Trop pour moi
Dieu ne nous donne jamais plus que ce que nous pouvons gérer », voilà ce qu’une personne a dit à un père dont le fils de 5 ans venait de perdre son combat contre le cancer. Cette parole, qui devait servir à l’encourager, a plutôt eu pour effet de le déprimer et de l’amener à se demander pourquoi il ne « gérait » pas du tout la mort de son enfant. Il souffrait à tel point qu’il en avait peine à respirer. Il savait que sa douleur était trop grande pour lui et qu’il avait désespérément besoin que Dieu le serre fort dans ses bras.
Comme prévu
C’était la semaine de la célébration de la Pâque. Des centaines de milliers de pèlerins juifs étaient venus au Temple pour commémorer leur libération de l’esclavage en Égypte (Ex 12.1-28). Le dimanche précédant la Pâque, alors qu’il entrait dans Jérusalem, Jésus avait permis au peuple de lui rendre hommage en tant que roi, ce qu’il ne les avait pas laissé faire auparavant (Jn 12.12-16).
De solides fondations
Les tremblements de terre sont fréquents dans la région du littoral du Pacifique connue sous le nom de « Cercle de feu ». En effet, 90 p. cent de tous les séismes de la planète et 81 p. cent des pires séismes de la terre s’y produisent. J’ai appris que de nombreux édifices de la ville de Hong Kong ont été bâtis sur le granite, ce qui pourrait contribuer à réduire les risques de dommages susceptibles de se produire au cours d’un tremblement de terre. Les fondations que l’on donne aux édifices revêtent une importance particulière dans les régions du monde sujettes aux séismes.
L'arbre de l'amour
Le saule a monté la garde pendant plus de vingt ans. Il a abrité du soleil nos quatre enfants lorsqu’ils jouaient dans le jardin et il a servi de refuge aux écureuils du quartier. Par contre, lorsque le printemps est venu, l’arbre ne s’est pas réveillé de son hivernation. L’heure était donc venue de l’abattre.
QUI ÊTES-VOUS ?
De temps à autre, nous lisons que des gens s’offusquent que l’on ne les traite pas avec le respect et les égards auxquels ils croient avoir droit. « Sais-tu qui je suis ? » s’écrient-ils avec indignation, ce qui nous rappelle l’affirmation suivante : « Si vous êtes obligé de dire aux gens qui vous êtes, vous n’êtes probablement pas vraiment qui vous pensez être. » Or, c’est la qualité diamétralement opposée à cette arrogance et à cette suffisance qui se remarque en Jésus, même lorsque sa vie sur la terre tirait à sa fin.
DES RACCOURCIS DANGEREUX
Au cours de récentes élections s’étant tenues dans mon pays, une mère en difficulté que je connais a échangé son vote contre un sac de couches. Nous avions discuté des avantages de chaque candidat, si bien que son choix m’a déçue. « Mais qu’en est-il de tes convictions ? » lui ai-je demandé. Ce à quoi elle n’a rien répondu. Six mois après que son candidat a remporté les élections, les impôts ont augmenté encore. Tout est maintenant plus cher qu’avant… même les couches !
Vous êtes ce que vous dites
Il est vrai que « vous êtes ce que vous mangez ». J’ai une marque favorite de céréales sucrées qu’il m’arrive parfois de grignoter, même en sachant qu’une demi‑heure plus tard, je risque de m’effondrer. Il est important d’avoir un bon régime alimentaire parce que, grâce au miracle du métabolisme, notre nourriture devient une partie de nous‑mêmes. Mon corps pourrait bien être composé de 20 % de lait et de sirop de maïs hydrogéné !
ATTENDRE LES SECOURS
Le film L’homme d’acier , sorti en 2013, constitue une version imaginative de l’histoire de Superman. Riche en effets spéciaux à couper le souffle et de rebondissements incessants, il a attiré les foules dans les salles de cinéma du monde entier. Certains ont dit que son pouvoir d’attraction tenait surtout à la technologie étonnante dont il a fait l’objet. D’autres étaient d’avis qu’il était attribuable à l’attrait impérissable de la « mythologie de Superman ».
LA VOLONTÉ DE QUI ?
« Que tout se passe comme vous le voulez » est un voeu souvent exprimé lors du Nouvel An chinois. Aussi formidable qu’il puisse sembler, il vaut mieux que ce soit la volonté de Dieu qui s’accomplisse plutôt que la mienne.
LE VISITEUR
Un ami a demandé à un homme, à la retraite depuis peu, ce qu’il faisait maintenant qu’il ne travaillait plus à temps plein. « Je me décris comme un visiteur, lui a répondu l’homme. Je vais rendre visite aux gens de notre Église et de notre collectivité qui sont hospitalisés ou en centre de santé, qui vivent seuls ou qui ont simplement besoin de quelqu’un avec qui parler et prier. Et ça me plaît ! » Le sens précis de sa destinée et le souci des autres que mon ami a découverts chez cet homme l’ont impressionné.