’apport de l’entraîneur légendaire John Wooden. Au cours des 27 années où il a travaillé pour l’UCLA, ses équipes ont fracassé tous les records en remportant dix championnats nationaux. Aujourd’hui, on se souvient de John Wooden, qui est mort en 2010, non pas uniquement pour ses réalisations, mais également pour la personne qu’il était.
AUCUN INTÉRÊT POUR LA RELIGION
La publicité radiophonique d’une certaine Église a capté mon attention : « Parce que vous avez entendu parler du christianisme, il se peut que vous ne vous intéressiez pas à la religion. Cela vous étonnera peut-être, mais Jésus ne s’y intéressait pas non plus. Il se passionnait pour les relations et il désirait plus que tout nous enseigner à nous aimer les uns les autres. » À cela, on ajoutait : « Il se peut que tout ne vous plaise pas dans notre Église, mais nous offrons des relations authentiques, et nous y apprenons à aimer Dieu et à nous aimer les uns les autres. Vous y êtes les bienvenus. »
LE POUCE LEVÉ
Pandora compte parmi les merveilles musicales de l’ère d’Internet. Il nous aide à créer notre propre station de radio en nous permettant de « personnaliser » notre musique. Il fait jouer une chanson, puis nous cliquons sur un pouce tourné vers le haut ou vers le bas pour indiquer si elle nous plaît ou non. Nous n’enregistrons ainsi en définitive que des chansons qui nous plaisent.
S’ENRACINER
Un petit coin de mon jardin semblait ne pas bien se porter. L’herbe paraissait toujours plus rare à cet endroit, peu importe combien je l’arrosais.
BIENVENUE AUX DERNIERS ARRIVÉS
Un soir que je faisais une visite dans une maison de santé, un résident du nom de Tom est sorti discrètement de sa chambre dans l’espoir de parler un peu avec moi. Après avoir discuté un moment, il m’a demandé : « Ça n’insulterait pas Dieu si je devenais chrétien aussi tard dans la vie ? » La question de Tom ne m’a pas étonné. Dans mes fonctions d’aumônier, j’ai souvent entendu ces propos sous diverses formes de la part d’aînés, de toxicomanes et d’anciens prisonniers. Ils croient avoir des raisons légitimes de penser qu’ils s’y prennent trop tard pour faire la connaissance de Dieu ou se mettre à son service.
DÉSOLÉ, L’AMI
En assistant à un événement sportif, mon gendre Ewing et moi nous sommes plu à suivre le match et à observer les gens qui nous entouraient.