SECOURUS
Manuel Gonzalez a été le premier secouriste à atteindre les 33 mineurs retenus captifs pendant 69 jours à la suite d’une explosion survenue en 2010 dans une mine du Chili. Risquant sa vie, il est descendu à plus de 610 mètres sous terre pour ramener les captifs à la surface. Le monde a regardé avec émerveillement chaque mineur être secouru et retrouver sa liberté.
COMME JÉSUS
Au cours d’un service religieux pour enfants, le professeur a parlé du premier des dix commandements : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Ex 20.3). Elle a suggéré aux enfants certains moyens de garder ce commandement, dont : « Rien ne devrait venir avant Dieu – ni les friandises, ni les devoirs, ni les jeux vidéos. » Elle leur a dit que faire passer Dieu en premier revient à faire passer la lecture de la Bible et la prière avant tout le reste.
QUE T’IMPORTE ?
Si vous assistez au concert d’une chorale d’enfants, vous ne vous étonnez pas de voir des enfants regarder partout, sauf le directeur. Ils s’agitent, se tortillent et se poussent entre eux. Sur la pointe des pieds, ils cherchent à trouver leurs parents dans l’auditoire. Ils lèvent la main pour les saluer lorsqu’ils les voient. Oh ! j’oubliais qu’ils chantent aussi à l’occasion. Leur comportement nous fait sourire, car il est mignon chez les enfants, mais il ne l’est pas autant si ce sont les membres d’une chorale d’adultes qui négligent de regarder leur directeur. La bonne musique dépend de chanteurs qui prêtent attention au directeur pour chanter à l’unisson.
UN MESSAGE DE LA PART DE DIEU
En 1971, Ray Tomlinson faisait des expériences pour voir comment les gens et les ordinateurs pouvaient interagir. En envoyant par son ordinateur un message à un autre appareil de son bureau par un réseau, il a envoyé le tout premier courriel. Aujourd’hui, des décennies plus tard, plus d’un milliard de courriels sont envoyés chaque jour, un grand nombre renfermant d’importantes nouvelles, mais d’autres véhiculant parfois des publicités indésirables ou un virus destructeur. Voici une règle fondamentale régissant les courriels : « Ne les ouvrez pas, à moins d’en connaître les expéditeurs. »
UN MOMENT DE GRÂCE
Chaque année, j’aime écouter le service de la veille de Noël que la King’s College Chapel de Cambridge, en Angleterre, transmet en direct à la radio. Ce Festival de neuf leçons et chants de Noël combine lecture de passages bibliques, prières et musique chorale en un culte d’adoration émouvant. Une année, j’ai été frappé d’entendre l’animateur décrire les membres de la congrégation tandis qu’ils quittaient la magnifique chapelle, en disant d’eux qu’ils « sortaient de ce moment de grâce pour retourner dans le vrai monde ».
JOIE
Après qu’Adam et Ève ont désobéi à Dieu, la joie s’est perdue. Dieu les a chassés du jardin qu’ils habitaient afin d’éviter que pire se produise. S’ils avaient mangé de l’arbre de la vie après avoir mangé de celui de la connaissance du bien et du mal, ils auraient vécu à jamais captifs de leur misère.
PAR AMOUR
L’année dernière, j’ai reçu de beaux cadeaux de Noël : un pantalon de ski, un bracelet et une liseuse Kindle. Cependant, ce qui m’a le plus réjouie, c’est de passer du temps avec des gens : m’amuser avec neuf petits-neveux et petites-nièces venant de l’extérieur de l’État ; le bonheur de voir une de mes nièces, son mari et leur fillette de dix-huit mois assister avec nous au service de la veille de Noël de notre Église ; avoir rendu visite à un collègue à la retraite et à sa femme, tous les deux ayant des problèmes de santé ; avoir célébré la période des fêtes en compagnie de vieux amis ; avoir lu l’histoire de la Nativité avec des êtres chers. C’étaient tous des cadeaux particuliers en raison de l’amour que nous avons les uns pour les autres.
NOUS AVONS BESOIN D’ESPOIR
Adam et Ève n’avaient pas besoin d’avoir de l’espoir puisque tous leurs besoins étaient comblés. Par ailleurs, ils avaient toutes les raisons de croire que leur vie se poursuivrait de manière aussi agréable qu’elle avait commencé, à jouir de toutes les bonnes choses que Dieu leur procurait. Ils ont cependant tout risqué pour obtenir la seule chose dont le serpent a dit que Dieu les privait : la connaissance du bien et du mal (Ge 2.17 ; 3.5). Ainsi, lorsque le serpent est venu leur faire une offre, Ève s’est empressée de l’accepter et Adam de l’imiter (3.6). Ils ont ainsi obtenu ce qu’ils voulaient : la connaissance. Cependant, la perte de leur innocence a entraîné le besoin d’espoir – celui de voir leur culpabilité et leur honte disparaître, ainsi que leur bonne relation avec Dieu être restaurée.
PRIVÉS DE LA GLOIRE DE DIEU
Le saut à motocyclette comptait parmi les sports à la mode en Amérique dans les années 1970. Cette mode a atteint le sommet (et le creux) de la vague le 8 septembre 1974. Des milliers de spectateurs s’étaient rassemblés le long du Snake River Canyon dans l’Idaho pour voir si Evel Knievel parviendrait à franchir le gouffre au volant d’une « sky cycle » (moto aérienne) spécialement conçue pour l’occasion. L’expérience s’est néanmoins soldée par un échec. Knievel n’a franchi qu’une partie de la distance avant que son parachute se déploie et qu’il aille atterrir au fond du canyon. Certains spectateurs ont demandé : « Quelle distance au-dessus du canyon a-t-il franchie ? » Cependant, là n’était pas la question. Il ne s’est pas rendu jusque de l’autre côté du canyon, ratant ainsi le but.
DEVANT LA PEUR
Je n’ai jamais oublié la peur que j’éprouvais durant l’enfance à l’idée que les vêtements jetés sur ma chaise se changent en personnage sombre ressemblant à un dragon après l’extinction des lumières de ma chambre. La première expérience que j’ai faite de l’insomnie due à la peur me rappelle que, lorsque les ennuis surviennent au seuil de la vie, la peur n’est pas notre amie. Elle nous empêche d’aller de l’avant et de faire ce qui est bien – à moins que nous ayons les yeux fixés sur Jésus.