Apprendre à compter
Mon fils apprend à compter de un à dix. Il compte tout, des jouets aux arbres. Il compte des choses dont j’ai tendance à faire fi, comme les fleurs sauvages le long du chemin jusqu’à l’école et mes orteils.
Louer et demander
Défi jeunesse, un ministère auprès des jeunes à risque, est né à New York grâce à un engagement à prier exceptionnel. David Wilkerson a vendu son téléviseur et a consacré le temps qu’il regardait la télévision (deux heures chaque soir) à prier. Durant les mois qui ont suivi, il en est venu non seulement à se représenter clairement ce que Dieu attendait de lui, mais encore il a atteint l’équilibre entre louer Dieu et solliciter son aide.
Des larmes et des rires
L’année dernière, lors d’une retraite, j’ai retrouvé des amis que je n’avais plus vus depuis longtemps. Nous avons ri ensemble en savourant nos retrouvailles, mais j’ai aussi pleuré, car ils m’avaient beaucoup manqué.
Louer Dieu d’un coeur pur
Lors du séjour à l’étranger de mon amie Myrna, elle s’est rendue dans une église pour le culte d’adoration. Elle y a remarqué qu’en entrant dans le sanctuaire, les gens s’agenouillaient immédiatement pour prier, en tournant le dos à l’autel. Mon amie a découvert alors que les gens qui fréquentaient cette église confessaient leurs péchés à Dieu avant le culte.
Lever les yeux vers le ciel
Un article de la revue Surgical Technology International indique que le fait de baisser les yeux sur un téléphone intelligent en inclinant la tête équivaut à se mettre un poids de 27 kg sur la nuque. Comme partout dans le monde des millions de gens passent en moyenne deux à quatre heures par jour à lire et à texter, les dommages ainsi causés à leur nuque et à leur épine dorsale deviennent un problème de santé croissant.
Honorer Dieu
Le service religieux était toujours en cours, et des visiteurs étaient présents ce matin-là. Le prédicateur n’en était rendu qu’à la moitié de son sermon lorsque j’ai remarqué que l’une de nos visiteuses s’était levée et se dirigeait vers la sortie. Curieux et préoccupé, je suis sorti lui parler.
Tous ses bienfaits
Une difficulté récurrente dans notre parcours de vie nous amène à nous concentrer à un tel point sur notre besoin du moment que nous en oublions ce que nous possédons déjà. La chorale de mon Église m’a rappelé ce fait en chantant un superbe cantique inspiré du Psaume 103. « Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! » (V. 2.) C’est le Seigneur qui nous pardonne, nous guérit, nous rachète, pourvoit à nos besoins, nous satisfait et nous restaure (V. 4,5). Comment pourrions-nous l’oublier ? Pourtant, c’est souvent ce que nous faisons lorsque les événements de notre quotidien détournent notre attention vers nos besoins les plus pressants, nos échecs répétés et les situations qui semblent échapper à notre volonté.
Se rappeler
La semaine dernière, j’ai emmené mon fils adoptif Wasswa et son copain Joseph (un Éthiopien adopté par mes amis) sur une plage de la Floride où j’ai grandi. Je regardais les garçons patauger dans l’eau du Golfe, jouer dans le sable et donner des petits coups à une méduse morte échouée sur le rivage, et je m’émerveillais de l’oeuvre que Dieu avait faite dans leur vie.
Le quotidien
Je suis heureux d’avoir fait quatre années de latin, mais à l’époque, cela me rebutait. Notre enseignante croyait aux exercices et à la répétition. « Repetitio est mater studiorum » (La répétition est la mère du savoir), nous redisaitelle plusieurs fois par jour. « Repetitio est absurdum » (La répétition est absurde), grommelions-nous en retour.
Le chant de notre vie
Chacun entend différemment la même pièce de musique. Le compositeur l’entend dans son imagination, et l’auditoire la ressent. Les musiciens de l’orchestre entendent le mieux les instrumentistes tout près d’eux.