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Pas de seconde zone

Après la fin de la Première Guerre mondiale, on a reconnu le président des États-Unis Woodrow Wilson comme l’un des chefs d’État les plus puissants de la terre.

Bien diriger

Le pasteur et auteur John Maxwell a écrit : « Les gens approuvent le leader avant d’approuver la vision. » Autrement dit, si nous ne croyons pas en le caractère, en la sagesse et en la vision du leader, nous aurons le défi de suivre quelqu’un qui n’a ni notre confiance ni notre respect.

Diriger avec amour

Dans son livre Le Leader spirituel, J. Oswald Sanders étudie les qualités du tact et de la diplomatie, ainsi que leur importance. À leur sujet, il dit : « Si l’on combine ces deux mots, une idée émerge : l’habileté à réconcilier des points de vue opposés sans offenser ou sans faire de compromis avec les principes » (France, Éditions Farel, 1994, p. 81).

Un leader-serviteur

Dans les sociétés africaines traditionnelles, la succession du chef fait l’objet d’une décision sérieuse. Après le décès d’un roi, on choisit son successeur avec grand soin. En plus d’appartenir à la famille royale, celui-ci doit être fort, courageux et sensible. On interroge chaque candidat pour voir s’il se mettrait au service du peuple ou le gouvernerait d’une main de fer, car le successeur au trône doit être apte à diriger, mais aussi à servir.

Le défi de la transition

Après avoir subi une blessure ayant mis fin à sa carrière d’athlète professionnel, Chris Sanders a dit à un groupe de vétérans de la guerre que, même s’il n’avait jamais fait l’expérience du combat, il comprenait les pressions associées à une transition.

LE POUVOIR DE L’AMOUR

Les livres portant sur le leadership, qui apparaissent souvent sur les listes de best sellers, indiquent pour la plupart comment devenir un leader puissant et efficace. Par contre, Henri Nouwen a écrit Au nom de Jésus : Réflexions sur le leadership chrétien selon une perspective différente. Cet ancien professeur d’université, qui a passé de nombreuses années à servir au sein d’une collectivité d’adultes déficients, a dit : « La question n’est pas de savoir combien de gens vous prennent au sérieux, combien de choses vous accomplirez et si vous pouvez démontrer quelques résultats. Elle est plutôt de savoir si vous aimez vraiment Jésus. […] Notre monde marqué par la solitude et le désespoir a terriblement besoin d’hommes et de femmes qui connaissent le cœur de Dieu, un cœur qui pardonne, qui se soucie d’autrui, qui se met au service des autres et qui désire les guérir. »

Prendre le volant

Le printemps dernier, alors que Jeremy Wuitschick et 11 autres élèves du collège étaient à bord d’un bus, le chauffeur s’est évanoui. Wuitschick a sauté de son siège et a pris le volant des mains du chauffeur inconscient. Il a ensuite dirigé le bus hors du trafic et il a coupé le moteur. Le bus a ralenti jusqu’à l’arrêt complet. Jeremy a sauvé la situation !

LA MARQUE DU LEADER

En visitant le campus de l’Université Purdue par une journée froide d’hiver, j’ai croisé deux jeunes hommes en train de déglacer un trottoir près d’une maison de confrérie. Les prenant pour des étudiants plus jeunes à qui des confrères plus vieux avaient confié cette tâche ardue, je leur ai dit : « Ils ne vous en ont pas parlé quand vous avez joint la confrérie, hein ? » L’un d’eux m’a dit, en levant les yeux et en me souriant : « Nous sommes tous les deux plus vieux. Je suis le vice-président de la confrérie et mon ami ici en est le président. » Je les ai remerciés de leur dur travail et j’ai poursuivi mon chemin, après m’être fait rappeler que se mettre au service d’autrui est la marque du vrai leader.

UN HOMME SAGE ET CHALEUREUX

Lorsque le Seigneur a rappelé à lui Monsieur Vernon Grounds, ancien président et chancelier du Denver Seminary, à l’âge de 96 ans, ses anciens élèves, ses collègues et ses amis ont exprimé beaucoup d’éloges et évoqué nombre de souvenirs. Presque tous se rappelaient avoir personnellement bénéficié des encouragements de Monsieur Grounds par ses enseignements, ses conseils ou simplement son chaleureux sourire. Il croyait au bien-fondé de la formation de pasteurs, d’enseignants et de conseillers qui entretenaient une relation vitale avec Christ et désiraient ardemment servir les autres.

SOYEZ PORTEUR D’ARMES

Les Israélites et les Philistins se faisaient la guerre. Tandis que Saül se détendait sous un grenadier avec ses hommes, Jonathan et celui qui portait ses armes ont quitté le camp en silence pour aller voir si le Seigneur oeuvrerait en leur faveur, sûrs que « rien n’empêche l’Éternel de sauver au moyen d’un petit nombre comme d’un grand nombre » (1 S 14.6).